par Gordon Duff.
Des politologues autoproclamés nous donnent des définitions du nazisme. Une vraie définition est tout à fait différente et facilement discernable comme exacte. De moi-même :
Nazisme : Un « mouvement politique » faussement considéré comme tel, généralement organisé et contrôlé par des élites criminelles. Le nazisme est basé sur des formules de propagande noire qui exploitent les haines éthiques, raciales et de classe pour armer des secteurs de la population qui sont conditionnés par un large contrôle des médias employés pour induire une peur généralisée.
Ici, aux États-Unis, le gouvernement, après des années d’ignorance béate, commence à reconnaître la menace fondamentale du nazisme et son incompatibilité avec les gouvernements élus et les libertés individuelles.
Le nazisme, tel qu’il est pratiqué, est un culte qui attire les ignorants, les craintifs et les haineux. Afin de soutenir la croissance du nazisme, pour des raisons que nous allons examiner, certains gouvernements, les États-Unis et la plupart des alliés de l’OTAN, mais d’autres aussi comme le Brésil, ont construit leur politique étrangère autour du soutien à l’injustice généralisée.
La guerre en Ukraine a entraîné une réévaluation de la guerre contre la Yougoslavie, c’est certain. L’OTAN a détruit la Yougoslavie puis a détruit la Syrie avec les islamistes radicaux pour la sauver.
Mais le vrai problème est l’histoire d’amour que le président démocrate Joseph Biden entretient avec les nazis en Ukraine, alors qu’il défend son administration contre les organisations affiliées à Azov aux États-Unis.
Certains disent que Biden souffre de démence, mais le diagnostic le plus probable est la schizophrénie. Extrait de Bellingcat, financé par l’OTAN, daté de février 2019 :
« Des preuves nouvellement découvertes remontant à 2015 suggèrent que le mouvement ukrainien nationaliste blanc Azov a systématiquement coopté des extrémistes de droite américains pour faire avancer le propre agenda international du premier. Dans des déclarations audio découvertes par Bellingcat, cet agenda était résumé par le secrétaire international de l’aile politique d’Azov, le Corps national, comme une « révolution conservatrice mondiale », visant à « défendre la race blanche ». Ces nouvelles découvertes sont distinctes des liens récemment signalés entre Azov et le groupe néo-nazi violent américain Rise Above Movement, ainsi que des membres de l’alt right américaine. …
En octobre 2018, une plainte pénale du FBI dévoilée dans le cadre de l’arrestation de membres du groupe néo-nazi violent Rise Above Movement (RAM) a pointé du doigt les contacts dudit groupe en Ukraine. Les membres du RAM qui ont été inculpés aux États-Unis en lien avec des violences lors de rassemblements politiques, notamment à Charlottesville, se sont rendus en Ukraine en 2018 pour rencontrer des figures clés du mouvement Azov. »
Attention, ces groupes qui ont été formés par le Mossad israélien et fournis par les États-Unis et le Royaume-Uni avec le meilleur de la technologie militaire ont, pendant des années, formé des organisations terroristes nationales aux États-Unis et en Europe, dont celles qui ont attaqué le Capitole le 6 janvier 2021.
Toutes les organisations citées comme alliées d’Azov et d’autres groupes nazis soutenus par Zelensky sont également étroitement affiliées, aux États-Unis, à l’organisation Trump et au lobby israélien.
Encore de la schizophrénie, car le puissant lobby juif américain soutient pleinement les efforts des nazis en Ukraine et finance les groupes nazis américains avec des millions de dollars « blanchis » tout en dénonçant les mêmes groupes dans lesquels ils versent de l’argent comme « antisémites ».
Plus étrange encore, ces mêmes groupes collaborent étroitement avec les compagnies pétrolières américaines pour maintenir l’offre de pétrole à un niveau bas et faire exploser les profits.
Il ne faut pas beaucoup d’imagination pour constater qu’il se passe certainement quelque chose dans les coulisses. Si l’on accepte le point de vue de la Russie selon lequel son entrée en Ukraine a été rendue nécessaire par les déclarations dures de Biden sur l’intégration de l’Ukraine dans « l’OTAN nucléaire », on peut se demander si cette guerre, dont la Russie affirme qu’elle a été conçue à Washington, n’est pas le produit d’un mariage entre les extrémistes de droite et les nazis, qui sont maintenant puissants aux États-Unis, et le lobby pétrolier.
On pourrait également y voir un rôle pour l’Arabie saoudite ainsi que pour Israël, une nation occupée à armer des pays comme l’Azerbaïdjan, la Turquie et, bien sûr, les milices nazies ukrainiennes.
Cela fait de la guerre en Ukraine une guerre conçue par le crime organisé mondial pour manipuler les marchés, vendre des armes et déstabiliser l’Europe occidentale avec des réfugiés afin de faire progresser l’extrémisme de droite en Europe et en Amérique du Nord, et donc aussi au Canada.
Les rapports reçus de Marioupol ont démontré une formation avancée en électronique de champ de bataille et en guérilla. Puis d’autres questions sont posées, d’après Vox.com 2015 :
« Ce n’est jamais une bonne nouvelle pour l’État de droit lorsqu’un oligarque envoie des hommes armés en treillis de combat pour occuper une compagnie pétrolière d’État. C’est ce qui vient de se passer en Ukraine, où l’oligarque milliardaire ukrainien/israélien Igor Kolomoïsky semble avoir envoyé des membres de son armée privée la semaine dernière pour occuper temporairement les bureaux de la compagnie pétrolière UkrTransNafta afin de protéger ses intérêts financiers dans la société.
La situation pourrait être encore plus effrayante qu’il n’y paraît.
Kolomoïsky finance et dirige une importante milice privée qui a aidé le gouvernement de Kiev à lutter contre les séparatistes pro-russes dans l’est de l’Ukraine. Les milices comme la sienne – et il y en a des dizaines – sont une source de profonde inquiétude pour les analystes qui pensent qu’elles pourraient menacer la stabilité à long terme de l’Ukraine.
Ces armées privées sont-elles prêtes à suivre les ordres de Kiev sans poser de questions ? Ou suivront-elles leur propre voie lorsque leurs propres intérêts seront en jeu ? Les frasques de Kolomoïsky dans les bureaux de la compagnie pétrolière, dans lesquelles il semble avoir utilisé son armée privée pour protéger ses intérêts financiers personnels, ressemblent beaucoup à cette dernière option.
Des bandes de voyous qui sont devenues des armées
Kolomoïsky, un oligarque qui est également gouverneur de la région ukrainienne de Dnipropetrovsk, est un soutien important des milices privées pro-Kiev qui combattent dans l’est du pays. Il finance le bataillon Dnipro, une armée privée qui, selon le Wall Street Journal, compte 2000 combattants prêts au combat et 20 000 autres en réserve. Newsweek a rapporté que Kolomoïsky a également financé d’autres milices, comme Azov. »
Pour ceux qui l’ignorent, c’est Kolomoïsky qui a employé Zelensky en tant que « comédien » et qui a ensuite formé l’oligarque en herbe de Miami Beach, et nous parlons de Zelensky, pour son rôle de chef de guerre également.
Conclusion
L’expression « strange bedfellows » (« étranges partenaires »), peut-être d’origine shakespearienne (The Tempest 2:2), nous vient continuellement à l’esprit lorsque nous examinons les nazis du XXIe siècle et leurs partisans.
Aux États-Unis, tous les nazis sont issus du parti républicain, le parti du sionisme chrétien et de « Big Business ».
Après tout, les chrétiens des campagnes américaines et leurs amis des « grandes entreprises » n’étaient-ils pas derrière Hitler, non seulement avant la Seconde Guerre mondiale, mais aussi pendant ?
Combien se souviennent d’Hitler comme « l’homme de l’année » du Time Magazine en 1940 ?
L’hitlérisme, pour les Étatsuniens ruraux, qui seront plus tard regroupés sous le terme « évangélistes chrétiens », représentait l’eugénisme, la reproduction d’une race maîtresse de Blancs anglo-saxons tout en stérilisant ou même en tuant les autres, les Amérindiens, les Afro-Américains, les juifs, les Hispaniques, les catholiques, les Tsiganes/Roms et les Slaves.
Les évangélistes chrétiens sont d’infatigables faiseurs de listes.
Aujourd’hui, il s’agit des juifs et des « libéraux », avec une attention soutenue pour les Afro-Américains et maintenant aussi pour les musulmans. La peur que les immigrants débarquent et prennent ces emplois, tuant le bétail à coups de marteau ou pelletant le fumier, pousse des millions d’Étatsuniens à se rallier aux causes de droite, qui toutes épousent désormais ouvertement les valeurs du Troisième Reich.
Derrière tout cela, depuis la fin du XIXe siècle, un noyau d’oligarques américains, Schiff, Morgan, Harriman, Bush, Rockefeller, Koch, Dupont, tant d’autres, ont orchestré la croissance du nazisme en Allemagne et ont géré Hitler.
Pire encore, les politiques américaines de l’après-guerre, l’accueil des criminels de guerre nazis, la création de la CIA à partir de l’Abwehr de Gehlen et l’adoption d’un complexe militaro-industriel fondé sur les valeurs nazies, ont réussi à infecter les États-Unis du XXIe siècle.
source : New Eastern Outlook
traduction Réseau International
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