Par Celeste McGovern — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : 9nong/Adobe Stock
14 juin 2022 (LifeSiteNews) — Ils l’appellent le syndrome de mort subite de l’adulte, ou SADS en abrégé. Tout comme le SIDS — syndrome de mort subite du nourrisson — lorsque des bébés en bonne santé meurent soudainement (et le plus souvent le jour même d’une visite de routine chez le pédiatre). Sauf qu’il se produit chez les adultes. Et aussi chez les enfants et les adolescents, bien que le nom ne le reflète pas. Pourtant…
Des jeunes gens en bonne santé meurent soudainement dans le monde entier, a rapporté le Daily Mail la semaine dernière, affirmant que la recrudescence de ce « syndrome mystérieux » déconcerte les médecins.
L’article décrit le cas de Catherine Keane, une femme de 31 ans de Dublin qui faisait 10 000 pas par jour et était une habituée de la salle de sport, et qui ne s’est tout simplement pas réveillée lors d’un séjour chez des amis.
« Ils travaillaient tous à la maison, donc personne n’a vraiment fait attention quand Catherine n’est pas descendue pour le petit-déjeuner », a raconté Margherita, la mère de Catherine, au Irish Times. « Ils lui ont envoyé un SMS à 11 h 20 et comme elle n’a pas répondu, ils ont vérifié sa chambre et ont découvert qu’elle était décédée ».
« Son amie a entendu un bruit dans sa chambre à 3 h 56 du matin et pense maintenant que c’est à ce moment-là qu’elle est morte. »
La « pointe de l’iceberg »
En Australie, les médecins ont lancé un registre pour recenser ces cas. Ils sont l’un des rares pays au monde qui va suivre les données des ambulances pour les décès que les médecins ne voient habituellement pas.
« La majorité de ces événements SADS, 90 %, se produisent en dehors de l’hôpital — la personne n’y arrive pas vivante — donc c’est en fait le personnel ambulancier et les médecins légistes qui s’occupent de la majeure partie de ces patients », a déclaré la cardiologue Elizabeth Paratz de l’Institut du cœur et du diabète Baker.
« Je pense que même les médecins le sous-estiment. Nous ne voyons que les 10 % qui arrivent vivants à l’hôpital. Nous ne voyons nous-mêmes que la partie émergée de l’iceberg ».
Ce qui manquait manifestement dans l’article, qui aurait dû intéresser tout journaliste médical de l’ère covid et certainement tout médecin, c’était la mention du statut vaccinal covid — vaccin expérimental — de ces personnes qui, comme Catherine, sont tombées raides mortes en nombre supérieur à la moyenne.
Ne veulent-ils pas savoir s’il y a un lien ? Ou ne veulent-ils pas que nous le sachions ?
C’est comme si un vaccin développé à la vitesse de l’éclair, jamais utilisé sur des humains, une puissante injection immunitaire et génique qui détourne la machinerie cellulaire pour produire des protéines de pointe (maintenant reconnue comme la partie la plus mortelle du coronavirus COVID-19), toujours en cours d’essais cliniques, et lié à des maladies cardiaques inflammatoires mortelles comme la myocardite et les troubles de la coagulation sanguine, ne pouvait avoir aucun rapport avec des décès inexpliqués.
Source : Lire l'article complet par Campagne Québec-Vie
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