Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : SciePro/Adobe Stock
Tuer n’importe quel enfant avec un fusil est inhumain, et le fourmillement des journaux le reflète bien. Mais tuer n’importe quel enfant à naître avec une pilule ou avec des instruments médicaux est aussi inhumain, et cette réalité-là, les journaux n’en parlent pas.
La fusillade des 19 enfants et des 2 adultes dans une école primaire au Texas est absolument déchirante, autant pour les parents, les familles, et les amis des victimes que pour tous les élèves de l’école Robb à Uvalde qui ont assisté à l’une des pires tueries « des dernières années aux États-Unis. »
Le pays est en deuil et son président a ordonné « la mise en berne des drapeaux à la Maison-Blanche ainsi que sur les bâtiments et lieux publics des Etats-Unis jusqu’à samedi soir. » La tragédie se fait entendre et voir sur tous les médias à l’échelle internationale.
Comme le disait le président américain le soir du drame, qui lui-même a déjà perdu plusieurs enfants dans le passé, « Perdre un enfant, c’est comme se faire arracher un morceau de son âme. Il y a un creux dans ta poitrine. Vous avez l’impression d’être aspiré à l’intérieur et de ne plus jamais pouvoir en sortir. »
Si les mères qui ont les 40 millions d’avortements par année reconnaissaient cette même douleur pour la perte de leurs enfants à naître, l’industrie de l’avortement ferait certainement faillite.
Il y avait 19 enfants de la même classe fusillés en un jour, mais il y a 1,2 million d’enfants à naître tués par l’avortement dans le monde chaque jour. Cela correspond à 48 000 classes de 25 élèves tués chaque jour.
La réalité de l’avortement est déchirante tout comme cette tuerie l’est, mais ce n’est pas sur les médias à l’échelle internationale que cela sera dit…
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