Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo (montage) : klamite/Pixel-Shot/Adobe Stock
Les changements de sexe à l’état civil sont montés en flèche ces dernières années au Québec. « En 2021, 659 Québécois ont obtenu un changement de la mention de leur sexe à l’Etat civil », rapporte Généthique. Et malheureusement, « la tendance ne devrait pas s’inverser : 157 demandes ont déjà été approuvées sur les deux premiers mois de 2022. »
Un article de La Presse affirme que la clinique du Dr Karine Igartua, psychiatre et cofondatrice du Centre d’identité sexuelle de l’Université McGill, « reçoit 30 nouvelles demandes de consultation par mois, et la liste d’attente va jusqu’à six mois. »
La psychiatre « ne cache pas cependant une préoccupation certaine face à la tendance nettement à la hausse. » Selon elle, « Le danger… c’est que des gens voient dans un changement de sexe “une porte de sortie” à leur mal-être. »
Le problème de « mal-être » auquel les personnes font face et duquel elles tentent de s’échapper ne sera jamais résolu par leur opposition à la loi naturelle. Désorientées, cherchant à s’échapper de la réalité, cherchant à être libérées d’elles-mêmes, ces personnes ne seront jamais réellement libres s’ils n’affrontent pas la réalité, et n’acceptent pas la Vérité.
En 2022, le monde est soi-disant libéré : libéré du passé, libéré des règles « oppresseurs » de la religion, libéré du « conditionnement » social, libéré de la « rigidité » de la structure familiale traditionnelle, et pourtant, n’a-t-on jamais vu autant de mal-être chez les personnes, en particulier chez les enfants ?
« Le Dr Shuvo Ghosh, codirecteur du Centre Meraki — la seule clinique pédiatrique où sont dirigés les enfants présentant une variance de genre —, dit que l’explosion des demandes chez les plus petits a été particulièrement marquante entre 2006 et 2016 (La Presse). » Et les « demandes demeurent néanmoins très élevées. »
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