Une femme qui a vécu comme un « homme » explique comment l’internet pousse les adolescents à embrasser l’idéologie transgenre

Une femme qui a vécu comme un « homme » explique comment l’internet pousse les adolescents à embrasser l’idéologie transgenre

Helena Kerschner.

Par Matt Lamb — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Michael Knowles/YouTube

28 mars 2022 (LifeSiteNews) — L’animateur du Daily Wire, Michael Knowles, a mis en lumière dans son émission l’histoire d’une femme nommée Helena Kerschner qui a « détransitionné » après avoir pris des hormones et vécu comme si elle était un homme pendant plusieurs années.

Elle a raconté à Knowles que des problèmes d’estime de soi à l’adolescence l’ont conduite sur Internet, où elle a commencé à s’informer sur le transgenrisme. Kerschner a pris des hormones à 18 ans, mais à 22 ans, elle a cessé de le faire et ne prétend plus être un homme. Elle a déclaré que la pression exercée par des groupes en ligne l’a amenée à croire à tort qu’elle devait effectuer une transition.

« Vers l’âge de 15 ans, je traversais une période de ma vie où je n’avais pas beaucoup d’amis, où je me sentais mal dans ma peau et cela me tourmentait, et cela m’a amenée à aller souvent sur Internet », a raconté Mme Kerschner.

Cela l’a conduite sur le site de blogues Tumblr, où, selon elle, l’« idéologie du genre » est omniprésente.

« L’idéologie du genre y est très présente », a-t-elle indiqué. Selon elle, il existe de nombreuses « incitations sociales » à changer ses pronoms et à adopter l’idéologie du genre pour rester dans ces communautés en ligne.

Elle a ajouté que ces types de « communautés Internet » peuvent « donner l’impression d’être acceptée » et jouer un rôle malsain dans la vie d’une jeune fille. « C’est grâce à elles que vous vous sentez acceptée et que vous voulez vous intégrer, alors vous êtes prête à faire presque n’importe quoi pour vous conformer à ce groupe social », a déclaré Mme Kerschner.

Les communautés en ligne de ce type encouragent les adolescents à explorer le transsexualisme et leur disent que les problèmes normaux d’estime de soi chez les adolescents sont en fait des signes de dysphorie de genre. « Il y a des gens dans ces communautés qui diront, si tu n’aimes pas ton corps, c’est un signe de dysphorie de genre, si tu ne t’intègres pas aux autres filles, c’est un signe de dysphorie de genre, si tu n’aimes pas la façon dont ta voix sonne dans un enregistrement, c’est un signe de dysphorie de genre. »

« En tant qu’adolescente, vous ne réalisez pas vraiment à quel point c’est universel [de ne pas aimer son corps ou sa voix] », a expliqué Kerschner à Knowles.

Les pairs ont « validé » la décision de Kerschner de commencer à prendre des hormones et à vivre comme un homme.

Source : Lire l'article complet par Campagne Québec-Vie

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À propos de l'auteur Campagne Québec-Vie

Campagne Québec-Vie est une association québécoise qui travaille de concert avec tout individu ou association de bonne volonté, à l’établissement d’une société chrétienne qui protège la foi, la famille et la vie, de la conception à la mort naturelle.CQV a trois objectifs : i) Promouvoir la reconnaissance, par les représentants de tous les corps sociaux, y compris ceux de l’État, de la nécessité du christianisme, en tant que seule religion intégralement vraie, pour une réalisation pleine et entière du bien commun ; ii) Promouvoir la reconnaissance du fait que la foi chrétienne est raisonnable, et que la raison soutient la foi et la morale chrétiennes ; iii) Promouvoir le respect de la vie humaine depuis la conception jusqu’à la mort naturelle ainsi que les droits de la personne et de la famille ;CQV œuvre à instaurer une « Culture de Vie », c’est-à-dire que nous favorisons, en manifestant, en organisant des colloques, en diffusant des nouvelles par Internet et offrant de l’aide aux femmes enceintes en difficulté, le développement d’une société dont les lois et les mœurs concourent, entre autres, à la reconnaissance du droit à la vie de toute personne humaine, de la conception à la mort naturelle, ainsi qu’à la reconnaissance de la famille traditionnelle (homme, femme, et les enfants qui découlent de leur union aimante) comme lieu privilégié pour l’épanouissement de la personne humaine.

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