Les parlementaires rendent aujourd’hui un rapport d’étape sur les effets indésirables des vaccins contre la Covid-19. S’ils se félicitent du suivi qui a été mis en place au niveau de la pharmacovigilance, ils regrettent une communication institutionnelle qui n’a pas assez misé sur la pédagogie et la transparence, et recommandent plutôt de tenir « un discours de vérité. » (Public Sénat)
On l’a vu dernièrement avec Patrick Cohen, cette incarnation de la bien-pensance qui conchie les complotistes du matin au soir sur tous les médias mainstream, qui a reconnu du bout des doigts que le coronavirus qui a envahi la Terre début 2020 aurait éventuellement pu être fabriqué ou amélioré en laboratoire, à partir d’une souche naturelle.
Hier décrite comme un fantasme de complotistes, la thèse d’une origine artificielle du SARS-Cov 2 est aujourd’hui étayée par des éléments sérieux, et relayée par @TheLancet et Patrick Cohen.
Que cela serve de leçon d’humilité aux censeurs en tout genre.https://t.co/B7XxXnqssM
— Maximilien Delvallée (@MaxDelvallee) June 8, 2022
Il y a deux ans, nous fustigions le couillonavirus pour des raisons objectives, à la fois scientifiques et médiatiques. L’intelligence aura mis deux ans à monter au cerveau de cet agent et de ses confrères bigpharmatisés, qui nous ont quand même accusés pendant deux ans de tous les mensonges possibles, jusqu’à menacer des vies. Aujourd’hui, comme souvent avec les anti-complotistes, ils rentrent à la niche, font un timide mea culpa (quand ils en font un), et reprennent à leur compte les évidences, tant leur discours est devenu intenable, un discours qui s’effondre sous le poids de ses incohérences. Une mauvaise construction intellectuelle, ça ne tient qu’à l’énergie, ou à l’hypnose des non-sachants. Là, tout est retombé : il ne reste plus rien du covidisme, cette illusion quasi générale.
La preuve, même le timide et très aligné Sénat commence à faire son boulot et émettre des doutes sur la communication gouvernementale en matière sanitaire et surtout, sécuritaire : les vaccins ont des effets pervers ? Ben oui.
Et pourquoi le gouvernement les a-t-il cachés ? Ben ça, ma bonne dame…
De toute façon, nous direz-vous, le mal est fait : plus de 75 % des Français se sont fait injecter des trucs douteux, qui auront des conséquences à long et moyen termes, puisqu’on connaît déjà les conséquences à court terme, c’est-à-dire dans l’immédiat : troubles menstruels chez les femmes (au moment où les féministes pleurnichent pour rendre les tampons gratuits), protéine spike qui diffuse dans tout le corps malgré « l’interdiction » officielle de franchir les frontières organiques, et plus globalement risques de thromboses et AVC en série chez tout le monde, jeunes et sportifs compris.
Un magnifique et lamentable tableau des conséquences du mensonge gouvernemental ! Celui de la bande Buzyn-Lévy-Hirsch-Véran-Delfraissy, et on en passe… Les gouverno-croyants ont payé et payeront cher leur crédulité.
Voyons maintenant jusqu’où le Sénat a été.
L’Opecst reconnaît que la campagne de vaccination « a été source d’inquiétudes pour une partie de la population », notamment en raison de la vitesse de développement des vaccins reposant sur de nouvelles technologies. À cet égard, les rapporteurs regrettent « que la communication institutionnelle sur les effets indésirables ait été trop discrète par rapport à la communication incitant à la vaccination », en estimant que la confiance dans le vaccin ne pouvait venir que « d’un discours de vérité sur les effets indésirables. »
Le rapport entier du Sénat est ici.
Pendant ce temps-là, faisant fi des évidences, les agents du Système de répression sanitaire et intellectuelle continuent leur travail de sape…
Heureusement, la Raison n’a pas rendu les armes.
S’il faut se faire piquer 4 fois par an pour être protégé, c’est que ce vaccin ne fonctionne pas.
— Tatiana Ventôse (@TatianaVentose) June 4, 2022
Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation