par Dom Dom.
Guidée par son obsession maladive d’absorber l’Ukraine et de chercher querelle à la Russie, l’institution européiste élue par personne décide le 27 février 2022 de débloquer 450 millions de sa monnaie fictive € pour armer l’Ukraine. Le contribuable de l’Union européenne paiera l’addition.
En clair et si l’armée russe ne met pas cette opération en échec, une énorme quantité d’armes létales va être livrée à toutes sortes de groupes extrémistes bandéristes et autres terroristes néo-nazis, sur un territoire gangrené par la corruption et la sauvagerie. Toujours la même méthode. Rappelons-nous, entre autres, la duplicité de ce grand psychopathe qu’est l’occident otanisé sur le sol syrien…
Il est grand temps que la Fédération de Russie mette un terme à cette irresponsabilité criminelle des dirigeants occidentaux. Il est aussi grand temps que le cauchemardesque attelage UE-OTAN-€ disparaisse.
L’histoire récente de la construction européiste n’a pas démarré sur le sol européen, ce programme est né outre Atlantique. Les vrais objectifs n’ont jamais été définis dans l’intérêt des nations d’Europe. L’arrière plan économique et la volonté de domination bancaire restent les mêmes. Les sponsors restent les mêmes. Ils ont permis à Hitler d’accéder au pouvoir en projetant de l’utiliser pour établir la « nouvelle Europe » sans frontières au moyen de la guerre (ordo ab chaos), mais l’URSS les a arrêtés au prix d’un sacrifice humain gigantesque, de très loin le plus lourd de la Seconde Guerre. Il est assez simple de comprendre que dés 1940, le lancement du plan Barbarossa a été de loin le plus grand théâtre d’opération militaire en Europe. Et c’est à dessein que cet effort colossal de l’Allemagne a été engagé non pas dans l’intérêt de l’Allemagne, mais dans celui des angloaméricains dont la bête noire était l’URSS.
Et depuis la disparition de l’URSS ils ont remis le couvert. Hitler comme von der Leyen ne sont que des pions interchangeables : quand il a fallu se débarrasser de Hitler, ils n’ont pas eu de mal à le faire. Trop nationaliste à leur goût. L’étape suivante a été le traité de Rome en 1957. Le premier président de la commission européenne était tout trouvé : Hallstein, juriste proche collaborateur de Hitler que Washington avait conservé au frais après la guerre.
Et maintenant la blonde de Bruxelles, du haut de sa commission non élue, annonce fièrement que l’Union européenne se permet d’alimenter le feu ukrainien qu’ils ont eux-mêmes allumé, conformément à ce qui lui est dicté… Toujours selon la même doctrine, ordo ab chaos.
Ils y sont arrivés. Ce qui n’avait pu aboutir avec Hitler a été réalisé. Pour des motifs idéologiques, La structure supranationale autoritaire et non élue (Hitler a été élu, lui !) décide de semer la mort et le désastre au détriment des peuples du continent européen, dont la Russie et l’Ukraine font partie. Puisse la Fédération de Russie les arrêter !
Arrêtons-nous un instant sur l’OTAN, la face militaire du bloc atlantiste.
Certains partenariats avec l’OTAN existent entre cette organisation et des pays qui n’en sont pas membres. Par exemple l’Inde, le Japon, la Corée du Sud… L’un de ces partenariats a la particularité de se situer incontestablement au dessus des autres, en vertu d’une volonté de « partenariat stratégique ». En effet, une loi non votée, prévoyant ce lien particulier entre l’OTAN et Israël, parle d’elle-même. Que cette loi ait été votée ou non n’est pas vraiment un sujet, puisque dans la pratique du droit international, la loi réellement appliquée est celle que l’OTAN décide d’appliquer, au mépris du règlement écrit et des résolutions prises. En attestent tous les mensonges avérés et toutes les violations du droit commises par l’OTAN, et le cortège de drames humains qui en ont résulté : Yougoslavie, Afghanistan, Irak, Libye, Syrie… et actuellement Ukraine. Cette liste n’est pas exhaustive. En matière d’injustice flagrante, le modèle à suivre est sans doute la politique du prétendu État d’Israël sur le peuple de Palestine
Source : Lire l'article complet par Réseau International
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