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Chers mamans et papas du Royaume-Uni, je m’appelle Emily et je suis une jeune Américaine de 10 ans. J’ai vu que votre pays a commencé à vacciner les enfants de 5 à 11 ans contre le coronavirus.
Cela m’a fait peur et m’a rendue triste pour vos enfants. Êtes-vous prêts à perdre toute confiance dans votre système médical ? Savez-vous que votre médecin vous tournera le dos si votre enfant réagit à la vaccination ? Êtes-vous prêts à être attaqués dans les journaux, si vous dites que votre enfant a été blessé par ce vaccin ? Savez-vous que personne ne vous croira ? Les enfants américains ont accès à ce vaccin depuis six mois maintenant, mais 65% de leurs parents ont refusé de l’autoriser.
Malgré ce que l’on vous dit, la plupart des parents américains ne sont pas favorables au vaccin pour leurs enfants. Avez-vous suivi les effets néfastes du programme de vaccination sur les enfants en Amérique… Dans mon pays, nous avons le système de notification des effets indésirables des vaccins.
Depuis la semaine dernière, les parents et les médecins de 10 290 enfants ont signalé que des enfants de moins de 11 ans ont été blessés par ce vaccin. Cinq enfants sont morts après avoir été vaccinés, et il ne s’agit que des cas signalés. Personne ne sait combien ils sont réellement. 248 de ces rapports sont très sérieux, comme des convulsions et des anaphylaxies. Mon frère a déjà eu une anaphylaxie, c’est très effrayant. Sans l’Epipen que mes parents portent, il serait mort. D’autres rapports sur ces enfants font état de douleurs thoraciques, de paralysie faciale, de paralysie corporelle et de gonflement du cœur.
Pourquoi une maman et un papa accepteraient-ils une injection qui pourrait blesser le cœur de leur enfant ? Je fais confiance à ma maman et à mon papa pour prendre soin de mon cœur, et votre enfant vous fait confiance aussi… Au Royaume-Uni, seuls 15 enfants sont morts du coronavirus au cours des deux dernières années. Le Coronavirus ne blesse pas tous les enfants, mais ce vaccin pourrait les blesser pour toujours.
Source : Lire l'article complet par Children's Health Defense Europe
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