Elles sont désormais trois à accuser l’ancien président du groupe Les Républicains (LR) à l’Assemblée nationale de viol ou de tentative de viol. Le 21 mai, Mediapart avait révélé les témoignages de Margaux et Chloé : la première, une ancienne militante centriste de 35 ans, avait porté plainte pour « viol » en 2017 et l’affaire avait été classée sans suite ; la seconde, une femme de 41 ans, a fait en mai 2022 un signalement à l’Observatoire des violences sexistes et sexuelles en politique, dans lequel elle relate s’être réveillée « en sous-vêtements » et « en état de choc » dans une chambre d’hôtel avec Damien Abad, à l’automne 2010. (…)
Selon son récit, Damien Abad serait « devenu collant » :
« Très régulièrement, lorsqu’on se rencontrait lors de réunions du parti, pour me dire bonjour il me faisait la bise, il avançait ses bras comme pour les poser sur mes épaules, puis les frottait, ainsi que ses mains, sur ma poitrine. » Elle assure qu’elle le « repoussai[t] », lui disait que « ce n’était pas possible », lui « demandai[t] d’arrêter », mais qu’il se serait « réfugié derrière son handicap ». « Il souriait, il disait que ce n’était pas de sa faute, il montrait ses mains. Parfois il disait : “Je suis désolé, c’est parce que tu as des gros seins aussi, c’est compliqué” », affirme-t-elle.
Laëtitia explique qu’à sa sortie des toilettes, ce soir-là, Damien Abad l’attendait « derrière la porte ».
« J’ai senti qu’un truc clochait. Mais à aucun moment je ne pouvais imaginer que le président de mon mouvement jeune, qui était député européen, puisse m’agresser. » Selon son récit, tout serait allé « très vite » : le député l’aurait « poussée dans une pièce en face », puis lui aurait dit « des insanités » – « Tu vas la sentir passer, elle est énorme » ; « Vas-y, suce-moi ». « On aurait cru qu’il était dans un film hard. » Elle affirme qu’il aurait « poussé [sa] tête » vers son entrejambe, « son sexe n’était pas sorti, mais son pantalon était ouvert. » (Mediapart)
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À l’origine de l’œuvre : Cynthia Albritton, surnommée Cynthia « Plaster Caster » (« faiseuse de plâtre » en français), autrice de moulages de près de 50 phallus de musiciens du monde du rock. « Nous savions qu’elle avait fait un plâtre de Jimi Hendrix, mais nous n’avons jamais osé espérer que nous l’obtiendrions », se délecte le conservateur adjoint Ólafur Thórdarson devant ce qu’il estime être l’une des plus précieuses pièces de son immense collection. L’artiste a décidé avant sa mort en avril dernier de faire don de cette copie, dont il existerait huit exemplaires, après qu’un couple américain, qui se trouvait être ses voisins, a visité le musée lors d’un voyage en décembre 2021. (Le Point)
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Âgée aujourd’hui de 53 ans, Charlotte Valandrey a évoqué pour la première fois le nom de l’homme qui lui aurait transmis le VIH dans son autobiographie L’amour dans le sang, parue en 2005. Dans cet ouvrage, l’actrice révélait sa séropositivité et y évoquait sa liaison passée avec un « prince gothique », guitariste d’un célèbre groupe de rock des années 1980. « Je revois les baisers, les étreintes, mon corps pénétré, je n’ai fait que l’amour », écrivait-elle dans son autobiographie. Certains avaient immédiatement pensé à Stéphane Sirkis, guitariste du groupe Indochine qui est décédé le 27 février 1999 d’une hépatite C. Même si aux yeux de son frère aîné, Christophe, le jumeau de Nicola serait décédé d’une overdose. (Voici)
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Hugo Manos est une personnalité du petit écran qui est sur le devant de la scène depuis plusieurs mois, notamment puisqu’il n’hésite pas à évoquer sa relation avec Laurent Ruquier. Le jeune homme s’est également fait remarquer grâce à son physique d’athlète qui ne passe pas inaperçu. Sur son compte Instagram, il enchaîne les publications sur lesquelles on peut le voir torse nu, pour le plus grand bonheur de ses abonnés.
Dans sa story Instagram le 10 juin dernier, Hugo Manos a fait un constat qu’il a souhaité évoquer. « Toutes mes photos les moins habillées sont dans 80 % des cas mises en avant par Instagram », a-t-il d’abord commenté en partageant un cliché d’une de ses dernières publications qui a été aimée par plus de 28 000 personnes. Inspiré, il a ensuite précisé : « Conclusion (qu’on savait déjà un peu), Insta nous veut à poil ici ! (Et ce n’est pas sans raison) », a-t-il écrit avant d’affirmer que c’est « parce qu’on est tous chaud du c** ». (Closer)
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Une première audience sur le volet civil doit se dérouler ce mercredi 15 juin, au sujet de l’affaire qui oppose Brigitte Macron à deux femmes, suspectées d’avoir propagé des rumeurs à son encontre. Toutes deux ont affirmé que Brigitte Macron était une femme transgenre et qu’elle n’était pas la mère de ses enfants. En novembre 2021, plusieurs comptes ont ainsi relayé un hashtag #JeanMichelTrogneux, en référence au supposé nom de naissance qui aurait été donné à la Première dame. En réaction, Brigitte Macron les a assignées en justice pour atteinte au droit à l’image et à la vie privée. (Marianne)
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Depuis 2018, Justine C. a attaqué sa transition. Longtemps garçon, aimant le foot et la Formule 1, elle s’est rendu compte un beau jour que l’idée d’être une fille lui plaisait. Aujourd’hui, elle a toujours les mêmes passions, mais avec un regard féminin. (Le Progrès)
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Jeudi, Éric Jallet avait expliqué que le petit ami de la victime, scolarisé comme elle au collège de Lugny, ville proche de Clessé, avait avoué le meurtre de l’adolescente, perpétré au cours d’un rendez-vous nocturne. « De nouvelles auditions du gardé à vue ont eu lieu, mettant en évidence une volonté du jeune homme de tuer. Il pensait que son acte pouvait être facilité par le fait que la victime l’aimait. Il disait s’être entraîné au maniement du couteau. Il décrivait les coups portés avec précision », a ajouté le procureur vendredi, précisant que l’autopsie était encore « en cours ». (France Info)
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Le journaliste sportif de 58 ans, « très malade » et qui a été hospitalisé « jusqu’en mai », période durant laquelle il a été « dans le coma », « pourrait même décéder », selon son avocat. « Ça va aller de mal en pis. Ce report va porter préjudice à sa santé », a estimé ce mercredi matin Me Arash Derambarsh.
Pierre Ménès est poursuivi pour des faits d’atteinte sexuelle, des « attouchements » au niveau de la poitrine et du ventre signalés à la police par une hôtesse du Parc des Princes à l’issue du match PSG-Nantes du 20 novembre dernier à Paris. Cette femme n’avait pas porté plainte. Il doit également répondre d’une plainte pour « agression sexuelle » déposée en octobre 2018 par une employée d’un magasin parisien Nike. (La Dépêche)
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Alors que le conflit en Ukraine vient d’éclater, Tony se porte volontaire pour accueillir des réfugiés ukrainiens. Il adhère au programme gouvernemental d’accueil des réfugiés mais, devant le processus qu’il juge trop lent, se tourne vers les réseaux sociaux et entre en contact avec Sofia, originaire de Lviv dans l’ouest de l’Ukraine.
Après avoir obtenu son visa britannique, la jeune ukrainienne arrive dans la maison des Garnett le 4 mai. Mais très vite, l’arrivée de la jeune femme crée des tensions dans le foyer. Lorna reproche à Tony d’avoir déplacé leur fille de six ans dans un lit superposé avec sa sœur de 3 ans pour faire de la place à Sofia.
Lorna voit également d’un mauvais œil le fait que Tony et Sofia passent du temps ensemble. Sofia accompagne Tony au gymnase, où ils s’entraînent ensemble, puis s’assoient dans la voiture pour parler pendant des heures.
Des sentiments réciproques naissent alors entre Tony et Sofia. « Je savais que quelque chose se passait entre nous et que Sofia ressentait la même chose. C’était quelque chose qu’aucun de nous ne pouvait arrêter », comme le relate au Sun Tony qui poursuit. « À la maison, j’ai réalisé que nous trouvions des excuses pour nous toucher et nous frôler ». (L’Indépendant)
Il quitte sa femme dix jours après avoir accueilli une réfugiée ukrainienne de 22 ans : Le coup de foudre. C’est ce qui est arrivé à Tony Garnett, 29 ans, et Sofia Karkadym, une réfugiée ukrainienne de 22 ans que le jeune père de famille et son épouse… https://t.co/odfhRO2RO7 pic.twitter.com/B6IlXvoOeR
— 7sur7 (@7sur7) May 24, 2022
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La jeune femme est arrivée en Dordogne il y a seulement quelques semaines, avec une amie. Leurs conjoints sont restés en Ukraine, mais ils ont de la famille en Périgord noir qui a pu accueillir leurs compagnes. Rapidement, elles prennent leur indépendance et s’installent toutes les deux à Boulazac, dans un petit appartement du quartier de Barnabé. Les beaux-parents ont l’habitude de prendre très régulièrement de leurs nouvelles. Dimanche soir, ils s’inquiètent de ne pas réussir à les joindre et décident de faire la route en voiture pour aller chercher les deux jeunes femmes. Ils les retrouvent chez elles, avec un homme. La soirée, visiblement, a été arrosée.
L’inconnu repart de son côté, et les beaux-parents proposent de ramener chez eux les deux jeunes Ukrainiennes. Mais une seule accepte de venir avec eux. L’autre reste seule dans l’appartement. La famille repart, ils sont encore sur la route quand ils reçoivent un coup de téléphone. La jeune femme raconte que l’homme est revenu, en prétextant un téléphone oublié. Elle affirme qu’il l’a agressée, et violée. La famille compose immédiatement le 17. Mais quand les policiers arrivent, ils ne retrouvent que la jeune femme, tuméfiée. Le suspect a déjà pris la fuite. (France Bleu)
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Deux individus, de nationalité turque et âgés de 31 et 33 ans, ont été interpellés samedi et placés en détention provisoire dans le cadre d’une plainte après des piqûres dans un bar six-fournais, indique une source policière à BFM Toulon Var.
Une jeune femme de 25 ans a déposé plainte la semaine précédente après avoir été victime d’une piqûre aux alentours d’1h du matin alors qu’elle se trouvait à l’Eden Bar. En pleine audition, la victime, prise d’un malaise, a été évacuée vers l’hôpital pour réaliser des examens, notamment sanguins et urinaires. (BFM Var)
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« C’est une réalité économique »
Divisées par 14 par rapport aux hommes, êtes-vous choqués par les primes des joueuses de l’Equipe de France de football ? Débat dans #TPMP ! pic.twitter.com/ibGKynzlzn
— TPMP (@TPMP) June 20, 2022
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Megan Rapinoe, joueuse de football américaine, gagnante des Jeux Olympiques et lesbienne, s’est positionnée contre les discours dominants sur les personnes trans dans le sport : pic.twitter.com/f025FH6jCL
— XY Media (@xymediafr) June 20, 2022
Megan Rapinoe (36 ans) a pris position sur le débat de l’inclusion des personnes transgenres dans le sport. « Je suis à 100 % favorable à l’inclusion trans », a-t-elle indiqué dans un entretien accordé au Time.
« Montrez-moi la preuve que les femmes trans prennent les bourses de tout le monde, dominent dans tous les sports, remportent tous les titres, a-t-elle conclu. Je suis désolée, ça n’arrive pas. Nous devons donc commencer par l’inclusion, point final […] Donc, nous devons vraiment prendre du recul et comprendre ce dont nous parlons vraiment ici parce que la vie des gens est en danger. La vie des enfants est en danger avec les taux de suicide, les taux de dépression, de santé mentale négative et de toxicomanie. » (Ouest-France)
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Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation