La plus grande fête calendaire est passée. Dans leurs campagnes, les Grecs ont célébré la Résurrection mais qui n’est pas la leur. Pourtant, certaines coutumes héritées du temps des vérités restent d’actualité, comme à Asíni près de Nauplie, quand on exécute au fusil la marionnette de Juda. « Tel doit être le sort des traîtres, il ne faut jamais l’oublier », disent-ils alors les participants. Culture… enfin populaire.
Sur la corniche. Nauplie, avril 2022.Restent sinon, toutes les marionnettes d’Athènes et d’ailleurs, au demeurant fort nombreuses. Qu’on se le dise, à elle seule, la… vocation coutumière dans toute sa symbolique de Judas d’Asíni, ne suffira guère pour les éliminer… disons politiquement. En attendant mieux, toujours dans la région de Nauplie, dans une acception autant parallèle de la Catharsis, le Juda du jour ou plutôt de la nuit, est quant à lui, brûlé en mer. Poséidon sans doute appréciera, de même que Saint-Nicolas.
Sauf qu’en dehors des moments symboliques, l’Hybris se déchaîne, qui plus est, sous les yeux fermés des peuples occidentaux. Et alors, rien n’y fait. Pendant que locaux et touristes savourent leur café sur la corniche de Nauplie, le pays grec redevient et cela dans « l’urgence », ce qu’il a toujours été depuis 191 années d’Anglocratie. Un pion, au besoin saigné à blanc, de la Loge du monde, manipulé depuis Londres.
Une situation paroxysmique… qui risque de se terminer de nouveau très mal, à l’image si sombre des décennies guerrières pour la Grèce, celles de 1912 à 1922 et de 1939 à 1949, Guerre civile alors comprise. Sans oublier… certains autres victimes « collatérales », dont ces pauvres trépassés Italiens, au nombre tout de même de 4000, car prisonniers des Allemands enfermés dans les soutes d’un navire, ayant fait naufrage en 1944.
Et encore, rien n’y fait. Les satanisés de l’Œcoumène sont toujours à l’œuvre en 2022, et cela jusqu’au moindre détail. Ainsi, leur pion local Mitsotákis, s’est rendu cette semaine chez Charles… le Prince de la maison Windsor ; visiblement, pour y recevoir les dernières instructions en direct… et en bon « apprenti en alternance ». Sitôt, le ton fut donné par l’Ambassadeur de Londres, en poste dans la colonie grecque. « Londres et Athènes incarnent l’avant-garde dans le front contre la Russie ».
Et comme par hasard, deux jours après, le pays confisqué par la meute parasitaire des Mitsotákis, recevra la chef de l’exécutif finlandais, « en vue de la future adhésion de ce pays à l’OTAN », apprend-on de la sorte, par la presse aux ordres. Le sociopathe et ami des pédophiles Mitsotákis, entend incarner, si ce n’est que pour les apparences, le rôle du catalyseur intéressé dans la programmation de l’agression des satanistes occidentaux contre la Russie, ce qui bien entendu sera comme toujours payé… aux frais réels par les peuple grec.
Ce n’est guère nouveau. En 1941, l’Albion, plus perfide que jamais, a entrainé l’Allemagne jusqu’aux Balkans pour y attaquer la Grèce, quand Londres n’a engagé sur place ses rares militaires que pour incarner un rôle cosmétique, histoire de bien provoquer la réaction de Hitler.
Car en même temps, le Général Metaxás, vainqueur déjà de l’armée de Mussolini en Albanie, et qui se trouvait alors aux commandes mais toujours sous le contrôle de la famille royale grecque, c’est-à-dire, sous celui de Londres, entamait des négociations discrètes avec Berlin, pour que l’armistice fut trouvé avec l’Italie, afin d’éviter la bien prévisible intervention de l’Allemagne dans les Balkans.
Car Metaxás, avait franchement dit aux Anglais que si vraiment ils voulaient aider la Grèce, ils devaient dépêcher sur place un vrai cops expéditionnaire, capable de faire face à l’avancée ainsi provoquée de la Wehrmacht, et non pas, quelques unités sans grande valeur, servant tout juste à précipiter les Allemands sur la Grèce.
Resté très méfiant quant aux vrais buts de Londres, Metaxás avait d’abord décliné leur offre entre décembre 1940 et janvier 1941, sauf qu’il est décédé fin janvier… suite à une bien étrange infection. Depuis, nombreux sont les historiens lesquels estiment que le vieux général aurait pu être empoisonné par les agents de Londres… cependant, la Grèce officielle a toujours écarté cette version des faits, tout comme elle a fait disparaître des archives de l’État, l’ultime dossier médical de Metaxás. Pauvre pays, ayant perdu jusqu’à ses morts.
Ioánnis Metaxás fut succédé par Aléxandros Koryzís, un banquier bourgeois originaire de l’île de Poros, devenu ainsi le dernier Premier ministre en poste à Athènes avant l’Occupation allemande. Le brave homme accepta finalement le plan de Londres, surtout quand son Ambassadeur à Athènes, autant que le Roi Georges II, lui ont présenté un texte prétendument rédigé par Metaxás avant sa disparition, lequel signifiait enfin « l’alignement complet d’Athènes sur les vues de Londres ».
Koryzís, n’étant ni dupe et encore moins idiot pour ne rien déchiffrer de la tromperie, n’avait cependant pas toute la langue dans sa poche. À quelques jours de l’entrée des Allemands dans Athènes, il a eu fatalement une dispute très violente avec le Roi, puis, il s’est rendu chez lui, où, d’après le récit officiel du Khazaristan d’Athènes, « il s’est suicidé… se tirant deux balles, lesquelles ont atteint son cœur ».
C’était bien sûr en ce lointain 18 avril 1941, du temps où le cuirassé Geórgios Avérof de classe Pisa et de la Marine royale grecque, était encore en service.
La version par contre non-officielle des faits, voudrait qu’Aléxandros Koryzís fut assassiné par Ioánnis Diákos, secrétaire imposé à Metaxás par la Loge et par sa maison mère de Londres, car entre autres, Diákos en fut le… vénérable local.
Koryzís devait en tout cas y appartenir également, étant donné qu’il avait servi l’autre grand initié de la période 1915 à 1922, à savoir, Aristídis Stergiádis pour qui, la version de sa biographie sur Wikipédia est volontairement biaisée. Il fut nommé par la « longue main invisible » et pour les apparences par l’initié Vénizélos, haut-commissaire à Smyrne, pendant que l’Armée grecque occupait le terrain sous l’ordre de Londres, entre 1919 et 1922.
Notons enfin, rien que pour l’anecdote, qu’au cours des jours suivants, toujours en 1941, le Roi, le gouvernement grec, Diákos et l’or de la Banque de Grèce, quittèrent Athènes pour la Crète et de là, certains des initiés se rendirent à Alexandrie et d’autres à Londres. George II… et l’or capturé de la Banque de Grèce trouveront refuge dans la capitale britannique… sous les Windsor, tandis que les membres du « gouvernement grec » exilé, vont s’installer en Égypte, où ils ont passé sans difficulté les… épreuves imposées par les douanes d’Alexandrie.
Tous, sauf Diákos, personne il faut dire inconnue dans l’Égypte semi-indépendante d’alors, lequel a eu du mal à passer inaperçu par les douanes d’Alexandrie, en raison de la valeur incalculable de trésor qu’il avait dans ses bagages. Il avait tout de même apporté avec lui… et pour son usage personnel des lingots d’or, des bijoux en or de différentes tailles, divers objets de valeur, ainsi que des pièces d’or.
Notre douanier égyptien en illustre travailleur inconnu du fait historique, avait insisté pour le contrôler et ainsi enregistrer sur une fiche en détail restée à jamais, ce trésor incalculable de Diákos, et c’est ce qu’il a fait. Enfin, les actions précipitées du « gouvernement grec » en exil auprès des autorités égyptiennes, ont finalement permis à Diákos d’entrer… dans sa loge sans plus de problèmes. Pax Britannica.
Après la guerre, Diákos a retrouvé son poste… de « surveillant », auprès des Premiers ministres de la phase suivante de l’Occupation, toujours sous le Régime… de l’Anglocratie hors sol, au besoin américanisée depuis la guerre froide.
Mais… la haute Loge est plus que cela. Et l’on ne peut comprendre par exemple le conflit russo-ukrainien actuel sans le mettre préalablement en perspective de cette géopolitique universelle qui seule, permet d’en définir les véritables enjeux et menaces. Comme il est très justement analysé ailleurs sur le Réseau International du Net, « Washington et son mondialisme ont remplacé son impérialisme mais toujours dans un Hubris marchand et liquide pour lequel les identités – non alignées – et concurrences économiques ne sont que des ilots à submerger ».
« De même Moscou est devenu la nouvelle Sparte, cité continentale défendant ses traditions et ses identités civilisationnelles dans une notion d’Empire solide défini par la réalité de son sanctuaire et son Histoire et opposée à l’idéologie impérialiste fondée sur des fantasmes hors sol ».
La mise en phase des « mortels » avec le chaos sataniste occidentaliste, demeure toujours et encore au cœur de la factualité actuelle. Les Grecs certes… s’amusent sur les terrasses des cafés; puis, sous leurs reconstructions Airbnb on y découvre des restes antiques quand enfin, on peut visiter le Canal de Corinthe… fermé depuis près de deux ans, ou encore l’île de Poros. Sans bien entendu se souvenir de Koryzís, ni de Diákos et encore moins de Metaxás.
Ainsi en est-il du destin des hommes, et d’abord des humbles. La facture arrivera sous peu, et elle ne concernera pas que le gaz ou le pétrole. La Grèce de Mitsotákis, ses bases anglosaxonnes plus exactement, figurent déjà parmi les cibles annoncées en réaction depuis Moscou.
Le calendrier mortel s’accélère. Mercredi 27 avril, 118 violations de l’espace aérien grec ont été le fait des avions de combat d’Ankara, plus d’une vingtaine d’îles grecques ont été ainsi survolées de la sorte.
Notre analyse c’est que la Turquie, en échange de la fermeture de son espace aérien aux avions militaires de la Russie à destination de la Syrie, aurait obtenu le feu vert… final en mer Égée. Comme en 1974, quand Attila avait envahi Chypre.
D’où également, tout le sens de la visite de la marionnette du Juda d’Athènes chez Charles… le Prince, cet illustre sorcier des Ténèbres. Car, dans ce qui s’y joue vraiment, les Britanniques seront les surveillants de la prochaine confédération turco-israélienne à venir, laquelle occupera de manière concrète l’espace grec, celui allant même de Chypre… jusqu’à Corfou, en passant par Thessalonique.
Notre grande ville capitale macédonienne, celle que le Sionisme imperturbable voit toujours comme une sorte de « Jérusalem du nord »… en lien avec la Khazarie satanisée du drogué Zelensky. Drogué, si l’on croit une vidéo récente que l’on découvre autant sur Internet grec et qui… circule encore.
La véritable grande fête calendaire est finalement contemporaine. Dans les campagnes grecques des chats ruraux, on peut alors préparer nos fours à bois et nourrir nos autres chats, à l’instar de Lista, quand par exemple les derniers voiliers de location auront précipitamment quitté Poros et les autres îles, et que les Grecs songeront peut-être à la Résurrection qui sera enfin la leur.
Pas si sûr on dirait. Pourtant, d’après certaines traditions héritées du temps des vérités, les marionnettes de Juda sont exécutées au fusil. « Tel doit être le sort du traître, il ne faut jamais l’oublier », nous disaient-ils alors les participants. Coutume… populaire.
source : Greek Crisis
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Source : Lire l'article complet par Réseau International
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