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Samedi 11 juin. Le jour est dédié aux défunts, c’est un « psychosávvato », littéralement, « samedi des âmes ». Dans ce village du Péloponnèse, nos vieilles voisines ont préparé les traditionnels « kólliva » ; l’offrande principale de ceux qui visitent le cimetière ce samedi qui précède la Pentecôte, lundi prochain dans le monde orthodoxe. Et dans l’actualité… corps et âme encore tangible, Panagiotópoulos, ministrion à la Défense, a fini par entendre tout le mécontentement des militaires, étant donné que de nombreuses armes, missiles et blindés servant à la défense des îles grecques de l’Égée, ont été livrés à la Khazarie de Kiev. La tourmente, et pas que celle des âmes décidément. Nous y sommes.
Depuis un mois, la Turquie multiplie les provocations verbales, ainsi que les violations de l’espace grec en mer Égée. Ankara prétend que la présence militaire grecque sur les îles constitue une menace pour ses côtes, quand c’est du contraire qu’il s’agit. La Grèce n’envahira pas l’Asie mineure, par contre, la Turquie se dit de plus en plus prête à attaquer les îles grecques, dont ce qui reste encore de la présence grecque sur Chypre.
C’est certes autant un jeu qui consiste à maintenir la caste au pouvoir à Athènes durant les moments les plus difficiles, quitte à les provoquer. Jeu pourtant dangereux, et d’abord pour la Grèce, celle qui n’a jamais été le pays des Mitsotákis.
Par un jeu donc de dupes, la Turquie fait du non-désarment des îles grecques un Casus belli, tandis qu’au même moment, c’est très exactement sous la gouvernance du satanisé Mitsotákis que nos îles, sont de fait, désarmées. Batteries antiaériennes, armes lourdes, missiles, chars tout y passe… pour aboutir alors sous le contrôle de la mafia de Kiev et ensuite, tomber aux mains des réseaux criminels et même terroristes, quand cet armement n’a pas… la chance d’être détruit sur sa route, par les Russes.
Le clan des officiers de grade supérieur de l’Armée grecque, caste largement phagocytée par la Loge et le Wokisme, a fini pourtant par s’énerver, peut-être aussi pour se couvrir en cas de perte de territoire national, car de nombreuses rumeurs qui courent, font état « d’une possible attaque des Turcs entre juin et septembre » de cette… déjà énorme année 2022.
Panagiotópoulos, rien que pour noyer le poisson, vient d’accuser ses officiers « d’en avoir trop parlé publiquement dans les cafés des armes désormais manquantes, faisant du secret défense, un véritable gruyère suisse ». Sauf que la mèche était déjà vendue par le régime de Kiev, quand durant plusieurs semaines Panagiotópoulos évitait si possible les questions des journalistes sur cette affaire.
Cependant, la géopolitique finit toujours par se préciser et que le moment venu, il y aura peut-être d’autres officiers en Grèce, un peu moins gradés, mais… prêts à servir, fidèles à leur serment. Il faut dire que pour de nombreux Grecs, la politique du clan Mitsotákis, en somme celle de tous les partis parlementaires, conduit sciemment la nation grecque vers le génocide déjà en cours, y compris à travers son remplacement par ces envahisseurs que l’on nomme « migrants », en plus de l’épineux voisinage avec cette Turquie nationaliste.
Donc nous savons que le jour où le Wokisme sera renversé, voire même, suite à une guerre dont l’issue peut s’avérer difficile pour la Grèce, toute la classe politique actuelle y passera, c’est-à-dire « qu’elle passera par les armes », comme me le dit mon cousin Kóstas au village thessalien sous les Météores, celui de ma famille. La procédure… normalisée, est même déjà décrite par Zóis Béglis, ancien capitaine de la Marine nationale, médecin militaire, et patriote actuellement à la tête du Mouvement 21. « Tribunaux d’exception d’après la législation datant de 1945 pour faits de Haute trahison, puis la prison à vie ou sinon, le séjour éternel… aux côtés de Baal ».
Car on sait alors combien le Régime en place compte sur les règles de l’amnistie garantie après deux législatures successives, pour ceux qui furent aux commandes au moment des faits. Cependant, aucun Régime totalitaire, y compris le nôtre, celui sous la démocrature du dernier jour, n’est capable de concevoir ce qui peut lui arriver… lors du possible jour d’après. En tout cas, chez les sbires locaux et chez leurs proches. Inutile de dire, que nos… calculs sont déjà faits.
En cette Grèce de 2022 où Mitsotakis annonce ouvertement que son but est notre remplacement par les Pakistanais et quand la mortalité officielle sur les 17 premières semaines de l’année est de 20% supérieure à la moyenne des années 2016-2021, d’après le calendrier eugéniste et vacciniste, nous savons comme le dit Yángos, mon ami journaliste d’Athènes, « qu’il va falloir mettre hors d’état de nuire de manière radicale, près de 100 000 énergumènes ; rien déjà que pour encore une fois… nettoyer les écuries d’Augias dans ce pays ».
Du temps de la biopolitique, voire, de la nécropolitique, le calendrier électoral n’est qu’un moyen plutôt faible, quand il s’agit d’affronter nos ennemis, déjà en interne. Mais pour le moment, il existe.
En attendant et cette fois en externe, le carnet géopolitique quant à lui, se précise chaque jour davantage. Un article fort éclairant d’actualité et d’analyse… certes orientée, a été mis en ligne sur Internet grec et dont la source est un Russe, qui plus est, Konstantin Kotlin, journaliste plutôt bien informé depuis Moscou. Cette… lettre de Russie, évoque alors la guerre gréco-turque comme étant imminente, et surtout que dans pareille circonstance, les Russes prendront plutôt parti pour les Turcs.
Il est bien loin ce vieux beau temps, où les marins de la Flotte de la Fédération de Russie étaient accueillis en bons amis par la population grecque, par exemple sur l’île de Poros. Ces visites… hélas, elles n’auront plus lieu, en tout cas tant que le stanisme OTANesque regnera en Grèce.
Pour faire court, je dirais que le gouvernement d’Athènes a mis la Grèce dans le pire pétrin de son histoire et cela depuis bien longtemps, ceci, en envoyant du matériel militaire au régime de Kiev ; car ces armes, sont utilisées pour tuer des soldats russes. Ce n’est guère sans conséquences, et la crainte réside dans le fait que la Russie, à un moment donné dans le futur… immédiat, disons-le franchement, dans une situation géopolitique potentiellement préoccupante pour la Grèce, pourrait s’en souvenir et rendre la monnaie de sa pièce à la Grèce, dans un coup géostratégique plutôt sérieux.
La Grèce d’il y a un siècle, sous l’officier de la Loge Vénizélos, avait commis la même « erreur », quand la Russie fraichement remplacée par l’Union soviétique, elle s’est vue attaquée par l’armée grecque en Ukraine en 1919, sous commandement français et britannique.
Quelques mois plus tard, durant la Guerre gréco-turque en Asie mineure entre 1919 et 1922, les Bolcheviks qui dirigeaient alors à Moscou, ont offert une aide importante à Kemal Atatürk, lui fournissant d’énormes quantités d’armes, contribuant ainsi à la défaite de l’armée grecque. Notons aussi, que finalement, tous les grand pays occidentaux supposés alliés de la Grèce, « l’OTAN » du moment, ont autant aidé Kemal Atatürk à l’époque. La Grande-Bretagne, la France et même l’Italie lui ont proposé de leur aide.
Le titre de l’article est déjà fort éloquent ; « Pourquoi la Grèce sera l’un des premiers pays à payer pour sa russophobie », et ce n’est pas un hasard non plus, si cet article russe est illustré d’une photo d’un blindé BMP-1 de l’armée grecque et de fabrication russe, parmi ceux qui seront remis aux Ukrainiens.
Voilà donc l’article de Konstantin Kotlin, traduit dans son intégralité pour que le lecteur francophone puisse ainsi se faire une idée mieux précise.
« La Grèce va transférer à l’Ukraine, une quantité incroyable d’armes et de munitions. Cela a été rapporté par les principaux organes de presse grecs ces derniers jours. D’après ces médias, plus de cent vingt véhicules blindés d’infanterie BMP-1, soixante systèmes de lance-missile sol-air américain, antiaériens et portables FIM-92 Stinger et vingt mille fusils d’assaut AK-47 Kalachnikov, ainsi que leurs cartouches, devraient donc être livrés ».
« Démocratie grecque »
« Début mars, la Grèce avait déjà envoyé deux avions de transport militaire C-130 en Pologne, transportant, selon les médias, plusieurs milliers de kalachnikovs, ainsi que des lance-grenades portables destinés à l’Ukraine. Dans le même temps, le ministre grec de la Défense, Níkos Panagiotópoulos, avait annoncé à la mi-avril, qu’aucune nouvelle fourniture d’armes au régime de Kiev n’était prévue ».
« Il a de la sorte déclaré, cité par le réseau médiatique européen Euractiv : – Le matériel militaire que nous avons déjà envoyé en Ukraine a été prélevé dans nos entrepôts. Il n’est pas question d’en envoyer davantage ».
« Cependant, comme le prouvent les faits, le chef du ministère grec de la Défense, semble-t-il, n’allait pas tenir parole. Et tout cela malgré le fait qu’en général, les Grecs ont une attitude fortement négative à l’égard de la fourniture d’armes à l’Ukraine. Selon une enquête sociologique menée par la chaîne – progouvernementale – de la télévision grecque MEGA TV, 66% de la population grecque, la grande majorité, s’opposent au transfert d’armes à destination de Kiev. Telle est la position politique du peuple grec, et qui doit être prise en compte par un gouvernement démocratique ».
« Cependant, les politiciens actuels d’Athènes, ne s’en soucient pas vraiment. Le statut de la patrie historique de la démocratie, et pour les dirigeants grecs actuels dans ce cas, s’est avéré être une phrase bien creuse. Croire que le gouvernement de Kyriákos Mitsotákis ne sait peut-être pas quel état d’esprit prévaut dans la société grecque est pour le moins naïf. Non, ici, il est plus probable qu’il y ait un mépris total de l’opinion de son propre peuple au profit des intérêts de ses maîtres étrangers. Bien que cela… vaudrait la peine d’écouter les Grecs ordinaires. Après tout, leur attitude envers la Russie se réfère à de nombreux prérequis historiques, disons bien patents ».
« La Russie ayant fait renaître l’État grec »
« Tout le destin historique de la Grèce moderne a été de facto déterminé par la guerre russo-turque de 1828-1829, qui s’est terminée par la victoire de l’Empire russe. Suite au Traité de paix d’Andrinople signé à la fin de cette guerre, l’Empire ottoman a reconnu l’autonomie grecque à la condition imposée aux Grecs, de verser un import symbolique en hommage au Sultan. Cependant, seulement un an après, la Grèce, avec le soutien de la Russie, a quand même réussi à obtenir son indépendance totale. Il est significatif que le premier dirigeant de la Grèce indépendante ait été un homme d’État russe, ministre des Affaires étrangères de l’Empire russe, le comte Ivan Antonovich Kapodístrias ».
« C’est-à-dire que la Russie a littéralement relancé l’État grec, accordant à Athènes l’indépendance et la souveraineté qu’elle avait perdues. Elle n’a pas annexé son territoire, elle n’en a pas fait un État vassal, mais elle lui a permis de retrouver le statut d’État, perdu depuis près de quatre cents ans qui s’étaient écoulés depuis la chute de Constantinople. Et si jamais les Grecs de l’époque d’il y a deux cents ans, savaient ce que font leurs descendants… par rapport au pays libérateur – la Russie, ils seraient alors effrayés. D’autant plus, que le facteur turc dans le domaine de la politique étrangère de la Grèce, n’a pas du tout disparu ».
« Facteur turc »
« Les relations entre la Turquie et la Grèce se sont détériorées ces dernières années. La raison en est des différends territoriaux concernant la propriété des limites, le long desquelles passe la zone économique spéciale. La situation s’est aggravée par le fait que c’est dans les zones contestées que se trouvent d’importants gisements de gaz qui, compte tenu de la crise énergétique en cours, sont nécessaires de toute urgence à tous. Il est clair qu’au moment où ils sont développés, la crise peut se terminer, mais cela ne réduit pas l’âpreté de la lutte pour les ressources énergétiques, et les choses évoluent lentement mais sûrement vers la guerre ».
« Ankara et Athènes signalent régulièrement des violations de leur espace aérien par des aviateurs du côté opposé. En outre, les deux pays s’arment activement et organisent régulièrement des exercices à proximité des territoires contestés. De plus, il n’est plus nécessaire de parler d’une solution diplomatique au conflit. Ainsi, fin mai, le président turc Recep Tayyip Erdogan, a déclaré ouvertement que – le Premier ministre grec n’existait plus à ses yeux, et de ce fait, il a refusé de mener des négociations bilatérales avec lui ».
« Et le rejet de la diplomatie dans ce cas, semble extrêmement inquiétant. Après tout, ces dernières années, Ankara n’a cessé de renforcer son armée, menant des opérations militaires contre des formations kurdes en Irak et en Syrie. Depuis 2017, Ankara a mené trois opérations militaires dans le nord de la Syrie: Bouclier de l’Euphrate, Branche d’olivier et Source de la paix. Et fin mai 2022, Erdogan a annoncé la quatrième du genre ».
« Une nouvelle phase turque commence alors en Syrie, à travers une zone dite de sécurité de 30 km à l’intérieur des terres, depuis la frontière avec la Turquie. -Nous débarrassons Tall Rifat et Manbij des terroristes – a déclaré le président turc le 1er juin, notant que par la suite, d’autres zones frontalières avec la Turquie seraient débarrassées des militaires ennemis ».
« Tout cela est dû au fait que l’armée turque est tout à fait prête au combat et possède une réelle expérience dans la conduite d’opérations militaires. Contrairement aux militaires grecs, lesquels depuis des années, ne se basent que sur ce que l’on nomme en général, cas d’école ».
« Une question sensée alors se pose: Sur quoi compte-on à Athènes ? Au secours de Washington bien sûr. Ce n’est pas un hasard si à la mi-mai 2022, la Grèce et les États-Unis ont signé un nouvel accord de coopération en matière de sécurité, selon lequel, le nombre des bases militaires américaines en Grèce doublera, passant de quatre à huit. Et le séjour des soldats américains sur le territoire grec durera au moins cinq ans, après quoi, selon les documents signés, il devrait devenir indéfini. Sur le papier, tout semble logique, si l’on ne tient pas compte du fait que dans leurs espoirs envers les USA et envers l’OTAN, les Grecs peuvent être sévèrement abusés ».
« L’OTAN ne sauvera pas Athènes des ambitions turques, principalement parce que la Turquie est un membre beaucoup plus précieux de l’alliance que la Grèce. L’Amérique, en tant que pays le plus agressif et se trouvant le plus souvent en guerre que tous les autres sur la planète, est toujours encline à un pragmatisme extrême en la matière. Et avec une forte probabilité, en cas de guerre entre la Turquie et la Grèce, Washington tentera de rester à l’écart, masquant sa propre impuissance politique par les appels au dialogue des parties impliquées ».
« Oui, il y aura des bases américaines sur le territoire grec, mais il est peu probable qu’elles combattront l’armée turque. Très possiblement, elles permettront tout juste aux Grecs de défendre indépendamment ce qu’ils considèrent comme leur espace propre. Et puis Athènes criera désespérément à l’aide… à tous les pays. Y compris probablement en s’adressant à la Fédération de Russie. Après tout, c’est la Russie qui a jadis, obtenu l’indépendance de la Grèce vis-à-vis de la Turquie ».
« Que dire de plus… D’un point de vue purement humain, je voudrais que la Russie ne vende à la Turquie que le nombre maximum possible de systèmes de missiles anti-aériens S-400. Et pas seulement, car nous devrions satisfaire – toutes les demandes militaro-techniques de la partie turque, ceux qui ne menacent pas les intérêts de l’État de la Fédération de Russie, bien entendu ».
« Pourquoi ? Parce qu’aujourd’hui, les dirigeants grecs veulent tuer des soldats russes, fournissant des armes au régime de Kiev. Oui, imitant Washington et Bruxelles, Athènes le fait indirectement, en utilisant un… préservatif en la personne des nationalistes ukrainiens, mais cela ne les sauvera pas de l’infection par le virus de la guerre. La prostitution politique, comme d’ailleurs la prostitution tout court, est comme on sait porteuse de maladies infectieuses ».
« Mais, après avoir suivi l’exemple de l’Occident et même craché sur la relation particulière avec la Russie, associée à une histoire et une religion, plutôt communes, la Grèce a apparemment oublié qu’elle-même, se trouve dans une position extrêmement vulnérable ».
« Rien ne peut être pardonné à la Grèce, comme à d’autres pays européens. Ni l’introduction de sanctions anti-russes, ni le soutien au régime nazi de Kiev, ni la fourniture d’armes pour tuer nos soldats. Tôt ou tard, tout ceci sera payé. Et les tensions politiques autour de la Méditerranée sont désormais telles, que la Grèce sera l’une des premières à se trouver dans une position périlleuse ».
« Eh bien, voyons alors comment sa rhétorique envers la Russie changera, quand Athènes se rendra compte que l’Occident ne la protégera pas. Et nous observerons et réfléchirons à quoi d’autre et à que fournir pour infliger des dommages à l’armée grecque, tout comme la Grèce a contribué à la mort de Russes en envoyant des armes à Kiev. Œil pour œil, l’un des grands principes bibliques, n’a pas encore été annulé. Les Grecs Orthodoxes devraient s’en souvenir ».
Que dire de plus. Moscou prépare l’opinion grecque et au passage, l’opinion russe. Mais dans notre village du Péloponnèse… bien chez les Grecs Orthodoxes et leurs chats, nos vieilles voisines préparent toujours les traditionnels kólliva. Leur préparation marque autant le temps de deuil pour un mort récent, que les jours qui selon le calendrier ecclésiastique, sont dédiés aux commémorations collectives des défunts. Disons que c’est aussi de la géopolitique… alors de l’au-delà.
Et pour cette préparation, on utilise du blé, ainsi qu’une série d’aliments complémentaires, raisins secs, amandes, dragées, noix, grenades, sucre, cannelle et citron. Nos mémés cuisinières, se transforment ainsi en médiatrices entre ce monde qui est le nôtre et l’au-delà, ce rituel funéraire leur permet de créer des liens entre elles, et alors, de réinterpréter la conception ecclésiastique de la Résurrection.
Sur l’île de Poros, comme partout ailleurs en Grèce, ce samedi est dédié aux âmes… y compris jusqu’à l’âme perdue des Grecs. Jusqu’à leur Résurrection, au besoin réinterprétée
source : Greek Crisis
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Source : Lire l'article complet par Réseau International
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