Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : BGStock/Adobe Stock
Au Kentucky, une nouvelle loi pro-vie entrée en vigueur le 13 avril met en avant des mesures pour renforcer le respect des enfants à naître. Restreignant le délai de la majorité des avortements à 15 semaines et empêchant le financement de l’avortement sur le dos des contribuables, cette loi représente plus qu’une victoire légale.
Reprotection, un organisme pro-vie qui a contribué à la loi 3, ou « la loi sur l’humanité dans les soins de santé », rapporte qu’« En raison de l’encadrement “d’urgence” de la mesure, cette loi est entrée en vigueur immédiatement et a fermé les portes des deux derniers centres d’avortement du Kentucky en attendant qu’ils trouvent un moyen de s’y conformer. »
Les seuls avortoirs dans l’État sont fermés !
L’équipe de Reprotection, « utilisant les observations faites par des citoyens concernés qui sont témoins de première main lorsque les entreprises d’avortement enfreignent les lois ou se comportent dangereusement », a pu « conseiller les rédacteurs de la loi 3 ».
Alors que les deux seuls avortoirs ferment au moins temporairement au Kentucky, le Québec continue d’être un épicentre pro-mort au Canada. Selon les statistiques de La Coalition pour le droit à l’avortement au Canada, plus de 20 000 enfants à naître ont été avortés au Québec en 2020.
20 000 morts est un nombre effroyable et inacceptable. La lutte pour la défense des plus vulnérables continue et n’abandonne pas sa mission : regagner le droit fondamental à la vie pour les enfants à naître !
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