« Hier la vitrine, aujourd’hui le mur et demain Macron » ont taggué en ce 1er mai les antifas (ou leurs affidés). Demain, mais pourquoi pas hier ? En effet, n’ont-ils pas voté pour lui une semaine avant, jour pour jour ? Ce n’est pas une surprise, ces idiots naviguent entre utiles sans le savoir (l’idiot de base) et utiles en le sachant (le manipulateur ou le stipendié). Enferrés dans un trouble de double contrainte (la double bind des psychologues), ces gauchistes ont ce qu’on appelle plus prosaïquement « les fils qui se touchent ».
La double contrainte peut être résumée simplement en quelques cases :
Ainsi donc, après avoir hurlé tout autant légitimement qu’hystériquement contre Emmanuel Macron pendant cinq années (« Emmanuel Macron, on vient te chercher chez toi »), cette bande d’incapables du concept et même du simple raisonnement vont s’affronter contre des Gilets jaunes canal historique qui, eux, souhaitent pousser la logique jusqu’au bout : « Contre Macron et l’État profond ». Nous sommes ici en plein entre les deux tours, et les antifas vont rappeler par leur violence pour qui ils travaillent vraiment :
Ainsi donc, après avoir copieusement voté pour le président sortant, les gauchistes sont de sortie ce 1er mai, initiant leur fameux troisième tour dans la rue, avant celui dans les urnes où ils rêvent d’une cohabitation et d’un Jean-Luc Mélenchon premier ministre, espérant passer de 17 députés à plus de 280. Ben voyons, comme dirait l’autre.
Nous ne résistons pas à faire une belle publicité à la sauvage street medic qui s’en prend au pompier (à 31’20 de la vidéo précédente). Ayant été floutée sans raison par l’éditeur de la vidéo, nous la mettons face à sa bêtise puisque participant à une manifestation publique elle ne peut faire valoir un quelconque droit à l’image :
S’ensuivront les éternels débats qui alimentent et excitent les plateaux TV sur la violence dans les manifestations, l’inefficacité des forces de l’ordre (pourtant très efficaces contre les Gilets jaunes) puis le laxisme de la justice. Chacun se renvoyant la responsabilité de toute cette chienlit.
Et pendant que ce petit manège tourne indéfiniment, les gauchistes se grisent de leur guéguerre de rue, le public s’amuse, les bourgeois s’indignent et les puissants continuent à boire et à danser, chacun jouant son rôle dans un triste théâtre sans fin.
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