Qui peut dire les trous d’air qui nous attendent ?

Qui peut dire les trous d’air qui nous attendent ?

par Gilbert Guingant.

Les zones de grandes inconnues à traverser collectivement ? Sans omettre de tenter de rester à la hauteur de la situation si exceptionnelle. Tout y est trop contrasté : bêtises crasses et cruautés sans noms à côté des visions de l’immense retournement en train de s’effectuer. Depuis tant de décennies, devant ce mur incessant où rien ne semblait vraiment être ébranlé, sans doute ne guettions-nous plus les grands bouleversements ? Soit ? Nos émerveillements actuels devant la spirale des basculements, déjà en nous, mais en train de se déplier lentement, et ce jour après jour. Oui comme des excès d’intelligences qui nous cueillent dans nos regards écarquillés. Les Russes n’arrêtent plus de nous étonner. Avec grand calme, ils contrent comme sans effort les gesticulations des Monstres qui ont tant maltraité leurs populations. Où nous sommes, comme vous. Par contraste, ces fakes dirigeants semblent dérisoires, minuscules, sans une vraie pensée qui les structure (ils n’ont jamais réfléchi douloureusement à rien !). N’usant, usés de routines, que de vieilles ficelles éculées. Biden ou Macron n’ont plus la moindre crédibilité, ils ne peuvent plus que tomber… en nous délivrant définitivement de leurs vénéneuses illégitimités. À aucun moment, ils n’ont été à la hauteur de l’ampleur de ce qui se passe.

Ce monde qui émerge puissamment avec peu de chaos, d’un côté, et l’accéléré effondrement pataugé n’importe comment, de l’autre. Jusqu’à une Assemblée, pas du tout nationale, qui applaudit ce même Zelenski qui a ordonné que « toutes les personnes fuyant l’Ukraine soient abattues à vue sans même se demander qui elles sont. » Des blocs massifs de complètes incompréhensions. Nous ne sommes plus du tout de leur monde chimérique ? Et puis – le tout qui survient à la fois – ces peurs maintenues. Nous nous faisons raconter ce que les télés folles radotent et maquillent de la non-épidémie, afin de rester en résonance avec les humains qui les « croient ». Trop de ces mêmes sensations d’inquiétantes étrangetés. Les pénuries ? À écouter les témoignages, peu relayés, d’acteurs directs des filières alimentaires qui témoignent de leurs perplexités. Perplexités puisque ces pénuries leurs semblent artificiellement gonflées, non si énormes dans le réel. Les dissemblances se voient créées par des désinformations et de si mauvaises volontés, liserées de cupidités. De quoi ne pas perdre (là non plus) le moral : les auto-organisations ont assez prouvé leurs efficacités (voir plus loin dans le texte). Enfin, la crainte devant le flot des maladies affectives, morales et mentales, des dépressions et lourdes pertes des estimes de soi (un de nos domaines très connu de par les assos de terrains). Nous n’y voyons pas une abrupte paroi où il n’y aurait aucune prise. Pour nous, le gigantisme du retournement mondial actuel participera, aussi, de leur réinsuffler de l’énergie. La seule véritable inconnue reste les effets à moyen terme des faux vaccins mais vraies expériences d’OGM, à grands périls pour le patrimoine génétique des abusés. À assumer comme nos héritages concrets – nulle dette n’étant notre ne peut se prétendre héritage ! D’ailleurs, le procès dit de l’Opinion publique (5 heures 44 minutes de vidéo) nous semble détenir tant d’intensités que le retour de la confiance dans l’humain va nous restituer à toutes et tous de la joie libre. Joies pour lesquelles nous avons tant donné dans ces jours sombres, que (donc) nous gardons une grande sensibilité. Grande sensibilité pour détecter les frémissements des lueurs d’espoirs en cours…

Après ces tours d’horizons anti trous d’air, reste à colliger les moyens que nous avons à notre disposition : la peur surgit surtout devant toute situation inconnue, qui n’a jamais été visitée : ce qui n’est plus le cas. Ici, nous esquissons les techniques. Leur but. Et des résultats. Ainsi, pour engager, les pensées et sentiments intérieurs qui peuvent accompagner ces prises de consciences. Un seul exemple crucial de la lucidité : ce que « ne peut pas » l’intelligence collective (cet ensemblable) ?

1- Les Moyens :

L’intelligence collective appliquée aux groupes humains, par Michel Martin

L’état d’esprit d’origine qui incite à vouloir résoudre les conflits non à leur mettre de l’huile sur le feu ? Il en a d’autres mais celui-ci est si représentatif … « Je ne veux être l’objet de personne. Que ce soit au sein du couple, des activités et dans toute entité avec laquelle j’entretiens des relations. Réciproquement, je ne veux posséder personne. Concrètement, je souhaite consentir à toutes les décisions qui me concernent et réciproquement, je ne souhaite imposer aucune décision à quelque adulte que ce soit »… Cette parole si directe recouvre, en fait, une sorte de conformisme de son anticonformisme… Nombres d’adultes ont ce genre de réflexions dans le secret de leur cœur et pourtant combien ont sauté le pas de l’étape suivante ? Le réel des faits nous répond sans fioritures. « J’adhère donc à un projet d’émancipation qui ne pose aucun problème tant que je suis seul, mais qui se complique rapidement dès que je m’associe à d’autres pour former un collectif (c’est en effet là, en général, que cela se collecte et est collecté !). C’est qu’un chien a beau avoir quatre pattes, il ne peut emprunter deux directions à la fois ! L’émancipation est au cœur, voire le cœur, de la gauche dite libertaire. Mais comment prendre des décisions efficaces au sein d’un collectif tout en respectant ce grand principe d’émancipation ? »… C’est bien là la hauteur exacte où doit se situer ce questionnement libérateur pour tout le monde ! Quel monde voulons-nous ? Puisque – pour le moment – cela fait un bout de temps que tout stationne dans un : nous savons précisément ce que nous ne voulons pas. Oui. Bien plus imprécisément ce que nous voulons. Faudrait donc l’affirmer et s’affirmer. Et rien ne surpassent que les débats vraiment collectifs s’arrachant enfin aux autoritaristes monologues de la bêtise couronnée qui ont tant enlisé toutes les solutions. Ces dernières années !

Ne pas oublier que l’intelligence collective ne peut pas tout. « Elle ne changera pas l’homme et ses penchants pour la lutte des places, l’élitisme, la starisation »… oui mais elle utilise la connaissance de ces travers afin de les annihiler et de ne pas leur permettre d’entraver la poursuite des buts décidés en commun. « Elle ne fera pas disparaître les conflits nés de choix politiques incompatibles, c’est-à-dire qu’elle ne fera pas disparaître la polarisation droite/gauche d’une part et autoritaire/libertaire d’autre part »… Sauf qu’elle les décante grâce à la prévalence du but recherché… Pour elle un conflit cela se… résout en … acceptant d’affronter les pourquoi et les contenus qui ont pu contraindre à entrer dans ce conflit. Et dont la large compréhension permet de sortir, le plus sainement possible, du combat. Donc c’est bien la seule démarche complète qui « n’ignore » pas le conflit, qui n’en fait pas le déni et qui agit puérilement comme s’il n’existait pas … l’idéologie d’effondrement intérieur nommée macronisme est un triste exemple de tels échecs grandioses ! « Des expériences malheureuses de mise en place échoueront, par méconnaissance, par des manœuvres de prise de pouvoir (si inférieures prises de pouvoirs individuelles dans la hiérarchie des vrais besoins collectifs, non ?). Mais il existe aujourd’hui assez d’expériences réussies, un peu partout dans le monde et pour des organisations très variées de différentes tailles (bravo c’est bien  par là qu’il faut voir tout l’ensemble). Elles sont encore peu diffusées ». C’est que le travers des humains qui ont été trop manipulés c’est de rarement aller à…l’essentiel. Donc de vouloir une chose mais de… saboter les moyens d’y parvenir !! Sauf qu’au lieu d’incriminer ne vaut-il pas mieux aider aux transformations ? « ne serait-ce que parce que la littérature sur le sujet de l’intelligence collective appliquée à la gestion de collectifs humains est encore rare (et pour cause, les pouvoirs parasitaires ne survivent que puisqu’il n’y aurait que problèmes sur problèmes qu’ils veulent faire croire insolubles – ce qui n’est plus le cas en ce Mars ! Avoir compris que le crucial aura été de nous priver des outils de transformations – ce qui aura privé, au concret, de ces transformations justement. « Les médias ne connaissent pratiquement pas ce sujet et évitent donc de l’aborder. » Sauf que rien ne les empêche d’apprendre sinon les récidives de corruptions !

« Qui sait que le Cirque du Soleil, un des plus fantastiques cirques du monde comportant plus de 5000 membres, est géré avec un tel outil ? Qui sait que l’entreprise Favi de 600 personnes, implantée en Normandie et dotée d’un outil relevant de l’intelligence collective sous le nom « d’entreprise libérée », est leader dans son segment de sous-traitance automobile, domaine de manufacture pourtant si sinistré en France ? Qui sait que la Hollande, le pays d’Endenburg, s’est doté d’un statut spécifique adapté aux entreprises ayant adopté une gouvernance sociocratique (nous expliquerons tout de ce concept dans un autre texte !) ? Nous disposons de nombreux autres exemples dans tous les domaines (sauf pour les partis politiques – ce qui tombe très bien et peut même proposer leurs salubres suppressions !) nous fournissant assez de recul pour savoir que la maîtrise de structures propice à améliorer l’intelligence collective est possible et souhaitable pour offrir une place à chacun d’entre nous ». Le but désiré ne peut que Surpasser tous les obstacles, non ? « C’est si souhaitable de remplacer la lutte des places qui absorbent et gaspillent tant d’énergie et qui nous font détourner la tête quand la maison brûle, de sa position centrale (c’est l’intelligence collective qui doit être au centre et plus jamais la bestiale bêtise du Privé que cupide !), pour y placer les choix collectifs, avec des outils efficaces de prise de décision ( du mot essentiel « décisif » = lorsque décider c’est résoudre. Et en rester, ensuite, si pleins de résolutions !), si nous voulons affronter les défis d’adaptation (énergétiques, sociaux, écologiques décentralisés, des activités d’indépendances souveraines, etc.) très importants auxquels nous avons à faire face ». Pour la France, se libérer de la plus que toxique idéologie macroniste, ce grave délire sans aucune… issue, demande en effet la concentration extrême de toutes les forces vives ! « Le projet convivialiste peut fédérer les différents courants de la gauche libertaire qui se voudraient réalistes, en prise sur les réalités, si elle devient la championne de l’intelligence collective appliquée aux collectifs humains, c’est un beau projet de rénovation politique capable de faire mentir les innombrables voix clamant que la gauche est morte. Alors au travail »… Mot non aimé alors qu’il n’est qu’historique, et seulement le reflet fidèle, par-là, de tant d’injustices et d’absurdités d’époque – ce n’implique pas que le sens du mot pluriséculaire va stagner dans une situation éternellement … répugnante ! C’est que nous devons nous réapproprier tous les mots. Tous. Quitte à les laver de toutes les souillures passées. Nous ne pouvons nous priver d’un seul concept ! Puisque les mots des pouvoirs prouvent bien le pouvoir des mots !

Intelligence Collective, la révolution invisible

2- Les vécus

Alors les zones d’insécurité à traverser collectivement ? 16-mn-à-traverser

« Vidéo de l’entrevue avec Céline Basset, maraîchère et fondatrice de Blue Soil : selon elle, nous entrons dans une zone de… « pataugeage » systémique (soit la merde pleuvant du haut. La gadoue douée, elle, émergeant du bas !) qui va durer plusieurs années et que nous allons devoir collectivement traverser (cela c’est clairement formulé : pas de leçons de morale, pas de surplombs hautains insupportables… seulement des raisonnements poussés… à leurs bouts !). S’organiser, s’harmoniser (ne pas se heurter dans l‘organisation – ce mot qui vient… des « organes », qu’organiser, donc vitaux organes dont l’étymologie rayonne… ganes c’est… joies… bingo, eurêka et tutti quanti. Le collectif reste mille fois plus joyeux et roboratif que l’individualisme échoué ! 1000 pages de gagnées d’un coup !), agir et coopérer seront les clés à privilégier afin que les secousses et une régénération holistique (dans le sens qui n’oublie ni ne méconnait personne, n’exclut jamais quiconque, qui prend tout le monde en comptable compte… tiens, exactement comme la Nature, l’incarnation de la… générosité avec… zéro déchet au final !) des écosystèmes soient les plus douces des possibles.

Les crises successives (grâce ou malgré la stratégie du Choc) nous auront armé de manières qui n’ont pas encore trouvé tous leurs mots – mais nous offre, cependant, tous les Retournements inespérés de situations, les basculements des routines obsolètes, et les dislocations salubres des « positions acquises » que nous voyons actuellement se succéder, un peu comme des petits miracles. La certitude tranquille c’est que nous comprendrons le tout plus tard. Dont la reprise géniale par la Russie du « vous voulez nos produits vitaux, payez en roublards roubles ».** La si salubre mise sur la touche du dollar reflète exactement ses louches anciennes mises sur la touche de toutes les autres monnaies : le dol dollar ayant été la « forcée » monnaie mondiale… incontournable. « Loi d’airain implacable des marchés » : oh que non ! Finies ces élucubrations. Contournable le dollar l’est devenu. Ce qui va lui ôter toutes possibilités larges de Nuire. Ce pays qui envahit violemment tout le monde et a déclaré, depuis son début, quasiment tous les ans, la guerre… à la Terre entière. La preuve que ceci ne pouvait que finir. C’est l’Histoire, hey stupid ! Aussi mieux, de passer du général, du planétaire, au plus particulier, au local, afin de répondre à la question sensée « mais nous, dans nos coins, que pouvons-nous Faire ? » ?

À quoi rajouter l’article remarquable d’Edouard Husson qui conforte la majorité de nos intuitions – mais sans possibilités de les démontrer. Lui oui. Apprendre à fond n’est jamais dégradant (puisque allié avec la certitude que nous comprendrons tout plus tard !). Merci pour cette vision complète qui (c’est le mot) n’arrête pas de nous émerveiller ! Les Russes sont infiniment mieux que ce que les imposteurs non élus (qui prennent en otages les sommets de l’Europe), voudraient nous faire gober. Nous sommes sûr.e.s qu’ils vont devenir très minoritaires dans les mois qui viennent :

Il est temps de comprendre la redoutable « stratégie hypersonique » de Vladimir Poutine

… des méthodes de débrouillardises (au sens de… sortir du Brouillard débrouillard..) à encourager et relayé toujours ce qui paraissait le plus sérieux… et aura tenu malgré l’enfer de la laideur avide déversée par les… faux dirigeants… dont le règne est complètement fini dans les cœurs… (donc très vite dans les réalités !) si nous voulons encore… nous nourrir demain. Elle doit connaître les illustres* prédécesseurs (plutôt * les Méconnus non ?) en agriculture non intensive et non chimique qui nous prévenaient autrefois comment s’y prendre malgré le désintérêt presque général de cette fondamentale et noble profession (nous, nous n’avons rien oublié et plaçons très haut ces méconnus avec l’idée limpide que les médias vendus ne laisser passer que… Les Pires, personne de Grand et de fédérateur en tout cas… Ce tri négatif peut même entériner… t’es passé par un média mainstream = énorme méfiance à ton égard… La vraie Justice existe toujours mais pas comme on le croit…) ! « Nexux, que je lis depuis 15 ans, a raison de s’intéresser enfin à cette activité vitale incontournable ! La mentalité des gens a été trop longtemps pourrie (merci de ce mot exact – les faux dirigeants pourrissent tout comme des voyous mal intentionnés !!) par les publicités et marketings au net détriment de l’essentiel, du naturel, du local, du végétal remis à l’honneur, du rester sobre ! » Tiens ? c’est seulement maintenant qu’on se réveille, en constatant que la dictature, que personne ne voulait voir venir, avec leurs décrets liberticides pour des motifs si… ridicules (leur fausse épidémie s’écroule !)… Ridicules de nous empêcher de nous… mouvoir sur terre, après nous avoir salement habitués à nous nourrir de produits venant des antipodes… donc de produits qui créent des… épidémies… Ils osent accuser de tout leurs victimes qui ne font, en fait, que Subir de telles idioties ? « Et si demain on nous empêche de cultiver notre potager par un prétexte fallacieux » tel que nos politocards ont l’habitude de nous faire gober ? « Un bon conseil, commencer par ne plus écouter les sornettes des merdias corrompus (qui foutent donc expressément la merde !), instruisez-vous et « agissez dans le bon sens ! »… Soit dans toutes les directions à la fois, dans le même temps… Plusieurs exemples menés tambours battants… ici, un seul en est gardé :

3– Les chances à saisir

L’autogéré-a-sauvé-le-pays-!!

L’espoir gardé >> Face au Covid… non géré… la réactivité des communautés autogérées de soignants a permis d’offrir une continuité de soins à des patients qui auraient, sans cela, été… laissés de côté… (de voir ces humain.e.s si efficaces insulté.e.s, calomniées et… pillées par la com’ du gouv’ (sic) se fait voir enfin … comme cela s’est passé en Vrai… centralisme inactif et bases hyper efficaces… on ne nous la refera plus hein !!)… De nombreux centres Covid ont été créés à l’époque partout en France, souvent en collaboration avec les collectivités locales (tout ce que Paris n’a pas arrêté de… diffamer hein… alors que cela aura, au moins, sauvé du pire…). Partout l’auto-organisation s’est révélée efficace (donc partout dans le vrai pays… Paris fut inefficace). « Le terrain a été plus rapide que les institutions », résume Claire Beltramo. « Le fait de nous connaître nous a rendus très réactifs, ajoute Sophie Dubois. Nous sommes habitués à tenir compte les uns des autres (voilà le secret ; au lieu de tout piétiner sauf un – tout le monde Se Multiplie des autres… le résultat est donc très… Nombreux !). Il y a eu beaucoup de solidarité (que du très Solide hein). » Dans de nombreux endroits, l’accueil des patients a été géré bénévolement par des kinés, sages-femmes ou podologues – autant de soignants souvent impliqués dans des CPTS mais dont l’activité était très… réduite, voire nulle, en raison de la crise (ne pas geindre – aider à fond pour Nous sortir des pattes des incapables centralisés…).

L’implication des soignants du secteur libéral – généralistes, infirmières ou pharmaciennes – a été très forte pendant la première vague de l’épidémie de Covid (toute compréhension intense aide à agir !). Dans certains quartiers, des collectifs habitués à travailler ensemble ont été très réactifs et ont sauvé de nombreuses vies tout en préservant l’hôpital. Ils regrettent que les institutions ne les prennent pas vraiment en compte pendant les vagues suivantes.

Suivre des patients chez eux, pour épargner l’hôpital… Les soignants du 20ème arrondissement de Paris estiment à une centaine le nombre de morts évitées par leur auto-organisation pendant la première vague de l’épidémie (ce chiffre est nettement plus Fiable que tous les chiffres falsifiés du centralisme désormais identifié comme très Ennemi…). Comment ? En limitant l’exposition au Covid-19 de patients fragiles et très âgés… grâce à des tournées spéciales d’infirmières à leurs domiciles (et sans ces réseaux… autogérés… ces services Irremplaçables n’auraient pas lieu. Plus merci au privé mais merci partout au public qui aura si contribué à sauver le pays terre à terre – la vrai pays quoi … !!) En France, neuf millions de patients de plus de 70 ans vivent à domicile, contre 750 000 dans les Ehpad. « En gérant ces patients en ville, c’est autant de lits de réanimation, et donc de vies, qui ont été sauvées, décrivent les soignants. Le même dispositif, assorti de la présence d’un médecin traitant, a permis d’organiser le retour chez eux de patients qui auraient en temps normal été hospitalisés. Cela a en plus permis d’économiser … plusieurs centaines de milliers d’euros à l’assurance maladie en frais d’hospitalisations évitées ».

… ces Grands inconnus pensent vraiment à économiser … pendant que les minables des Profits ne pensent qu’à gaspiller, piller les humains, les arnaquer, tout détruire… (et ceci a toujours une fin – que nous vivons actuellement. Gaffe, cependant, de ne point la faire capoter).

à la comparaison, qui voulons-nous comme gestionnaires

… (mais… en co-gestions)

… de nos vraies vies ?
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Source : Lire l'article complet par Réseau International

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À propos de l'auteur Réseau International

Site de réflexion et de ré-information.Aujourd’hui nous assistons, à travers le monde, à une émancipation des masses vis à vis de l’information produite par les médias dits “mainstream”, et surtout vis à vis de la communication officielle, l’une et l’autre se confondant le plus souvent. Bien sûr, c’est Internet qui a permis cette émancipation. Mais pas seulement. S’il n’y avait pas eu un certain 11 Septembre, s’il n’y avait pas eu toutes ces guerres qui ont découlé de cet évènement, les choses auraient pu être bien différentes. Quelques jours après le 11 Septembre 2001, Marc-Edouard Nabe avait écrit un livre intitulé : “Une lueur d’espoir”. J’avais aimé ce titre. Il s’agissait bien d’une lueur, comme l’aube d’un jour nouveau. La lumière, progressivement, inexorablement se répandait sur la terre. Peu à peu, l’humanité sort des ténèbres. Nous n’en sommes encore qu’au début, mais cette dynamique semble irréversible. Le monde ne remerciera jamais assez Monsieur Thierry Meyssan pour avoir été à l’origine de la prise de conscience mondiale de la manipulation de l’information sur cet évènement que fut le 11 Septembre. Bien sûr, si ce n’était lui, quelqu’un d’autre l’aurait fait tôt ou tard. Mais l’Histoire est ainsi faite : la rencontre d’un homme et d’un évènement.Cette aube qui point, c’est la naissance de la vérité, en lutte contre le mensonge. Lumière contre ténèbres. J’ai espoir que la vérité triomphera car il n’existe d’ombre que par absence de lumière. L’échange d’informations à travers les blogs et forums permettra d’y parvenir. C’est la raison d’être de ce blog. Je souhaitais apporter ma modeste contribution à cette grande aventure, à travers mes réflexions, mon vécu et les divers échanges personnels que j’ai eu ici ou là. Il se veut sans prétentions, et n’a comme orientation que la recherche de la vérité, si elle existe.Chercher la vérité c’est, bien sûr, lutter contre le mensonge où qu’il se niche, mais c’est surtout une recherche éperdue de Justice.

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