Tout est bon pour tenter de museler les « lanceurs d’alerte » ou de Vérités
Par Sylvano Trotta sur Télégram
Son métier ? Journaliste de terrain.
Son tort ? Décrire la vérité des atrocités du régime nazi Ukrainien avec des documentaires filmés.
Sa punition. (SG = Société Générale)
Qui est Anne-Laure Bonnel, cette journaliste française accusée d’être “pro-Poutine” ?
Depuis plusieurs jours, le nom d’Anne-Laure Bonnel est au cœur de l’actualité internationale. Méconnue du grand public, la reporter de guerre française est récemment accusée d’être “pro-Poutine”. Retour sur son parcours.
La guerre opposant l’Ukraine à la Russie est depuis plusieurs semaines au cœur de l’actualité internationale. En parallèle de ce conflit, le nom d’Anne-Laure Bonnel a également été cité à de nombreuses reprises dans les médias. En cause : ses propos chocs sur la Russie. Des déclarations qu’elle avait notamment évoqué lors de son passage dans Touche pas à mon poste, le 6 avril 2022 où elle s’était défendue d’être « pro-Poutine« . Pour rappel, suite à son passage sur CNews dans L’Heure des Pros, le 1er mars dernier, cette dernière a été jugée d’avoir manqué de partialité en défendant le camp russe et en partageant des tweets contenant des informations jugées fausses.
À 40 ans, Anne-Laure Bonnel est une documentariste et reporter de guerre indépendante. Comme elle l’a indiqué sur sa page LinkedIn, elle est également enseignante à l’École supérieure de journalisme de Paris, à l’Université Paris-1 ainsi qu’à l’Institut national audiovisuel (INA). À cela, cette dernière a réalisé plusieurs documentaires dont celui intitulé Donbass, filmé en Ukraine en 2015 (puis diffusé en 2017) qui a refait surface ces dernières semaines.
Anne-Laure Bonnel : son opinion tranchée sur la guerre
Durant son passage dans Touche pas à mon poste, Anne-Laure Bonnel était revenue sur les rumeurs qui l’accusent de ne défendre que le camp de Vladimir Poutine. Une prise de parole durant laquelle la documentariste avait également partagé un constat effroyable sur cette guerre.
“Je ne suis pas là pour prendre le parti des Russes. Je ne suis pas anti-Ukraine ou pro-Russe ou anti-Zelensky. Je suis simplement là pour rééquilibrer ce débat parce-qu’il est en train de nous mener dans une boucherie, une boucherie terrible”, avait-elle indiqué, avant de poursuivre : “La guerre c’est affreux […] J’ai le sentiment, et ces propos n’engagent que moi, qu’on est en train d’assister à un bras de fer entre de nouvelles alliances […] et que cela risque de mal se terminer.”
Source : Gala
Source: Lire l'article complet de Profession Gendarme