Cédric jubillar a fait l’objet d’une expertise psychiatrique ces derniers jours. Cette dernière a été versée au dossier. Il s’est alors confié au médecin et à dit une phrase au sens plutôt ambigu.
Cela fait bientôt un an que Cédric Jubillar est incarcéré à la maison d’arrêt de Seysses. Placé en détention provisoire et suspecté d’avoir tué sa femme, Delphine Jubillar, il a toujours clamé son innocence.
Il a pourtant eu des propos lourds de sens et assez équivoques durant deux entretiens avec le psychiatre. A cette occasion, Cédric Jubillar est revenu sur son placement à l’isolement. Il explique ne pas comprendre cette mesure : Je ne suis pas un violeur, une balance, un homosexuel… Je suis un criminel comme les autres”, affirme-t-il. Une phrase qui jette le trouble sur son innocence…
Cédric Jubillar estime également être victime d’un traitement “injuste et méprisant” de la part du personnel de l’administration pénitentiaire, évoquant, notamment, les contrôles réalisés la nuit, la lumière allumée. “Ils vont me pousser au suicide”, assure-t-il face à l’expert.
Les contrôles réguliers des agents son en réalité effectués à la demande de la direction. C’est à cause d’un risque élevé de suicide que ces contrôles sont effectués.
Cédric Jubillar précise aussi qu’il entamerait une grève de la faim si sa prochaine demande de libération conditionnelle venait à être rejetée. Selon un journaliste de La Dépêche , il est envisageable que Cédric Jubillar puisse être remis en liberté. “Il n’est pas impossible qu’il sorte de prison s’il n’y a pas d’autres éléments contre lui. Tout est possible jusqu’à l’étape ultime : le procès”
Source : Actu Pénitentiaire
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