Le match Liverpool vs Racailles au Stade de France rallume la guerre de Cent Ans

Le match Liverpool vs Racailles au Stade de France rallume la guerre de Cent Ans

 

Nous allons résumer les faits pour ceux qui ne connaissent pas le foot, le 9-3 et la politique intérieure française. Samedi 28 mai 2022 a eu lieu la grande finale de la Ligue des champions au Stade de France. Initialement, elle devait avoir lieu à Leningrad mais pour une raison qui nous échappe, elle a préféré Paris, enfin, Saint-Denis. Saint-Denis, c’est Titi Henry qui en parle le mieux :

 

Ce jour-là, plus de 60 000 supporters anglais, dont 40 000 munis de billets (la jauge officielle de la british invasion), ont fait la fête avant le match. On les a retrouvés à Paris, place de la Nation, dans ce qu’on appelle la fanzone. Nous avons relayé les images de la party, où les Anglais chantaient Dirty Old Town version foot, une chanson qui colle bien au Paris de 2022, celui d’Anne Hidalgo, qui fout la capitale en l’air comme Macron fout le pays en l’air. Les progressistes sont des déconstructeurs, c’est-à-dire qu’ils ne bâtissent rien, ils laissent derrière eux, dans l’Histoire, un champ de ruines.

Après avoir bu force bières, les fans de Liverpool ont pris le RER B, que les agents de la SNCF ont mis en grève le jour du match, histoire de faire pression sur la hiérarchie. Frère Bauer en parle ici :

 

Attention, on va parler vrai

La finale a lieu à Saint-Denis, ville de la Basilique, où sont enterrés les rois de France. Il n’y a plus que 50 000 touristes par an pour visiter ce monument, parce que se faire détrousser sur la place, c’est pas agréable. Eh oui, Saint-Denis est la ville du deal, du vol et de la malversation. C’est là que Kate Moss, en sortant d’un enregistrement de Taratata dans les studios d’Aubervilliers, c’est fait racketter en essayant d’acheter de la coke. C’est là aussi, comme l’écrit le Comte de Bouderbala dans un sketch, où un Rom peut voler un sandwich à une racaille.

Saint-Denis, malgré l’apport des sièges de grandes entreprises, malgré le Stade de France, malgré les RER, c’est le lumpen-prolétariat, c’est le quart-monde, et on parle en connaissance de cause. C’est là avec les villes limitrophes catastrophes, comme Stains ou Aubervilliers, que la France déverse son trop-plein de migrants, et c’est aussi là que les communistes, puis les socialistes, et enfin les mélenchonistes, ont fait et font leurs plus gros scores. Et ce fait politique a son importance, vous allez voir.

Car les législatives approchent, et pour que le parti « Renaissance » du Président – LREM c’est déjà enterré – ait une majorité confortable pour faire passer les lois tyranniques (injection, surveillance, répression) du second quinquennat, il ne faut pas que les islamo-gauchistes de Méluche cartonnent trop. Or, au premier tour de la présidentielle 2022, le 10 avril donc, LFI a fait un carton dans les quartiers (et pas chez Cartier). C’est pour cette raison que dans la polémique entre la France et l’Angleterre, Darmanin a choisi d’épargner les racailles, la banlieue, le vote musulman – c’est leur amalgame, pas le nôtre ! –, et de charger les supporters britanniques, comme les flics ont chargé les Reds, enfants compris !

 

Darmanin avance que des milliers de supporters anglais détenaient des faux billets, ce qui aurait créé la confusion à l’entrée du stade, alors que ce sont les milliers de racailles qui sont entrés, qui par les grilles, qui par les « contrôleurs » qui sont leurs potes (on a obligation d’embaucher des gars du cru, comme dans les aéroports, ce qui explique le nombre considérables de vols), qui en volant les vais supporters.

 

Et la police de Darmanin, au lieu de gazer les racailles, a gazé les Anglais.

 

Naturellement, la presse macronique, c’est-à-dire socialo-sioniste, a foncé dans la brèche, évitant de tomber dans le racisme le plus vil. Soudain, c’était l’extrême droite qui était responsable du chaos : un joyeux déni ! On a même eu du point Godwin, c’est dire.

 

L’ancien commandant de la « cellule de l’Élysée » ne dit pas autre chose :

 

Le 22 juin 1963, devant le bordel que 200 000 jeunes avaient foutu place de la Nation pour un concert du jeune Johnny, le Général avait sorti : « ces jeunes ont de l’énergie à revendre, qu’on leur fasse construire des routes ! »

Aujourd’hui, une telle sortie serait considérée comme fasciste, avec option racisme puisqu’elle s’appliquerait aux racailles du 9-3, les racisés victimes de notre ignoble colonialisme.

 

C’est donc un fait divers footballistique qui dégénère en affaire d’État, et même d’États, puisque l’Angleterre en profite pour démonter la France, une fois de plus.

 

Tous les tabloïds anglais mais aussi les réseaux sociaux français se lâchent sur notre désorganisation et surtout, notre hypocrisie. Sur E&R, on préfère la vérité, et on ne va pas défendre les racailles parce qu’elles sont françaises par anglophobie. Quant à la presse espagnole, elle se lâche aussi dans la francophobie, ou la racaillophobie, au choix :

 

Florilège : la France de Brigitte & Manu

 

 

 

Pour résumer : racaille d’en haut, racaille d’en bas, même combat

 

 

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Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation

À propos de l'auteur Égalité et Réconciliation

« Association trans-courants gauche du travail et droite des valeurs, contre la gauche bobo-libertaire et la droite libérale. »Égalité et Réconciliation (E&R) est une association politique « trans-courants » créée en juin 2007 par Alain Soral. Son objectif est de rassembler les citoyens qui font de la Nation le cadre déterminant de l’action politique et de la politique sociale un fondement de la Fraternité, composante essentielle de l’unité nationale.Nous nous réclamons de « la gauche du travail et de la droite des valeurs » contre le système composé de la gauche bobo-libertaire et de la droite libérale.

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