par Sébastien Renault.
Au milieu du battage médiatique et de l’hystérie que l’on appelle à juste titre l’ukrainisme, de la persistance de l’emprise psychologique du covidisme sur les populations en passe d’aller faire la queue pour leur quatrième dose de sérum à ARN messager, des scandales (à la McKinsey) et des élections présidentielles en France, peu de gens auront entendu parler d’une récente découverte macabre outre-Atlantique, dont les principaux médias étasuniens ont pris grand soin d’occulter tout ébruitement malencontreux.
Nous voulons parler de la découverte des restes déchiquetés de plus de 100 enfants avortés à terme défrichés des poubelles d’un avortoir à Washington D.C. (le District de Corruption par excellence), où le crime par avortement (ou infanticide) peut être pratiqué – pour n’importe quelle raison – jusqu’au jour de la naissance de l’enfant (chose techniquement en vigueur partout sur le territoire étasunien, selon la légalisation de cette pratique en 1973, deux ans avant la loi Veil en France). Il nous apparaît très probable, mais il faudra malgré tout qu’une enquête en bonne et due forme le confirme (sans pour autant nous faire trop d’illusions sur l’effectuation et la publication des résultats d’une telle enquête), qu’un certain nombre de ces enfançons sont arrivés à terme et ont donc été enfantés vivants, malgré la sévérité des sévices infligés par la procédure abortive (un dépeçage et une succion d’organes normalement mortels), puis exécutés au sortir même de l’utérus, par charcutage post-natal (pour terminer l’opération de charcutage prénatal, encore une fois, fatale dans la plupart des cas) :
Ces exterminations, des plus effroyables, sont le vrai visage à découvert de la réalité de l’avortement, qu’un large éventail de personnes refuse encore de regarder en face aujourd’hui pour ce qu’elle est réellement, préférant s’enfoncer la tête dans le confort du sable fin du déni et de la novlangue médiatique : « santé et droits reproductifs des femmes » ; « droit de choisir », en évitant de se préoccuper de la nature de l’objet dudit « droit de choisir », puisque c’est précisément là que réside la moralité ou l’absence de moralité d’un choix (nous avions traité de cette distinction élémentaire, mais semble-t-il conceptuellement difficile à appréhender pour un grand nombre d’individus plaidant en faveur du « droit » d’anéantir une vie conçue, dans L’argent du sang intra-utérin : gros sous et eugénisme sous couvert de vertu féministe) ; « mon corps, mon choix » reste un dogme du féminisme d’État, supposé démocratique, sauf quand il s’agit de nous plier à la dictature « vaccinale » enjointe par la monocratie En Marche.
Ces jours-ci, les lobbyistes infatigables et autres autorités mondialistes préposées à la santé publique à l’ONU n’ont pas oublié de plancher sur la question toujours centrale du grand « sacrement » sacrificiel du satanisme institutionnel, exigeant l’autorisation de l’IVG jusqu’au neuvième mois, dans le monde entier :
• WHO Demands Allowing Abortion through Ninth Month | National Review
• En français : L’avortement sans condition jusqu’à neuf mois préconisé par l’OMS (francesoir.fr)
La perte par les citoyens de leurs droits les plus fondamentaux commence par le déni même d’existence sanctionné par le crime « légal » d’extermination de l’enfant à naître.
Garder le silence, par respect humain, par crainte de contrarier l’esprit du temps, ou encore par fausse compassion « féministe » (oubliant au passage de s’appliquer aux millions de petites filles à naître passant annuellement par le couperet de l’extermination volontaire de grossesse, dont on sait qu’elles sont plus souvent supprimées que les garçons, dans de nombreux pays dont le Canada), c’est se rendre complice de ce massacre à grande échelle des innocents, in et ex utero.
Il serait de mise ici de verser des larmes, non pas de signalement vertueux (de type « antiraciste » ou « pro-ukrainiste »), mais de tristesse et de contrition véritables devant l’étendue réelle de ces monstruosités perpétrées contre nos frères et sœurs les plus vulnérables, trivialement sacrifiés à Moloch (le démon des sacrifices d’enfants), à Mammon (le démon de l’amour de l’argent), à Asmodée (le démon de la promiscuité et des plaisirs orduriers poursuivis au nom de l’« amour libre »), etc…
Cet holocauste silencieux doit être dénoncé sans relâche, à temps et à contretemps !
Source : Lire l'article complet par Réseau International
Source: Lire l'article complet de Réseau International