Trop accaparé cette semaine par le bouclage du Néosanté de juillet-août, je vais vous laisser en compagnie de trois autres journalistes que j’admire beaucoup. Le premier, Alexandre Penasse, est très connu de la résistance belge. Pour son journal alternatif Kairos, dont il est le rédacteur en chef, Alexandre a couvert toute la mascarade corona avec courage et détermination. Caméra au poing et casque sur la tête, on l’a vu notamment au cœur de toutes les manifestations bruxelloises se terminant souvent en déchaînement de violences policières. Lui-même a été rudoyé, aspergé de gaz lacrymogène et appréhendé par les forces du chaos alors qu’il exerçait seulement son métier. Via des vidéos et des émissions live, ce jeune passionné d’info a aussi multiplié les initiatives pour apporter d’autres éclairages sur la crise sanitaire et ses dérives totalitaires. On lui doit par exemple la seule et unique tentative d’organiser un vrai débat contradictoire entre les décideurs belges et les opposants à leurs mesures, chose que les médias mainstream ont complètement « oublié » de faire pendant deux ans. Avec un aplomb parfois maladroit mais toujours pertinent, Alexandre a également été le seul journaliste à oser poser des questions dérangeantes au gouvernement belge lors des conférences de presse officielles sur la gestion de l’épidémie. Il a été snobé, censuré, conspué mais a toujours gardé le cap et porté la voix de la dissidence face à la junte covidiste. Si la chancellerie du Premier Ministre ne m’avait pas interdit l’entrée au motif que je n’avais pas la bonne carte de presse, j’aurais bien aimé épauler Alexandre et lui prêter main forte dans l’interpellation des autorités. Chapeau à lui d’avoir tenu le coup seul contre tous ! Par représailles probablement, son accréditation n’a pas été renouvelée et le bimestriel Kairos vient de perdre les maigres subsides qui l’aidaient à subsister, mais les lecteurs et auditeurs ont été près d’un millier – j’en étais – à se presser le 28 mai dernier à une journée de fête et de soutien. Si bien qu’Alex a été regonflé à bloc et qu’il continue à tracer sa route de trublion ré-informateur, parfois brouillon mais toujours couillu. Récemment, il a réalisé une première interview et une deuxième vidéo avec Pierre Chaillot (alias Pierre Lécot), ce jeune statisticien français dont je vous vante depuis bientôt deux ans le formidable boulot. Je vous invite à visionner ces deux émissions car elles illustrent imparablement ce que je soutiens depuis l’entame du Corona Circus : il n’y a pas eu de pandémie, il n’y a pas eu de surmortalité attribuée au virus couronné qui dérogeait à la normale et il n’y a même pas eu de saturation hospitalière ! Les chiffres apportent la preuve indiscutable que la grippe covid est bien une coque vide et un non-événement.
Le deuxième journaliste auquel je passe la main , Bernard Crutzen, a aussi accédé à la célébrité en Belgique à la faveur de la saga coronavirale. En 2021, son film « Ceci n’est pas un complot » lui a valu l’opprobre et la basse vengeance de la presse bien-pensante mais le documentaire a été visionné des millions de fois malgré la censure dont il a fait l’objet sur les plateformes les plus populaires. Le réalisateur nous revient aujourd’hui avec un deuxième opus intitulé « La Loi, la Liberté » et sous-titré « Ceci n’est plus une crise sanitaire ». Pour ceux qui l’ignoreraient, le titre principal fait référence aux paroles de la Brabançonne, l’hymne national belge. Il reflète bien le contenu du docu car son auteur s’attache cette fois à montrer que le pseudo-fléau infectieux a servi d’opportunité à une opération politico-psychologique visant le démantèlement de certains droits fondamentaux et l’instauration d’une société de surveillance. Plus clément envers les médias et les experts, il concentre son bois vert sur les responsables politiques qui ont entraîné la population sur leur galère faite de mensonges et d’exagérations clairement intentionnelles. Celui qui ne comprend pas encore que la fausse pandémie a été scénarisée pour imposer le vaccin et le passeport numérique conduisant à l’enchinoisement de l’Occident est décidément et définitivement endormi ! Le passage du film qui m’a le plus frappé est celui où Bernard relève la fable propagandiste de « l’épidémie devenant celle des non-vaccinés » : partout dans les pays de l’OTAN et exactement au même moment, les forces covidistes ont répété les mêmes slogans destinés à stresser les hésitants et à attiser la haine envers les récalcitrants. Il crève les yeux et les oreilles que les gouvernements ont répondu à un mot d’ordre et déclenché à l’unisson la nouvelle phase d’un plan. Lequel ? Il suffit de regarder dans la direction de Davos et de voir que nombre de dirigeants occidentaux (Macron, Trudeau, De Croo…) sont des « global leaders » du Forum Économique Mondial pour deviner que ces marionnettes sont aux manettes pour faire avancer l’agenda du « Great Reset » cher au sinistre Klaus Schwab. À ce propos, c’est un petit reproche que l’on peut faire au film : il montre très brièvement les images d’Alexander De Croo jouant en 2018 les ambianceurs dans un stade sud-africain et faisant applaudir par la foule les millions d’euros offerts par le gouvernement belge en partenariat avec la Fondation Bill et Melinda Gates, mais il n’est pas précisé que notre futur premier ministre actuel était déjà à l’époque en charge d’un autre poste ministériel, celui de la coopération au développement. Dans toute démocratie qui se respecte, cet étalage rétrospectif de corruption – ou de conflit d’intérêt comme on dit maintenant pudiquement – devrait déboucher sur une démission et il est un peu dommage que le commentaire du documentaire ne le souligne pas. Pour le reste, je trouve cette œuvre aussi réussie dans la forme que dans le fond et elle m’a considérablement ému car elle représente un peu le condensé d’un combat informatif que je partage avec Bernard Crutzen depuis de longues années. Vous vous souviendrez que le réalisateur de Malaria Business avait puisé la trame de cet autre film percutant en lisant l’infolettre de Néosanté….
Enfin, je cède le reste de mon billet hebdomadaire au journaliste et essayiste français Marc Menant. Quand j’étais débutant dans le métier, j’écoutais quand je le pouvais l’émission hebdomadaire que ce grand bonhomme du PAF animait sur Europe 1 et qui mettait amplement à l’honneur les médecines alternatives. Et je me souviens avoir été choqué que cette émission disparaisse subitement de la grille alors qu’elle drainait une très large audience. À l’époque, on se doutait déjà que le journaliste avait indisposé Big Pharma et que la suppression de son espace d’expression découlait de ses objections envers l’acte vaccinal et la médecine allopathique en général. Le temps a passé mais Marc Menant n’a pas perdu son franc-parler ni son regard critique sur la vaccination. Sur le plateau de la chaîne Cnews, il se ramasse d’ailleurs de violentes attaques à chaque fois qu’il ose égratigner Pasteur et mettre en doute le bien-fondé des dogmes vaccinalistes. Avec la « crise Covid », inutile de dire qu’il s’en est pris plein la figure ! Mais comme le chroniqueur télé a aussi la plume bien pendue, le voilà qui riposte à ses contempteurs par la publication d’un livre édité par la prestigieuse maison Plon : « L’Inquiétante histoire des vaccins ». Dans cet ouvrage, l’ex-professeur de mathématiques ne prend pas de gants car il écrit que la science des vaccins est dépourvue de toute rigueur scientifique. Et il le démontre en remontant aux sources du mythe, à savoir les premières expériences de Pasteur et ses résultats falsifiés ou abusivement interprétés. Je vous conseille vivement ce bouquin car il est à la fois accessible, bien argumenté et solidement documenté. C’est aussi un brûlot à faire lire à tous les benêts qui nous bassinent depuis des lustres que l’immunisation artificielle a éradiqué les grandes maladies alors que leur déclin n’a rien à voir avec cette prétendue « victoire médicale ». Comme vous vous en doutez, Néosanté a sollicité un entretien avec Marc Menant et ce dernier a aimablement accepté de répondre aux questions de Pryska Ducœurjoly, pour une interview à paraître dans notre prochain numéro. Par respect pour nos abonnés et dans l’espoir, je ne vous le cache pas, que cette primeur nous attire de nouveaux lecteurs, je ne vais pas déflorer tous les propos recueillis par notre intervieweuse. Mais je reproduis ci-dessous ses 5 premières questions et les réponses de Marc Menant. La suite de cet échange éclairant et démystifiant dans le mensuel que je m’en vais maintenant parachever.
Yves Rasir
MARC MENANT :
« Le succès des vaccins repose sur l’inoculation de la trouille »
Après « La médecine nous tue » (2008), puis « Médecine, régimes, la terrifiante imposture » (2011), le journaliste Marc Menant lâche un nouveau pavé dans la mare sanitaire. « L’inquiétante histoire des vaccins », chez Plon, est la synthèse d’une documentation accumulée pendant vingt ans. Variole, rage, DTP, tuberculose, hépatite B, grippe, Covid-19, tout y passe. Sous la plume de Marc Menant, le dogme pasteurien prend du plomb dans l’aile ! Entretien.
Propos recueillis par Pryska Ducœurjoly
Marc Menant est un journaliste, écrivain et chroniqueur français. Sur TF1 en 1979, il a créé le Magazine de l’aventure, première émission à commenter l’action en simultané. Trois ans plus tard, Nicolas Hulot lui succède. De 1997 à 2008, sur Europe 1, il présente des émissions hebdomadaires sur les phénomènes paranormaux, le bien-être et les voyages. Il anime en parallèle Complément Terre sur Direct 8. De 2014 à 2015, il participe à l’émission Les Pieds dans le plat, diffusée quotidiennement sur Europe 1. Depuis 2017, il intervient sur la chaîne d’information en continu CNews, notamment dans les émissions Face à l’info (depuis 2019) et La Belle Histoire de France (depuis 2021).
Avec “L’Inquiétante histoire des vaccins”, vous déboulonnez un dogme médical sacré. Par les temps qui courent, cela relève de la bravoure… D’où vient cet intérêt pour la santé et la vaccinologie ?
En tant que journaliste, j’ai une curiosité pour tous les domaines. Comment ne pas s’intéresser à la médecine dès lors que vous y êtes confronté, que vous le vouliez ou non, dès votre plus jeune âge ? Qui n’a pas, dans son entourage, des cas de maladies qui suscitent des interrogations ? Sur Europe 1, j’ai animé une émission sur le bien-être. J’ai été interpellé par les avis divergents des médecins. On vous dit tout et son contraire. J’ai rapidement compris que la science médicale manquait de rationnel… Cela m’a amené à multiplier les lectures. Concernant les vaccins, j’ai été amené à creuser la question en tant que père de deux enfants. Fallait-il ou pas les vacciner ? Un jour, par un ami, je suis tombé sur les carnets de Pasteur. Au fil des ans, je n’ai cessé d’étoffer mes recherches à travers des documentations scientifiques, de nombreux ouvrages de référence et bon nombre d’allers-retours à la Bibliothèque Nationale. La crise du covid-19 n’a fait qu’aiguiser mon intérêt pour la question vaccinale. Ce n’est pas parce que je ne suis pas “expert” dans le domaine que je vais m’interdire d’écrire sur le sujet !
Vous retracez l’histoire des vaccins, à commencer par les premières expériences de Pasteur. Qu’est-ce qui vous a particulièrement frappé dans vos recherches sur notre héros national ?
Quand on se penche sur l’histoire du vaccin contre la rage, on est rapidement confronté à une supercherie. On met toujours en avant la fable du petit Joseph Meister, soi-disant sauvé par Pasteur. J’explique en quoi le protocole n’est pas valide et pourquoi cette guérison n’est pas prouvée. Parallèlement, on occulte les nombreux morts, comme celle du petit Jules Rouyer, qui montrent que ce vaccin s’est avéré dès le départ un échec. Pour couvrir Pasteur, son collaborateur Emile Roux n’hésite pas à mentir devant l’Académie de médecine, avec la complicité du professeur Brouardel qui a pratiqué l’autopsie de Jules Rouyer. Ils le font avec bonne conscience, au nom du progrès médical, pour ne pas compromettre l’avenir de la science vaccinale.
Parmi les péchés originels de la vaccinologie, vous évoquez aussi la manipulation des chiffres à propos d’une maladie finalement peu répandue mais présentée comme un grand fléau.
Les artifices mathématiques ont été dénoncés par des contemporains de Pasteur. Je cite notamment les propos du docteur Michel Peter, un farouche opposant : « J’ai vu deux cas de rage en trente-cinq ans de pratique hospitalière et civile (…). Pour amplifier les bienfaits de sa méthode et pour en masquer les insuccès, Monsieur Pasteur a intérêt de faire croire plus forte la mortalité annuelle par la rage en France ». Et de poursuivre : « Veut-on savoir, par exemple, combien en vingt-cinq ans d’individus sont morts de la rage à Dunkerque ? Il en est mort : un… Et veut-on savoir combien sont morts dans cette ville en un an depuis l’application de la méthode pasteurienne ? Il en est mort : un… ». En réalité, neuf fois sur dix, les gens guérissent spontanément. La même logique s’applique à l’ensemble des vaccinés ! Et pourtant, dans la presse, le vaccin contre la rage a rapidement été présenté comme un miracle de la science.
Les cas de guérison avec le vaccin de pasteur tiendraient donc plutôt aux défenses immunitaires des individus ?
C’est d’autant plus probable que Pasteur ne sait pas si les mordus qu’il vaccine ont réellement contracté la maladie. Pour s’en assurer, il aurait fallu qu’il prélève sur chaque victime de la moelle et qu’il l’inocule à des lapins cobayes pour voir s’ils développaient la maladie. Cette procédure n’a pas été réalisée dans la plupart des cas. On est donc dans la supposition et l’auto-persuasion. On retrouve d’ailleurs ce biais scientifique dans la plupart des « succès vaccinaux ».
Par son habilité à la communication, Pasteur n’a pas hésité à attiser la psychose populaire. À l’époque, chaque victime de morsure de chien se croyait enragée et courait à la vaccination. Il s’agissait alors d’un traitement curatif, injecté seulement après une morsure.
Pour chaque vaccin, j’ai réalisé tout un travail en amont pour parvenir à restituer l’essentiel. Enquêter sur ces remèdes demande de bien examiner les détails. C’est ainsi que l’on trouve des points d’appui indubitables, difficiles à restituer dans une interview. C’est pour cela qu’il existe des livres. J’incite le lecteur à exercer pleinement son esprit critique pour juger de la pertinence de mon analyse.
Dès le départ donc, l’efficacité vaccinale relèverait davantage de la croyance que de la science ?
Il n’y a pas de science dans les vaccins. Malgré un élan d’honnêteté, les premières expérimentations de Pasteur montrent déjà qu’on est dans l’empirisme le plus total. C’est plus une logique d’alchimiste qui tâtonne sur des bases très incertaines en matière de physiologie, un domaine qu’on est loin d’avoir compris encore aujourd’hui. Quand on réduit la physiologie à des principes mécanistes, on est dans l’erreur. C’est oublier la notion de terrain individuel et l’action de la psyché sur le corps. À bien y regarder, la science vaccinale se situe dans le domaine de l’indémontrable. Pasteur a cédé beaucoup trop tôt à la certitude. La certitude a tourné au dogme et, depuis un siècle et demi, à la Faculté, de génération en génération, les professeurs en disciples de Pasteur nous rabâchent dans les amphithéâtres le credo des microbes ennemis de l’espèce à combattre. Panacée des panacées, les vaccins ! En réalité, ces miraculeuses thérapeutiques ne sont que leurres sanctifiés par la propagande, dans la ligne de leurs ancêtres, les vaccins contre la rage et la variole.
(à suivre dans le mensuel Néosanté n° 124 de juillet-août 2022)
Source : Néo Santé
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