Un expert pro-vie combat l’avortement financé par Gates et la tyrannie médicale mondialiste à l’ONU

Un expert pro-vie combat l’avortement financé par Gates et la tyrannie médicale mondialiste à l’ONU

Austin Ruse.

Par Nick Marmalejo — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : LifeSiteNews/Vimeo

(LifeSiteNews) — Austin Ruse, écrivain et chien de garde de la politique sociale des Nations unies, déclare que les militants pro-vie ont des raisons d’espérer dans la lutte contre le groupe de tyrannie médicale mondialiste.

« Ce qui empêche l’ONU de prononcer un droit international à l’avortement, c’est le fait que l’Assemblée générale n’a jamais accepté d’aller dans ce sens », a déclaré Ruse, fondateur et président du Center for Family and Human Rights, dans une interview exclusive avec Jim Hale de LifeSiteNews. « C’est là que le travail de mon organisation et d’autres comme elle entre en jeu, car cela fait maintenant 25 ans que nous aidons les délégations à négocier des documents et que nous veillons à ce que l’avortement ne soit jamais reconnu comme un droit humain international. »

Néanmoins, Ruse affirme qu’il existe une tradition de défiance envers l’Assemblée générale de la part de bureaux et de programmes distincts au sein de l’ONU, tels que l’Organisation mondiale de la santé (OMS), le Fonds international d’urgence pour l’enfance (UNICEF) et le Conseil des droits de l’homme des Nations unies (CDHNU). Ils ont toujours ignoré la volonté de l’Assemblée générale et s’emploient au contraire à promouvoir l’avortement au niveau mondial, en prétendant qu’il existe un droit international à cette pratique dans les documents de l’ONU.

« Il s’agit, bien entendu, d’une fausse affirmation », a expliqué Ruse, commentant le soutien à l’avortement du Conseil des droits de l’homme des Nations unies dans son mémoire d’amicus curiae adressé à la Cour suprême des États-Unis dans l’affaire Dobbs v. Jackson Women’s Health Organization.

« C’est une chose qu’ils ont voulue. C’est ce qu’ils ont essayé depuis la conférence du Caire en 1994, puis Pékin en 95 et de nombreuses autres conférences, mais l’avortement n’est même pas mentionné dans un seul traité sur les droits de l’homme. »

« La santé reproductive n’est mentionnée que dans un seul traité sur les droits de l’homme, à savoir le traité sur les personnes handicapées, et nulle part il n’est demandé que l’avortement devienne un droit de l’homme », a poursuivi Ruse.

« Pourtant, ces “experts” des droits de l’homme prétendent, à tort, devant les tribunaux du monde entier et maintenant ─ y compris devant notre propre tribunal ─ qu’il existe un droit international à l’avortement fondé sur les documents de l’ONU, contraignants ou non. »

Source : Lire l'article complet par Campagne Québec-Vie

Source: Lire l'article complet de Campagne Québec-Vie

À propos de l'auteur Campagne Québec-Vie

Campagne Québec-Vie est une association québécoise qui travaille de concert avec tout individu ou association de bonne volonté, à l’établissement d’une société chrétienne qui protège la foi, la famille et la vie, de la conception à la mort naturelle.CQV a trois objectifs : i) Promouvoir la reconnaissance, par les représentants de tous les corps sociaux, y compris ceux de l’État, de la nécessité du christianisme, en tant que seule religion intégralement vraie, pour une réalisation pleine et entière du bien commun ; ii) Promouvoir la reconnaissance du fait que la foi chrétienne est raisonnable, et que la raison soutient la foi et la morale chrétiennes ; iii) Promouvoir le respect de la vie humaine depuis la conception jusqu’à la mort naturelle ainsi que les droits de la personne et de la famille ;CQV œuvre à instaurer une « Culture de Vie », c’est-à-dire que nous favorisons, en manifestant, en organisant des colloques, en diffusant des nouvelles par Internet et offrant de l’aide aux femmes enceintes en difficulté, le développement d’une société dont les lois et les mœurs concourent, entre autres, à la reconnaissance du droit à la vie de toute personne humaine, de la conception à la mort naturelle, ainsi qu’à la reconnaissance de la famille traditionnelle (homme, femme, et les enfants qui découlent de leur union aimante) comme lieu privilégié pour l’épanouissement de la personne humaine.

Laisser un commentaire

Votre adresse courriel ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Recommended For You