Réinfo Covid Québec a décidé de publier chaque semaine une revue de presse de la COVID-19. Elle rapporte différentes nouvelles peu ou pas traitées par les médias et permet donc de se forger une opinion différente de la crise sanitaire et démocratique que nous vivons….
La pollution atmosphérique accentue la Covid-19
Des réactions plus graves au SRAS-CoV-2 sont associées à des niveaux plus élevés d’exposition à long terme aux contaminants atmosphériques (étude publiée dans CMAJ ce 24 mai 2022).
Sommet mondial sur la COVID-19
17 000 scientifiques appellent à mettre fin à l’état d’urgence sanitaire
Lors d’un sommet mondial sur la COVID-19, 17 000 médecins et scientifiques ont fait une déclaration commune le 11 mai par la voix de leurs représentants. Appelant à mettre un terme à l’état d’urgence sanitaire enclenché au début de la crise du Covid-19, ils accusent les grandes sociétés pharmaceutiques, les gouvernements, les agences de santé publique et les médias grand public d’avoir, par leurs actions, causé la mort de plusieurs centaines de milliers de personnes.
Covid 19: AstraZeneca, Pfizer, Moderna… Vers un abonnement vaccinal pour tous ?
L’Agence européenne des médicaments (EMA) a donné son autorisation jeudi à l’ouverture d’une troisième dose du vaccin anti-Covid Vaxzevria, fabriqué par le laboratoire pharmaceutique britannique AstraZeneca, pour les adultes dans l’Union européenne. De son côté, le géant Pfizer a déclaré lundi que son vaccin est efficace avec trois doses pour les enfants âgés de 6 mois à 5 ans. Seulement quelques heures après cette annonce, l’Agence américaine des médicaments (FDA), dont les décisions font souvent référence dans le monde, a décidé d’une date pour examiner l’autorisation des vaccins anti-Covid des entreprises Pfizer et Moderna pour les jeunes enfants : le 15 juin.
Faux certificats de vaccination pour les élites
De nombreuses questions demeurent sur les faux certificats de vaccination contre le Covid-19 achetés par des stars, des personnalités sportives et des chefs d’entreprise
Les conséquences imprévues de la politique vaccinale COVID-19
Le British Medical Journal se pose la question de savoir pourquoi les obligations vaccinales, les passeports et les restrictions peuvent causer plus de mal que de bien.
Les auteurs concluent que
les politiques actuelles en matière de vaccins obligatoires sont scientifiquement discutables et sont susceptibles de causer plus de dommages à la société que de bien. Restreindre l’accès des gens au travail, à l’éducation, aux transports publics et à la vie sociale sur la base du statut vaccinal COVID-19 empiète sur les droits de l’homme, favorise la stigmatisation et la polarisation sociale, et nuit à la santé et au bien-être. Les politiques actuelles peuvent conduire à un élargissement des inégalités sanitaires et économiques, à des impacts néfastes à long terme sur la confiance dans le gouvernement et les institutions scientifiques, et à réduire l’adoption de futures mesures de santé publique, y compris les vaccins COVID-19 ainsi que les vaccinations systématiques.
Syndrome d’immunodéficience acquise chez les triples vaccinés contre la COVID-19?
Cette étude américaine, la plus importante à ce jour, montre que les vaccins à ARNm nuisent à l’immunité à long terme contre la COVID-19 après une infection. Cette étude publiée le 19 avril 2022, a été effectuée par les chercheurs du NIH, des grandes universités américaines, l’Université de Montréal et Moderna.
Cette étude montre que les personnes non vaccinées sont beaucoup plus susceptibles de développer une quantité importante d’anticorps après une infection à Covid que les personnes ayant reçu des vaccins à ARNm.
Cet essai clinique effectuée avec plus de 30 000 personnes, pourrait permettre d’expliquer pourquoi les personnes vaccinées souffrent malgré tout de multiples infections au SARS-CoV-2.
Les chercheurs constatent dans cette étude que beaucoup de personnes vaccinées et infectées ne développent pas d’anticorps neutralisant (anticorps anti-N); alors que les personnes non vaccinées en développent pratiquement toujours.
Les « vaccinophiles » avancent, sans la démontrer, une hypothèse voulant que l’absence d’anti-N chez les vaccinés infectés pourrait être due au fait que les injections d’ARNm permettent de lutter plus rapidement contre l’infection virale et donc de diminuer la charge virale. Les personnes vaccinées seraient ainsi moins gravement infectées et n’auraient donc pas besoins de produire des anti-N.
Cette récente étude démolit complètement cette théorie.
Dans un premier temps, les chercheurs ont examiné le développement d’anti-N chez des personnes ayant participé à l’essai clinique de Moderna et infectées par le Covid. Comme ils s’y attendaient, les scientifiques ont constaté que les personnes vaccinées étaient beaucoup moins susceptibles de développer des anticorps neutralisants. Seuls 40 % des personnes vaccinées avaient des anticorps N, contre 93 % des personnes non vaccinées.
Dans un deuxième temps, les chercheurs ont non seulement quantifié les anticorps, mais également la charge viral au moment où les personnes étaient infectées. Les chercheurs ont donc pu comparer des personnes vaccinées et non vaccinées qui avaient la même quantité de virus dans le sang.
Une fois encore, les chercheurs ont constaté que les personnes non vaccinées étaient beaucoup plus susceptibles de développer des anti-N que les personnes vaccinées. Une personne non vaccinée souffrant d’une infection légère avait 71 % de chances de développer une réponse immunitaire incluant ces anticorps. Une personne vaccinée avait environ 15 % de chances.
Ce n’est que dans les cas d’infection grave et de charges virales très élevées que la différence s’est réduite de manière significative ; dans ces cas, toutes les personnes non vaccinées et la plupart des personnes vaccinées avaient des anticorps neutralisants.
Dans la figure ci-dessous, le ligne jaune représente la probabilité qu’une personne non vaccinée développe des anti-N contre le SARS-CoV-2 en fonction de la charge virale. La ligne bleue montre les mêmes probabilités pour une personne ayant reçu une injection d’ARNm.
Une personne non vaccinée a près de 60% de chances de développer des anticorps, même en cas d’infection extrêmement bénigne; une personne vaccinée doit avoir près de 100 000 fois plus de virus dans le sang pour avoir le même pourcentage de chance.
Les chercheurs ont également tenté d’établir une corrélation entre le développement d’anti-N et la charge virale en fonction du temps. Rappelons la théorie des vaccinophiles : si une personne vaccinée élimine plus rapidement le virus, elle pourrait avoir moins d’anticorps. Or, les chercheurs ont constaté le contraire : c’est le statut vaccinal qui importait et non l’infection.
L’explication la plus probable, pour les chercheurs, est que les vaccins ARNm induisent une réduction de la séroconversion (c’est-à-dire de la production d’anticorps).
Se pourrait-il alors que les vaccins déclenchent une sorte de syndrome d’immunodéficience, communément appelé SIDA? Cela pourrait expliquer pourquoi les triples doses sont très largement surreprésentés parmi les nouvelles hospitalisations (la dernière mise à jour du Tableau de bord de Réinfo Covid Québec montre ainsi une surreprésentation de 15 points des triples doses) :
Augmentation soudaine des décès non liés à la COVID-19
Les compagnies d’assurance-vie signalent une augmentation soudaine des décès non liés au COVID
Selon les propos d’assureurs rapportés par le Wall Street Journal, les compagnies d’assurance-vie américaines ont connu une augmentation de près de 40 % des demandes de prestations de décès au troisième trimestre de 2021 par rapport au niveau de référence prépandémique, la plus forte augmentation de ce type (jusqu’à présent) de la pandémie de coronavirus.
On vous rassure, le Wall Street Journal ne fait aucun lien avec de possibles effets secondaires de la vaccination. Il émet plutôt l’hypothèse que cette hausse pourrait être due au retard dans les chirurgies ou à l’augmentation de problèmes sociaux dus aux effets de la pandémie.
Vaccins ARNm anti-Covid : une immunité de courte durée!
- Les mauvaises nouvelles s’accumulent pour le géant pharmaceutique Pfizer. D’après une étude clinique publiée par la revue scientifique JAMA Network Open (le 13 mai 2022), l’immunité procurée par le vaccin Pfizer contre le variant Omicron serait de courte durée. Si le vaccin procure une petite efficacité pendant quelques semaines, celle-ci se réduit fortement au bout de trois mois après la deuxième dose et au bout de dix semaines après la troisième, une donnée corroborée par la baisse rapide des anticorps neutralisants spécifiques à Omicron.
Voir également l’article de vulgarisation dans FranceSoir.
- Une autre étude (publiée dans Nature Medicine du 25 mai 2022) révèle que les vaccins offrent peu de protection contre le COVID long après une infection
« En termes clairs, la stratégie du vaccin seul s’est avérée être un échec lamentable/abyssal , non seulement pour protéger la société dans son ensemble contre la pandémie de COVID-19. Elle ne protège guère non plus contre le COVID-19 long (connu techniquement sous le nom de syndrome COVID-19 post-aigu) ou la mort après la phase post-aiguë d’une percée infectieuse.
L’insistance sur une stratégie de vaccination exclusive ne repose pas sur une quelconque logique de soins de santé, mais sur la nécessité de protéger la classe capitaliste de toute intrusion dans son appétit insatiable d’extraire la plus-value de la main-d’œuvre. » écrit Benjamin Mateus du World Socialist Web Site le 28 mai 2022)
En résumé, l’étude qui s’étendait du 1er janvier 2021 au 31 octobre 2021 (avant la phase Omicron de la pandémie) observe :
- que l’incidence des infections était d’environ une personne sur 100, six mois après avoir été complètement vaccinées.
- Que les personnes âgées vaccinées qui ont une infection révolutionnaire ne sont pas mieux lotis que les personnes âgées qui n’ont jamais été vaccinées du tout.
- que le risque de décès chez les personnes vaccinées était le plus élevé au cours des trois premiers mois suivant une infection, et que les taux de mortalité plus élevés persistaient au moins jusqu’à six mois, la durée de l’étude.
- que le risque accru de décès chez les personnes vaccinées persistait même pour ceux qui avaient une maladie bénigne et qui n’avaient pas besoin d’hospitalisation après leur infection révolutionnaire.
L’auteur principal de l’étude, le Dr. Ziyad Al-Aly de la faculté de médecine de l’Université de Washington, a déclaré à Healthline : « Essentiellement, nous voulions savoir si les vaccins pouvaient nous protéger contre le COVID long et quelle protection est conférée par la vaccination. Nous espérions voir que les vaccins seraient protecteurs, mais, hélas, les résultats ont montré le contraire », qualifiant les vaccins de « bouclier imparfait ».
Les auteurs de l’article concluent « Les résultats montrent que la vaccination ne réduit que partiellement le risque de décès et de séquelles post-virales, ce qui suggère que le fait de s’en remettre à elle comme seule stratégie d’atténuation ne permet peut-être pas de réduire de manière optimale le risque de conséquences sanitaires à long terme de l’infection par le SRAS-CoV-2.»
Vaccin à ARN messager : une « Bombe à retardement au cœur même de nos cellules »!?
Selon ses résultats à paraître dans le Journal officiel de la Société chinoise de toxicologie (FCT), une revue de toxicologie de renommée internationale, les « vaccins » à ARNm du SARS-CoV-2 provoqueraient :
– La création d’un ARNm modifié aux effets complexes mais surtout imprévisibles
– Les vaccins à ARNm favorisent la synthèse soutenue de la protéine de pointe du SRAS-CoV-2.
– La protéine spike est neurotoxique, et elle entrave les mécanismes de réparation de l’ADN.
– La suppression des réponses à l’interféron de type I entraîne une altération de l’immunité innée.
– Les vaccins à ARNm entraînent potentiellement un risque accru de maladies infectieuses et de cancer.
– L’optimisation des codons donne un ARNm riche en G qui a des effets complexes imprévisibles.
Pour un résumé voir l’article de Bruno Bourgeon du 28 mai 2022 dans le journal Témoignages
Les auteurs évoquent des maladies neurodégénératives, des troubles du foie, des cancers, des myocardites, des paralysies de Bell (paralysie faciale) ou encore de thrombocytopénie immunitaire (destruction des plaquettes dans le sang, qui ne coagule plus). Pire, les auteurs concluent que « des milliards de vies sont potentiellement en danger, étant donné le grand nombre de personnes auxquelles on a injecté les vaccins à ARNm ». Ils appellent « les institutions de santé publique à démontrer, avec des preuves, pourquoi les questions abordées dans ce document ne sont pas pertinentes pour la santé publique, ou à reconnaître qu’elles le sont et à agir en conséquence ».
Imaginez un instant les conséquences si les mises en garde accablantes de cette étude s’avèrent fondées ? Plutôt qu’un remède, nous serions-nous fait injecter, et à plusieurs reprises, une bombe à retardement au cœur même de nos cellules ? Comme toujours depuis le début de la pandémie, le flou est le plus total.
D’un côté il y a les alarmistes, comme les auteurs de cette étude, qui prétendent que l’inoculation de ces vaccins constitue potentiellement une catastrophe sanitaire. D’un autre côté, il y a les autorités politiques, et, force est de le constater, la totalité des autorités sanitaires qui disent exactement le contraire. Allant même jusqu’à nier les nombreux effets secondaires pourtant avérés.
Vaccination COVID des enfants
La Commission Européenne veut vacciner les plus jeunes à la rentrée ! Virginie Jorron, députée européenne
Justice :
Le rapport secret de Pfizer
Inverview avec le Pr.Michel Chossudovsy à Horizons Politiques : Le vaccin covid et le rapport secret de Pfizer, « Les preuves des crimes contre l’humanité ». 16.05.2022
« Il n’y a pas de liberté de choix quand il s’agit d’un poison » affirme le Pr. M. Chossudovsy
Documentaire à voir absolument: SUSPENDUS… DES SOIGNANTS ENTRE DEUX MONDES
Le documentaire est en accès libre ici. Pensée pour tous ceux qui sont suspendus en France : soignants et non soignants, pompiers, pilotes, travailleurs de l’aide sociale et du handicap, personnel non médical, et tous les autres !
Le mythe d’une pandémie de personnes non vaccinées à dissiper
Voici quelques paragraphes de cet article scientifique publié le 26 avril 2022
« Selon divers rapports des médias grand public, les données sur la santé en Ontario montrent que les personnes non vaccinées contre le COVID-19 sont jusqu’à 60 fois plus susceptibles de se retrouver dans les unités de soins intensifs (USI) avec le COVID-19 que les personnes vaccinées. Avec des titres alarmants, les médias ont fait la promotion d’un récit selon lequel les personnes non vaccinées sont le moteur de la pandémie et augmentent le fardeau des unités de soins intensifs en Ontario au détriment d’autres personnes qui pourraient avoir besoin de soins dans ces unités. Ces titres dépeignent généralement les non-vaccinés comme des pourvoyeurs de maladies négligents, donc potentiellement dangereux et donc responsables de la situation critique actuelle de la société. Ces titres et les politiques de santé qui en découlent ne tiennent pas compte du fait qu’à ce stade de la pandémie de COVID-19, au moins 22 % et probablement plus de 50 % des Canadiens infectés par le SRAS-CoV-2 se sont rétablis et ont développé une immunité naturelle.
Étant donné que les affirmations concernant les non-vaccinés COVID-19 ont des conséquences d’une grande portée tant pour les traitements médicaux que pour les droits civils, il est nécessaire de procéder à une évaluation critique de ces affirmations, en particulier compte tenu de la stigmatisation, tant par le public que par le gouvernement, des personnes qui ont choisi de ne pas se faire vacciner.
Conclusion :
Les responsables de la santé affirment que les personnes non vaccinées sont à l’origine des taux d’infection et que les mandats sont nécessaires pour ne pas dépasser la capacité des hôpitaux. Cependant, une inspection minutieuse des données indique que non seulement les politiques étaient basées sur des preuves de faible qualité et sérieusement biaisées, mais qu‘un examen plus approfondi des données réelles démontre le contraire de ce que le gouvernement prétend. Bien qu’il y ait eu une légère augmentation des cas parmi les personnes non vaccinées d’août à la mi-octobre 2021, reflétant l’augmentation des taux de dépistage, au début de décembre 2021, la majorité des cas concernait les personnes vaccinées. De plus, cette recrudescence des cas a entraîné une proportion plus élevée de personnes vaccinées que de personnes non vaccinées à l’hôpital ou admises en soins intensifs, malgré l’obligation de se faire vacciner et le taux élevé d’utilisation du vaccin. Enfin, la politique ne mettait pas suffisamment en balance les avantages escomptés de la vaccination et les risques connus de blessures et de décès qui, dans le cas des thérapies géniques COVID-19, l’emportent largement (événements indésirables, ARI de 17,9 % et 0,5 %) sur les avantages revendiqués des vaccins (cas symptomatiques, RRA de 3,7 % et 0,1 %).
Les soins optimaux devraient être caractérisés par le discours et l’enquête scientifiques, le recours aux plus hauts niveaux de preuve, les soins individualisés et le consentement éclairé. Parce que la COVID-19 ne représente plus un risque pour la population en général, en raison de l’arrivée de souches moins virulentes comme Omicron ou la dernière variante B.2, et en raison de l’immunité généralisée de la population, il est temps d’abandonner ces mandats vaccinaux dépassés et de revenir à des pratiques médicales solides et à des normes de soins établies. »
La variole du signe
Le National Health Service (NHS) du Royaume-Uni vient de modifier sa page sur la variole des singes… Pour le rendre plus effrayant
Avant :
– le virus se propage difficilement
– Et on guérit sans traitement
Maintenant :
– le virus se propage facilement
– et la maladie se traite difficilement
Martin Blachier: « La variole du singe n’a aucun rapport avec un phénomène de masse qu’était le Covid »
Variole du singe: vers un retour des restrictions sanitaires et de la vaccination généralisée ?
L’ identité numérique
En marche rapide au Québec
Identité numérique, cours de biométrie à l’école de technologies supérieures, Sirois membre du CA de l’ÉTS, convergence bionumérique, crédit social
Voir cette courte vidéo
Le Traité de l’OMS est lié à un système mondial de passeports et d’identification numériques
LE NOUVEAU TRAITÉ DE L’OMS À PROPOS DES PANDÉMIES FAVORISERA DES CONFINEMENTS PERMANENTS. Interview du Dr David Bell (EPOCH-TV 21 mai 2022).
Dès lors, le Dr Bell incite les citoyens à se renseigner rapidement sur l’histoire des pandémies et sur le faible risque que représente la COVID, à faire pression sur leurs gouvernements et à demander qu’on fasse un débat « rationnel » sur le sujet, que l’on débusque les conflits d’intérêts qui opèrent actuellement et que les décisions soient dorénavant basées sur le bien des populations et non la recherche du profit.
Dr. Bell est médecin de santé publique. Il a précédemment travaillé à l’Organisation mondiale de la santé, en tant que responsable de programme pour le paludisme et les maladies fébriles à la Fondation pour de nouveaux diagnostics innovants (FIND) à Genève, et en tant que directeur des technologies de la santé mondiale au Fonds Intellectual Ventures Global Good Fund. Il siège maintenant au conseil d’administration de Pandemics, Data, and Analytics (PANDA), un groupe qui étudie la réponse mondiale à la COVID-19.
Médicaments pucés
Le PDG de Pfizer nous parle de pilules (pour lutter contre la schizophrénie) à Micropuce INGESTIBLE
Autrefois une démocratie libérale, le Canada est maintenant un État autoritaire (NYPost du 21 mai 2022)
Pfizer condamnée par la justice
Le géant pharmaceutique, Pfizer, a été condamné ces derniers jours à une amende de 290 000 dollars pour avoir volontairement trompé des patients.
Rions un peu
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