par Claudio Fabian Guevara.
Un éditorial publié dans la revue Surgical Neurology International, écrit par le Dr Russell Blaylock, aborde de manière opportune et percutante le scandale médico-politico-scientifique qui se cache derrière la pandémie de Covid-19.
Russell L. Blaylock (né le 15 novembre 1945) est un neurochirurgien américain à la retraite et un auteur. Il était professeur adjoint de neurochirurgie au centre médical de l’université du Mississippi. Il est l’auteur de plusieurs livres et articles, dont « Excitotoxines : Le goût qui tue » (1994), « Santé et nutrition : les secrets qui peuvent vous sauver la vie » (2002), et « Stratégies naturelles pour les patients atteints de cancer » (2003). Il rédige un bulletin mensuel, le Blaylock Wellness Report.
Les points les plus importants de l’article ont été résumés en espagnol par le Dr Karina Acevedo Whitehouse, qui a donné son avis sur l’ouvrage : « La vérité, comme l’eau des barrages, n’a besoin que d’atteindre le point où elle ne peut être contenue, et alors, elle déborde, atteignant des endroits insoupçonnés ».
Synthèse des principales affirmations de l’article :
- La pandémie COVID-19 est l’un des événements les plus manipulés de l’histoire.
Comme jamais auparavant, il y a eu des intrusions dans la pratique médicale, et la censure des médecins qui osent entrer en dissidence.
Depuis la présidence, d’autres niveaux de gouvernement et l’administration des hôpitaux ont imposé des traitements et des pratiques médicales qui ne sont pas fondés sur des preuves scientifiques ou sur l’expérience médicale. Les administrateurs dictent désormais aux médecins la manière dont ils pratiquent la médecine et les médicaments qu’ils peuvent utiliser.
Pour la première fois dans l’histoire de la médecine, des protocoles ont été formulés sur la base des recommandations d’individus et d’institutions qui n’ont jamais traité un seul patient.
Les médias et les sociétés médicales se sont déclarés la seule source d’information valable concernant la pandémie et quiconque s’y oppose est soumis à la censure, à la suppression des comptes de plateforme et à l’étiquette de « menteur, désinformateur », même lorsqu’il s’agit de personnes ayant une expérience remarquable en virologie, immunologie, épidémiologie, etc.
Les revues scientifiques/médicales sont de plus en plus dépendantes des subventions des industries pharmaceutiques, ce qui élimine leur impartialité (indispensable à la démarche scientifique).
Il y a de plus en plus d’articles scientifiques qui parlent du COVID ou des vaccins avec un argument différent de l’argument officiel, mais ils sont retirés des revues après avoir été acceptés et publiés.
Il y a de plus en plus d’études scientifiques basées sur des données manipulées, falsifiées et inventées, écrites par des « fantômes » (c’est-à-dire des personnes qui écrivent au nom d’une entreprise pharmaceutique) pour promouvoir leurs produits, même dans des revues aussi prestigieuses que le JAMA (Magazine of American Medical Association) ou le New England Journal of Medicine, et qui n’ont pas été retirées malgré les preuves d’abus scientifique et de manipulation des données.
Des médias télévisés reçoivent la majorité de leur financement des entreprises pharmaceutiques, pour la publicité des médicaments. Cela crée un énorme conflit d’intérêts pour ce qui est de pouvoir s’exprimer de manière neutre ou contre les vaccins et autres traitements promus. Rien qu’en 2020, l’industrie pharmaceutique a dépensé 6 560 000 000 (6,56 milliards de dollars US) en publicités pour ses produits.
Aux États-Unis, la « loi fédérale sur les soins » a encouragé les fautes professionnelles en offrant à tous les hôpitaux du pays jusqu’à 12 000 dollars pour chaque patient admis en soins intensifs et 39 000 dollars pour chaque patient en soins intensifs sous respirateur, alors même que ce protocole était l’une des plus grandes causes de décès des patients du COVID.
Des milliers de médecins et d’infirmières ont été injustement licenciés pour avoir refusé de recevoir un vaccin alors qu’ils ont travaillé pendant près d’un an de pandémie, sans vaccins COVID-19, pour soigner les patients, et malgré le fait qu’il a déjà été démontré que les personnes vaccinées qui sont positives aux tests et présentent des symptômes cliniques légers, ont la même charge virale que les personnes positives non vaccinées présentant des signes cliniques légers.
Le CDC, qui n’a aucune autorité pour imposer des protocoles et des traitements, a ordonné aux hôpitaux de suivre des protocoles médicaux qui ont entraîné la mort de centaines de milliers de patients qui, au vu des preuves, se seraient probablement rétablis s’ils avaient reçu un traitement précoce avec des produits qui ont été diabolisés de manière injustifiée (ivermectine, hydroxychloroquine, et autres). En fait, on estime que sur les 800 000 personnes comptabilisées comme « morts du COVID-19 » (aux États-Unis), 640 000 se seraient rétablies et auraient retrouvé leur état de santé antérieur si d’autres protocoles avaient été appliqués.
Les mesures utilisées pour contenir la pandémie n’ont pas été couronnées de succès ; les preuves scientifiques disponibles à l’époque concernant la mise en place de mesures de confinement, l’utilisation de masques et la distance sociale, n’ont jamais démontré qu’elles empêchaient la transmission de virus de ce type.
Tout au long de la pandémie, et avant l’utilisation des vaccins COVID-19, les enfants n’ont jamais couru de risque réel (au-delà de quelques cas d’enfants prédisposés à l’inflammation systémique) de tomber malades du COVID-19 ou de transmettre le virus.
Pendant la pandémie, la logique, le raisonnement et le besoin de preuves scientifiques ont disparu : pour tous les autres médicaments et vaccins qui étaient en cours d’examen par la FDA, le décès de 50 personnes ou moins ayant utilisé ledit produit aurait justifié l’arrêt de l’utilisation et de la distribution du médicament, comme ce fut le cas pour le vaccin contre la grippe en 1976. Entre le 14 décembre 2020 et le 31 décembre 2021, plus de 18 000 décès ont été signalés dans le VAERS et 139 126 événements indésirables graves, mais il n’y a eu à ce jour aucune tentative d’arrêter ce programme de vaccination, ni aucun effort sérieux pour enquêter (par le gouvernement) sur les causes des décès et des maladies graves chez les personnes vaccinées.
Il y a de plus en plus de preuves, certaines publiées dans des revues indexées et d’autres non, des dangers de ces vaccins, qui n’ont été testés que pendant 2 mois avant d’être autorisés, et les résultats de ces tests de sécurité sont restés cachés jusqu’à récemment où ils commencent à sortir (après l’ordre de la Cour suprême de justice des États-Unis).
On a dit au public que l’ARNm des vaccins n’était pas distribué au-delà des ganglions lymphatiques proches du site d’inoculation, mais ce n’est que grâce à la ressource d’accès à l’information au Japon que le livre blanc de Pfizer montre que le vaccin est distribué dans tout le corps en moins de 48 heures, avec des concentrations élevées dans le cœur, le foie, la moelle osseuse, la rate et les ovaires.
On constate une augmentation inhabituelle des cas de cancers agressifs chez les personnes vaccinées, notamment des mélanomes, des cancers de l’utérus et du sein, ainsi que la réactivation de cancers déjà contrôlés. On dit à ces patients, sans preuve, et malgré cette tendance à l’augmentation du risque de développer plus de tumeurs, qu’ils ont besoin de plus de vaccins COVID-19 car ils sont plus sensibles.
Un expert en médecine materno-fœtale a montré que les vaccins COVID-19 – administrés pendant la grossesse – provoquent une incidence de fausses couches 50 fois plus élevée que celle rapportée avec tous les autres vaccins combinés, et que les malformations fœtales sont 144 fois plus fréquentes chez les personnes vaccinées avec ces vaccins qu’avec les autres, bien qu’ils continuent d’être déclarés sûrs par les académies et sociétés d’obstétrique et de gynécologie (qui reçoivent des financements de Pfizer et d’autres sociétés pharmaceutiques ; par exemple, l’American College of Obstetricians and Gynecologists a reçu, au cours du seul dernier trimestre 2010, 11 000 dollars de Pfizer, et le financement du NIH, qui est plus important, dépend du fait de ne pas critiquer les sociétés pharmaceutiques.
Tous les lots de vaccins n’ont pas la même létalité ou le même risque. Un lot sur 200 est manifestement mortel (50 fois plus) pour ceux qui le reçoivent. Il existe des preuves que cette disparité dans la létalité des lots n’est pas aléatoire, ce qui pourrait suggérer une intentionnalité (5% des lots sont responsables de plus de 90% des effets indésirables graves, ainsi que des décès).
Aucune autopsie n’est pratiquée sur les personnes décédées après avoir été vaccinées, ni sur celles décédées du COVID-19. À la fin du mois d’avril 2020, sur les 150 000 décès signalés comme « décès dus au COVID », seules 16 autopsies avaient été pratiquées, et parmi celles-ci, seules 7 étaient des autopsies complètes. La réticence à faire des autopsies ne venait pas des pathologistes, mais des autorités.
source : Diaro de Vallarta
traduction Réseau International
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