Dans quel monde vit-on ?

Dans quel monde vit-on ?

Attention : si votre moral est au plus bas, si par exemple vous avez été vacciné plus ou moins contre votre gré, pour garder votre boulot ou faire plaisir à votre conjoint, alors ne lisez pas ce qui suit. Cela pourrait achever ce qui vous reste de résistance mentale.

En même temps, comme dirait le petit prince de la Banque R, ça peut servir de purge totale pour que le peu de moral déprimant qui vous reste soit éradiqué et qu’un moral nouveau en béton russe se reforme. C’est le principe de l’homéopathie, ou du vaccin : on envoie une petite dose de mal pour stimuler les défenses de l’organisme, pour réveiller le bien.

On vous aura prévenus. On appuie sur le bouton.

Le titre reprend l’antienne populaire « dans quel monde vit-on », qui sonne comme une espèce de fatalité devant la dégradation (apparente) des choses, et dans les choses il y a les traditions, les rapports humains, la politique, bref, tout ce qui compte et qui joue sur le moral.

En réalité, chaque génération précédente pense que les choses se dégradent, alors que la nouvelle génération vit dedans et trouve ça naturel : c’est logique, la dernière venue est plus adaptée. C’est affaire de point de vue, et tout est relatif. Mais au-delà de cette relativité naturelle, il peut y avoir un vrai délabrement, disons un délabrement artificiel en plus du délabrement naturel qui touche chaque génération : un surdélabrement.

C’est ce que nous allons nous attacher à montrer. On n’a pas dit démontrer parce que personne ne peut rien démontrer, en matière sociétale. Vous pouvez maintenant attacher vos ceintures de sécurité mentale.

On va commencer la tournée du délabrement par Bilal : le mec, on l’accepte en France (pas nous, mais les autorités socialo-sionistes), et il nous crache à la gueule. Une fois qu’il s’est fait gauler, il pleurniche. Erreur fatale : on n’aime ni les anti-France ni les pleurnichards.

 

La conséquence de la bilalisation de la France (c’était ça ou la lepénisation), c’est le réarmement :

Du coup, en face, le danger « fasciste » réveille les antifas, cette milice bénévole pour la Banque, mais qui ne le sait pas.

 

Pour échapper à la violence sociale (ou horizontale) qui monte, et qui est entretenue par les larbins médiatico-politiques de la Banque, certains se réfugient dans la drogue. À gauche, c’est toléré.

 

Le problème, qui est peut-être le problème de fond, dans le délabrement actuel, c’est l’exemple donné par les élites. Chez les individus les plus fragiles, les plus amoraux, ou les moins structurés mentalement, cela sonne comme un véritable permis de délabrer.

 

Le véritable extrémiste, qui fustige les extrêmes, occupe aujourd’hui le palais de l’Élysée. Il ne représente pas l’extrême centre, selon la nouvelle expression consacrée, mais bien l’extrême violence de la Banque, qui s’enrichit au détriment des Français et qui laisse le pays exsangue.

 

Une langue fourchue permet de tenir deux discours tout à fait contradictoires : ici, l’homme qui a été en charge sous Attali et sous Hollande de la désindustrialisation de notre pays, est capable d’en promettre la réindustrialisation !

 

Le droit de mentir, défendu par Me Jakubowicz pendant le procès de l’assassin d’enfant Nordhal Lelandais, contamine toute la société, dont le socle moral est en train de basculer de quelques degrés. Quelques degrés, cela ne paraît pas grand-chose, mais c’est le même principe que le tsunami : quelques centimètres d’une plaque continentale qui bouge, et vous avez des milliers de kilomètres de côtes dévastées, avec des centaines de milliers de morts.

Après cette démoralisation (au sens propre et au sens figuré) tous azimuts, tout devient possible. Par exemple, visiter la Finlande, qui est désormais le 55e pays africain :

 

Ou faire découvrir l’art érotique aux enfants :

 

Ou changer de genre comme de chemise, tout en changeant l’histoire…

 

On vous avait dit que ça allait faire mal !

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Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation

À propos de l'auteur Égalité et Réconciliation

« Association trans-courants gauche du travail et droite des valeurs, contre la gauche bobo-libertaire et la droite libérale. »Égalité et Réconciliation (E&R) est une association politique « trans-courants » créée en juin 2007 par Alain Soral. Son objectif est de rassembler les citoyens qui font de la Nation le cadre déterminant de l’action politique et de la politique sociale un fondement de la Fraternité, composante essentielle de l’unité nationale.Nous nous réclamons de « la gauche du travail et de la droite des valeurs » contre le système composé de la gauche bobo-libertaire et de la droite libérale.

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