Une épidémie d’hépatite aiguë se répand en Europe occidentale, aux États-Unis et au Japon sans que l’organisation Mondiale de la Santé puisse en déterminer l’origine ou les causes. Cette nouvelle souche d’hépatite touche majoritairement les enfants sans co-morbidités.
Des sources liées au renseignement d’un pays d’Europe centrale affirment sans preuves que l’hépatite qui sévit actuellement en Europe serait la conséquence indirecte de l’explosion du trafic d’êtres humains de pays d’Europe de l’Est et de la prolifération exponentielle de centres clandestins de collecte et de transplantation d’organes humains dans des pays précis où la législation demeure floue, ambiguë ou inexistante pour réguler cette activité lucrative intéressant des organisations criminelles transnationales.
Cette source souligne que la hausse de cette activité est également due à l’existence d’un trafic de cadavres à partir de pays comme l’Ukraine.
Jusqu’en 2019, le Kosovo demeurait l’une des plaques tournantes du trafic d’organes humains en Europe et en Israël. Des enquêtes parfois longues et laborieuses mais bien souvent brutalement interrompues, ont abouti à un lien de causalité entre le trafic d’organes humains, la disparition de personnes dont des enfants et certaines filières médicales. Or, les zones de conflit facilement accessibles offrent actuellement un réservoir d’organes humains aux circuits de ce trafic hautement rentable.
D’autres hypothèses sont avancées pour tenter d’expliquer cette résurgence de l’hépatite infantile. Elles reposent sur un postulat simple selon lequel ce sont de nouvelles souches génétiquement modifiées qui auraient été lâchées dans la nature à partir de laboratoires clandestins situés en Afrique du Sud puis la Grande-Bretagne ou d’un pays d’Europe de l’Est pour ne retenir que les hypothèses les plus étayées (sujet tabou en mainstream et aucun débat toléré le concernant puisque classé dans la rubrique complotiste).
Ce qui est certain est qu’il est très difficile et souvent risqué d’aborder ce sujet sans être taxé de complotisme, de perdre son crédit social que les gouvernements tentent d’instaurer comme la nouvelle norme avec l’aide des géants du numérique (GAFAM) ou encore subir des formes plus ou moins subtiles d’intimidation, de dénigrement, de mise à l’écart ou de neutralisation.
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