Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : goodluz/Adobe Stock
Dernièrement, le gouvernement britannique avait annoncé pour le mois d’août la fin de la permission, donnée par décret en 2020, de se faire prescrire à domicile par « télémédecine » la pilule abortive. Au début de la crise covid, « des mesures temporaires avaient été instaurées, autorisant les téléconsultations en vue d’un avortement médicamenteux et l’envoi des produits abortifs par la poste », rappelle Gènéthique.
Malheureusement, les députés britanniques en ont décidé autrement, pérennisant cette pratique en votant un amendement à un projet de loi sur la santé, selon Gènéthique : « Alors que le gouvernement britannique comptait mettre fin aux mesures relatives à l’avortement prises pendant la crise du Covid-19, les députés ont adopté un amendement au projet de loi de santé afin de les pérenniser. L’amendement a été voté mercredi par la Chambre des Communes, par 215 voix contre 188. »
D’après les établissements pratiquant l’avortement, « 150 000 avortements » auraient été perpétrés selon la pratique susnommée depuis le début de la crise covid, rapporte Gènéthique.
Décidément, les adeptes de la culture de mort tiennent mordicus à conserver les « avancées » faites durant la « pandémie ».
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