Chers amis anticovidistes,
Jusqu’à la fin de la campagne, devant la victoire annoncée de l’éborgneur, la quasi totalité de notre camp aura tenu bon à l’instar de marine Le Pen, et renoncé à utiliser l’arme non conventionnelle du brigittegate, qui aurait pu le mettre en difficulté, y compris sur le registre de l’humour, ce qui ne comportait pourtant aucun risque.
Dois-je rappeler que non, « Brigitte » n’a pas porté plainte en diffamation contre quiconque, contrairement aux déclarations mensongères des habituels fact-shakers (agitateurs de faits).
En résumé, à l’éborgneur on laisse proférer les mensonges les plus éhontés, et nous n’aurons pas osé utiliser un fait pourtant avéré, assorti d’un faisceau ahurissant de faits concordants.
J’ai traité cela sous le registre de l’humour par une série de dix capsules dont voici la 7e.
Et la 8ème
Et le dossier de synthèse d’Alain Beyrand est actualisé au quotidien :
http://www.pressibus.org/gen/trogneux/index.html
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