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La condamnation de Ember Heard atteste d’un rejet massif de la terreur néo-féministe. Les forces religieuses sont indispensables pour la résistance efficace. Maria Poumier passe en revue l’histoire du féminisme français depuis une perspective religieuse et féminine, féministe jusqu’à un certain point.
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par Maria Poumier.
Extrait : « Voilà qu’à notre époque, voilà que le féminisme a gagné tellement de terrain qu’on aboutit au niveau législatif à des inversions du droit, des pratiques et des rôles. C’est l’étape actuelle : la promotion et l’imposition à l’échelle planétaire des « droits reproductifs », simple incitation à la contraception chimique et à l’avortement, sans que personne n’ait un droit de regard en la matière, qui est pourtant l’enjeu du renouvellement de l’humanité et de la santé mentale des générations suivantes. Cela donne malheureusement la toute-puissance aux femmes pour construire ou détruire les familles, et ce, explicitement, contre les hommes.
Autre cas extrême, en cas de plainte pour viol, l’homme est toujours présumé coupable. C’est sur ce terrain que l’on perçoit le mieux la manipulation politique d’envergure mondiale qui est à l’œuvre sous prétexte de « droit des femmes ». Autrefois, un opposant politique paraissant dangereux se faisait assassiner. Maintenant, on assassine avec une simple accusation de viol.
Le cas le plus éclatant est celui de Julian Assange. Une accusation infondée, par deux jeunes Suédoises consentantes, l’a tenu à la merci des autorités britanniques depuis 2010, alors qu’il était immensément populaire pour son courage à dénoncer les atrocités commises par l’armée US en Irak, et tous les doubles jeux des responsables politiques soumis aux chantages de la CIA. Il a fallu neuf ans aux tribunaux suédois pour déclarer qu’il n’y avait pas de preuve de viol !!! Après quoi, le FBI ayant eu le temps d’acheter toute une chaîne d’autorités judiciaires, les US en 2019 réclament son extradition, en avouant qu’il s’agit tout simplement de le faire condamner en tant que journaliste ayant porté atteinte à l’autorité de l’État, pour faire un exemple destiné à museler les journalistes honnêtes du monde entier ; et Julian Assange se trouve maintenant enfermé de façon beaucoup plus stricte, à la prison de haute sécurité de Belmarsch, et risquant 175 ans de prison s’il est extradé. Rien de tout cela n’aurait été possible sans l’énorme opération de diffamation au départ, grâce à deux jeunes femmes sans scrupules.
Julian Assange, poursuivi pendant dix ans pour « relations sexuelles par surprise », avant d’obtenir un non-lieu ; c’était le prétexte pour le marginaliser et le criminaliser à vie.
Reste à évoquer le groupe le plus dangereux parmi les féministes : les femmes homosexuelles se revendiquant comme telles. Ce sont généralement de fortes personnalités, courageuses, intelligentes, cultivées, avec des qualités de meneuses. Elles ont une haute estime d’elles-mêmes pour leurs qualités viriles réelles et nécessaires dans tous les combats, et usurpent tout naturellement la notoriété frauduleuse de représentantes des intérêts des femmes en général, qui s’investissent plus dans la sphère familiale et locale. Étant dépourvues d’attirance pour les hommes, elles ne tombent pas dans les pièges du désir. Étant des femmes tournées vers l’action, elles ne sont en général pas maternelles non plus. Mais elles sont des outils pour les pouvoirs occultes les moins recommandables. En France, nous en avons eu un échantillon redoutable, très malhonnête, et dénoncée comme telle par d’autres féministes : Antoinette Fouque, psychanalyste et créatrice des Éditions des femmes.
Le droit nouvellement reconnu en France pour une femme de se procurer un enfant grâce à une assistance médicale en tenant légalement et définitivement le père à distance (légalisation en 2021 de la PMA pour toutes, aux frais de la Sécurité sociale) n’a pas eu le temps d’influer sur les statistiques. Il est probable que, pas plus que le mariage entre homosexuels, cette nouvelle liberté théorique ne fera pas décoller la natalité française de façon sensible.
On leur doit, aux militantes homosexuelles, des supposées victoires pour les femmes en général, avec l’extension constante du droit à l’avortement. Or, c’est là que se révèle l’illogisme foncier, et monstrueux du néo-féminisme ; comme l’écrit la philosophe Marion Duvauchet : « L’arbitraire est désormais au principe même de nos sociétés. Il se fait sentir tout particulièrement dans une loi sur l’avortement légalisant le meurtre des enfants non nés, mais conçus. La loi permet ainsi de tuer, comme si l’enfant appartenait à sa mère, légitimant par ailleurs l’effroyable réduction de la femme à son ventre. Réduisant ainsi le corps de la femme à n’être qu’un corps biologique, donc animal. C’est la destruction même du pacte social humain, car le pacte social humain comporte intrinsèquement l’interdiction du meurtre. Nous sommes ainsi devant cette terrible absurdité d’une société qui d’un côté prétend juger de la vie et de la mort des innocents, mais qui se refuse à juger de la vie et de la mort des coupables. Elle signe ainsi la croyance en la toute-puissance de l’homme sur l’homme, déclarant ainsi formellement son apostasie. »
Conclusion : nous sommes à la fin d’un cycle.
Toute la société, avec son encadrement juridique et législatif, semble avoir basculé dans l’absurdité suicidaire. Ces tendances effrayantes, et correspondant pour une bonne part au projet féministe de renversement des exigences patriarcales, donnent déjà un résultat immensément catastrophique, la baisse de la natalité, à l’exception de ce que pratiquent les couples se rattachant aux religions traditionnelles de leurs familles ; les gens qui revendiquent l’incroyance ne se reproduisent plus, et sabotent donc efficacement l’avenir de leur pays, désormais fragilisé au plan du renouvellement démographique, et donc forcément au détriment de la moindre unité ethnique. »
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via Entre la Plume et l’Enclume
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Source : Lire l'article complet par Réseau International
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