par Hachem Al.
Dès son accession au pouvoir, le président Zelensky a été utilisé contre la Russie par l’impérialisme occidental et ses alliés dans un processus d’armement de l’Ukraine et dans une perspective de conflit. Pourtant il devrait être évident que la Russie ne laisserait pas aboutir une telle chose dans un pays de son proche voisinage.
Marioupol conquise
Depuis, l’intervention russe a consisté à libérer les régions indépendantistes et à créer une ceinture géographique les reliant à la Crimée revenue sous son escarcelle par une volonté manifeste des Criméens. La libération de Marioupol entre dans ce contexte.
L’heure n’est plus aux négociations
Chose paradoxale et peu ordinaire, le président Zelensky qui n’a vraiment jamais montré une quelconque volonté d’appliquer les accords de Minsk sous l’égide de son prédécesseur, ni de négocier hormis des pourparlers sous l’égide de la Turquie, menace de mettre fin à de prétendues négociations avec la Russie si les dernières forces ukrainiennes retranchées à l’usine Azovstal de Marioupol sont éliminées. En d’autres termes les nazillons d’Azov et des mercenaires occidentaux. Il n’a pas compris qu’il est trop tard et que pour la Russie le temps des négociations est passé !
Zelensky, un président naïf sans carrure
Déjà lors du retour de la Crimée à la Russie, les occidentaux n’avaient pu faire autre chose que de vaines condamnations et cela aurait dû mûrir la réflexion du président Zelensky et le dissuader d’une telle aventure. Aujourd’hui que son pays est sous le feu russe, il pleurniche et demande de l’aide un peu partout de par le monde, preuve si besoin en était qu’il n’a aucune carrure.
En conclusion cette affaire servira-t-elle de leçon d’abord aux Ukrainiens et ensuite aux pays frontaliers qui pourraient tenter la même aventure que l’Ukraine ?
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Source : Lire l'article complet par Réseau International
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