par Oncle Fernand.
« Comme le ver file sa soie puis trouve sa fin en s’empêtrant dans ses propres fils » (Ibn Khaldoun)
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Alors que bon nombre d’entre nous cherchons en vain à faire tomber l’image « satellitaire » que se donne nos prétendues élites, voici comment régler le problème, sous l’angle de la caricature, quelques unes de ces fines fleurs qui, par défaut d’être comiques, se prennent très au sérieux.
Voici donc :
Quand Zélinsky joue du piano les bras en l’air pareilles aux danseuses dans le lac des cygnes, de plus, les culottes en bas, personnellement j’y vois comme la couverture de l’ancien journal satirique « Hara-Kiri ». À ce sujet, quand Macron administre ses conseils, c’est Kif-Kif consulter « les conseils du professeur Choron » dans la revue de l’époque.
Maintenant lorsque Castex se dirige vers le pupitre, c’est vraiment « Averell Dalton » qui monte sur l’estrade. Dès que Marlène Chiappa a des vapeurs, ça nous montre bien « qu’elles ne pensent qu’a ça » de Wolinski. Si on ouvre n’importe lequel des médias mainstream, apparait très vite la collection « les sales blagues » de Vuillemin. Lorsque Biden monte dans son 747, franchement, entre nous c’est « le grand blond avec une chaussure noire » qui se prend une gamelle. Quand Véran fait de l’emphase, que voici du Molière dans « Mr Trissotin ». Quand Darmanin se déplace dans les casernes, c’est la revue du « schtroumpf coquet » devant tous les bleus. Que Parly parle de l’armée et c’est la dernière édition de « Martine fait son service militaire ». Durant que Le Drian discute de la Russie, il ne fait rien de plus que du « Tintin au pays des soviets ». Mention spéciale pour Attali, le tullius détritus au village gaulois. Que penser de Boris Johnson, si ce n’est le portrait craché du chapelier toqué dans « Alice au pays des merveilles ». Et du moment où Van der Leyen va ouvrir grande sa bouche, elle n’est pas sans me rappeler « Olive femme de Popeye ». (Sans les épinards). De même, lorsque Schwab la ramène lui aussi, vient à ma mémoire un de ces San-Antonio intitulé « de l’antigel dans le calbult ».
Toujours en France, quand Sandrine Rousseau parle à la télé, c’est « les aventures de Fifi Brindacier » qui passe et repasse sans cesse. Mais quand Assa Traoré pose avec des pompes Louboutin, c’est pas du « Kirikou ». Si Jadot cherche tant à monter sur les planches c’est à cause « d’une souris verte ». Enfin que dire du G7 quand il se réunit pour la photo d’école, on dirait l’album « les Pieds Nickelés arrivent ». Mais terminons par le plus poilant, le plus ratapoil de tous, le nommé BHL ou « pépé le putois » chez « le chat du Rabbin ». Sans oublier Draghi et Scholz, trait pour trait, deux « hautes » figures dignes des meilleurs caricatures de Poincaré.
Et le sérieux, le vigoureux Rahan dans tout ça ? Au milieu de cet univers de branques je l’ai reconnu en la personne de Vladimir Poutine. Un peu comme Gabin dans « le tonnerre de dieu » !
« Non, crois-moi, va. Il y a eu la grande peste de l’an 1000, mais tu vas voir la grande merde de l’an 2000 ! »#JeanGabin dans Tonnerre de Dieu de Denys de La Patellière dialogues de Pascal Jardin. #remaniement pic.twitter.com/mTwL07P0Ut
— ClassicFilm&Série (@ClassicFilm2) July 3, 2020
Source : Lire l'article complet par Réseau International
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