Emmanuel Rothschild réélu président d’une France déchirée

Emmanuel Rothschild réélu président d’une France déchirée

 

Auto-élection

Le champ de Mars, David Guetta, la foule rachitique, le peuple absent, l’hymne européen, il ne manquait plus que Shirel et Sarkozy pour que le lugubre tableau antifrançais soit complet.

Le sortant, représentant la France flippée (les non-flippés ont voté Marine) face à la France qui bosse ou qui est au chômedu, donc qui souffre, a obtenu un score de général Tapioca. Les journaux aux ordres applaudissent, le peuple, après le choc, prépare sa défense. Car il va être attaqué, comme jamais il ne l’a été. Nous sommes en guerre intérieure, déclenchée par les forces oligarchiques, qui n’ont même pas caché leur projet.

Dommage pour les gauchistes, qui se sont trompés d’ennemi, et qui vont aussi morfler. Nous, on est habitués, on n’a jamais cru en cette démocratie corrompue jusqu’à l’os par les puissances occultes. C’est du vocabulaire des années 30 ? On est dans les années 30, que ce soit celles du XXe ou du plan 2030.

Bienvenue en Dystopie 2.0 !

 

Seule la souffrance donne conscience

Quand la conscience leur viendra, ils changeront de côté et ne serviront plus d’idiots utiles à la Banque. Mais la conscience politique est chose lente, elle met parfois une génération ou deux à monter au cerveau. La classe qui souffre – qui s’est baptisée Gilets jaunes – a compris qui était son ennemi, elle a pris conscience plus tôt que la classe moyenne, encore relativement protégée, du mal qui régnait.

 

Au tour donc de la classe moyenne, ou petite bourgeoisie, de comprendre qui domine. Le premier quinquennat a servi à réprimer à la Thatcher les prolos français, le second sera consacré à écraser les petits bourgeois, expression non infamante qui recouvre toute la classe dite intermédiaire, entre l’inférieure et la supérieure.

 

Brasilianisation, ou écrasement de la classe moyenne entre l’hyperclasse et le lumpen-prolétariat. C’est le projet, il est écrit, il est clamé, il est assumé par le haut, mais les mots ne sont pas encore compris par une partie du bas, alors que les actes sont déjà là. On appelle ça une sidération. Et les soignants non réintégrés sont le signe avant-coureur de cette attaque verticale.

La sidération, chez les patriotes, c’est aussi ce score étrange, sorti d’un brain storming de think tankers mondialistes, ce mélange entre ministres hors-sol et taupes de Kinsey qui complotent contre l’État, cette construction française exceptionnelle qui a mille ans d’âge. Et qui doit partir en fumée comme Notre-Dame.

 

Dopage à tous les étages

On s’occupera de ce score surdopé plus tard, car notre enquête sur le circuit de la remontée des voix ne fait que commencer. Il ne sert à rien, en attendant, d’accabler les larbins de cette opération mondialiste, le Diable trouvant toujours, vu qu’il a la main sur le pognon, des rampants prêts à servir.

 

On va la faire courte : on tient à prévenir les Français flippés d’une chose : la loi n’est pas la même pour tous, selon que vous serez du haut ou du bas. Par exemple, dans ce torchon de la PQR, on a le droit d’appeler, le jour du scrutin, à voter pour celui qui a lâché de la subvention, c’est-à-dire de la corruption de presse, au journal en question. Cela résume tout.

 

La fête au pays

 
 

 
 

Pour en revenir au sérieux, et parce que du virus, on va en remanger, on vous offre ce petit plateau, assez annonciateur, de la chaîne Public Sénat. Le sénateur RN Garraud fait face, avec son bon sens, au mur du système médiatico-politique…

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À propos de l'auteur Égalité et Réconciliation

« Association trans-courants gauche du travail et droite des valeurs, contre la gauche bobo-libertaire et la droite libérale. »Égalité et Réconciliation (E&R) est une association politique « trans-courants » créée en juin 2007 par Alain Soral. Son objectif est de rassembler les citoyens qui font de la Nation le cadre déterminant de l’action politique et de la politique sociale un fondement de la Fraternité, composante essentielle de l’unité nationale.Nous nous réclamons de « la gauche du travail et de la droite des valeurs » contre le système composé de la gauche bobo-libertaire et de la droite libérale.

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