Entretien effectué par Senta Depuydt pour Néosanté hebdo à l’occasion de la sortie du livre de Robert Kennedy Jr Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma, leur guerre mondiale contre la démocratie et la santé publique » (Collection Résurgence).
Mr. Kennedy, votre ouvrage est un véritable missile. Vous y portez non seulement des accusations à l’encontre du numéro 1 de la santé publique, mais vous révélez comment toutes les agences de santé américaine ont été détournées pour servir des intérêts privés, des industries ou même des stratégies politiques et militaires sur le plan mondial. Depuis sa sortie en anglais au mois de novembre, avez-vous ressenti des répercussions sur le plan personnel ?
Robert Kennedy Jr : En ce qui me concerne non, cela n’a pas eu d’impact sur ma vie privée. Je suis très heureux qu’il ait été un best-seller dès sa sortie, malgré un boycott absolu. Tous formats confondus, en 3 mois, nous avons dépassé un million d’exemplaires et restons en tête ou dans le top 3 mondial des ventes. Et malgré cela, aucun journal, magazine ou émission télévisée n’a daigné le mentionner ou m’inviter pour en parler, à l’exception d’une interview dans l’émission de Tucker Carlson sur Fox News. Mais cela veut dire que les gens sont en quête de vérité et que ces informations leur sont utiles. Durant la pandémie, disons que près de 30 % de la population avait une méfiance spontanée envers les autorités et des personnalités comme Anthony Fauci ou Bill Gates. Mais il leur était quand même difficile de concevoir les motifs pour lesquels les responsables de la santé publique agiraient à l’encontre de l’intérêt des citoyens. Les américains sont assez idéalistes, parfois naïfs. C’est pour les aider à comprendre tout cela que j’ai écrit ce livre.
Vue la somme de crimes et délits que vous documentez là, peut-on espérer des poursuites à leur encontre ?
Difficile à dire. Je pense qu’il y a un espoir que cela arrive, si la situation politique change. Si les Républicains gagnent aux élections qui auront lieu à la mi-novembre et qu’ils s’emparent du sénat, il est probable qu’ils procèdent à des auditions à partir de janvier prochain. D’ici là, je pense que les Démocrates et les médias qui font leur propagande vont continuer à les protéger [1]. Mais quand on voit les chiffres, Fauci aura des comptes à rendre sur les politiques de réponse à la pandémie. Plus de 28 000 décès par million d’habitants aux États-Unis, c’est extrêmement élevé, alors qu’avec tout le budget et l’expertise dont nous disposons, nous sommes censés avoir les meilleurs résultats. Au Nigéria, où seul 1,5 % de la population a été vaccinée, ils n’ont eu que 14 morts par million et la plupart des autres pays d’Afrique ont une moyenne qui tourne autour de 170, on ne peut même pas parler de pandémie. Pourtant, au début de la crise, Gates et Fauci multipliaient les discours alarmistes en prédisant une réelle hécatombe en Afrique. Finalement, c’est l’inverse qui s’est produit. Comment cela se fait-il ? Il va tout de même falloir l’expliquer. Personnellement, je pense que c’est en partie parce que ce sont des pays qui ont l’habitude d’utiliser des médicaments simples, efficaces et accessibles, comme l’hydroxychloroquine ou l’ivermectine. Bien entendu, il y a d’autres raisons, comme le fait que l’Afrique a une population plus jeune et que le Covid a frappé les plus âgés. Mais à tout le moins, nos autorités devraient étudier ces données et fournir des explications. Pour l’instant, cela ne s’est jamais fait. Et la même chose vaut pour l’Europe qui a appliqué des politiques identiques, empêché l’utilisation de médicaments existants, vacciné en masse. Pourquoi les autorités sanitaires ne cherchent-elles pas à tirer les leçons de cet échec ? Pourquoi les médias n’en parlent-ils pas ? Tout le monde devrait se rendre compte que ce n’est pas normal.
Quid de Bill Gates ?
Bill Gates est peut-être moins présent dans les médias, mais il reste très actif en coulisses. Et comme il a le contrôle de l’OMS, il continue à pousser tous ces agendas mondialistes, les passeports vaccinaux, l’identité numérique, les politiques alimentaires. Il est extrêmement riche et puissant, très proche de la plupart des gouvernants d’Europe, mais aussi de la Chine, et il collabore étroitement avec le Forum économique mondial (Davos). Malheureusement, beaucoup de gens continuent à le révérer et à écouter ses recommandations, ses « prédictions ». Je crois que pour l’instant, il serait difficile de le déboulonner, c’est tout un réseau mondial qui opère avec lui.
À propos de réseau mondial, que pensez-vous de cette histoire de labos de recherche en Ukraine ? Il semble que l’on retrouve un certain nombre d’acteurs identiques dans ce partenariat avec l’Ukraine pour les « programmes de réduction de la menace biologique » ?
Je pense que la manière dont la presse et le gouvernement américain réagissent est très révélatrice. Quand Poutine a lancé ses accusations sur la présence d’une série de laboratoires biologiques secrets de haute sécurité installés en Ukraine, tous les médias et le Pentagone se sont relayés pour faire du fact checking et des démentis. Mais lorsque Victoria Nuland, secrétaire d’État aux Affaires politiques et affaires étrangères, a été auditionnée sous serment par le Congrès, elle a semblé particulièrement mal à l’aise en admettant que, oui, les États-Unis financent des labos qui manipulent des souches dangereuses : l’anthrax, certains types d’herpès et même des souches de variole – ce qui est interdit – et de nombreux autres agents susceptibles de créer des pandémies. Et apparemment, ils n’ont pas fait le nécessaire pour les détruire ou les mettre en sécurité, sachant pourtant qu’une attaque russe était imminente. C’est très révélateur, car dans ce « programme de réduction de la menace sanitaire », nous sommes en présence des mêmes acteurs qu’avec la pandémie. La firme Eco Health Alliance qui avait financé les recherches de gain de fonction des coronavirus à Wuhan avec l’aide de Fauci et Peter Daszak, et USAID qui est une couverture pour les opérations de la CIA [2]. Rappelons qu’en 2014, Obama a interdit les recherches de gains de fonction et d’autres types de technologies servant à développer des agents biologiques mortels, jugeant que c’était trop dangereux pour la population humaine. Car cette année-là, des souches dangereuses s’étaient échappées de laboratoires à trois reprises différentes. Fauci et ses acolytes avaient donc reçu l’ordre de mettre fin à 18 expériences de ce type, mais au lieu d’obéir, ils ont poursuivi leurs expériences à l’étranger par l’intermédiaire d’un scientifique nommé Peter Daszak, en créant Eco Health Alliance. Rien qu’à Wuhan ils avaient investi plus de 100 millions de dollars. Cela fait deux ans que le gouvernement s’emploie à nier le fait que le coronavirus ait été créé dans un labo, car la pandémie a principalement servi d’excuse à une gigantesque prise de pouvoir et à une transition vers des états sécuritaires, au détriment de nos libertés. Tout cela n’aurait pas été possible dans des circonstances normales. Et maintenant, voilà à peine la pandémie derrière nous, que nous avons une nouvelles crise qui aura exactement le même impact : cela va enrichir le complexe militaire industriel, renforcer le pouvoir des agences de renseignement et réduire encore plus les libertés partout sur la planète. Nous sortons à peine d’une guerre en Afghanistan, nous avons provoqué une guerre d’Irak et ce sont les mêmes qui sont à la manœuvre en Ukraine, comme Victoria Nuland, une « néo-communiste ». Il faut absolument que le public comprenne qu’il est manipulé par de la propagande. Big Pharma contrôle la santé publique, le complexe militaire industriel opère via la CIA et contrôle aussi le Pentagone. Toutes ces institutions sont détournées et ne sont plus au service de la nation.
Malheureusement l’Europe semble être sous la même influence. Quel que soit le domaine, on y voit les mêmes experts répétant les mêmes mensonges à l’unisson, peu importe la réalité finalement. Tout récemment par exemple, un de nos « Fauci » locaux a prétendu que la réponse à la pandémie avait été exemplaire, en donnant pour preuve le fait qu’aux États-Unis les États « rouges » (Républicains) avaient eu des résultats désastreux, alors que les états « bleus » (Démocrates) s’en étaient mieux sortis, grâce à l’application de mesures draconiennes.
Haha, incroyable, c’est exactement l’inverse ! Et pas plus tard qu’hier, il y a même eu un article dans le New York Times qui l’a confirmé : le confinement, les masques, la distanciation sociale, tout cela n’a eu aucun impact sur la circulation de l’épidémie. De manière générale les États qui ont eu une politique plus souple s’en sont mieux sortis, parce qu’ils ont limité les dommages collatéraux provoqués par ces mesures. L’impact sur les enfants, sur la vie des gens, l’impact économique sur les petites et moyennes entreprises, tout cela a été dramatique. En revanche, cela a permis à ceux qui ont imposé et soutenu ces restrictions (par exemple les GAFA) de s’enrichir d’une manière odieuse. Environ 3,1 trillions de dollars sont partis de la poche des familles américaines vers les méga-corporations et en réalité, c’était une gigantesque opération de racket qui a profité à cette nouvelle caste de milliardaires. Mark Zuckerberg, Jeff Bezos, Sergei Brin, Bill Gates ont censuré toutes les infos critiques sur les politiques sanitaires. Il ne faut pas oublier de se demander « à qui profite le crime » ? Cui bono ? Le public a constamment été manipulé… d’abord avec la pandémie, aujourd’hui avec la guerre en Ukraine et avant cela en Irak etc..
Évidemment, je ne dis pas que je suis pour les Russes et pour Vladimir Poutine, je ne dis pas qu’ils ne font pas aussi de la propagande, mais ce qui est important, c’est de se rendre compte de ce qui se passe chez nous, et qui va à l’encontre de l’intérêt de nos populations.
Le décalage entre ce qui se passe dans la vie réelle et ce qui est rapporté dans les médias ou les rapports d’expertise est de plus en plus grand et manifeste. Tout semble être fait pour poursuivre un agenda global, peu importe les faits ou les données sur lesquelles l’on se base, et pourtant la plupart des gens l’acceptent.
Malheureusement, c’est le résultat du contrôle par la peur. La peur les empêche d’exercer leur pensée critique, je dirai même plus, elle inhibe leurs facultés de perception. On le voit avec le vaccin, il y en a qui ont été malades après une première dose, ils ont refait une injection et ont été malades avec la seconde, et ils ont tout de même repris une troisième dose et ont été encore plus malades, mais rien à faire, ils ne sont pas capables de l’admettre. Tant qu’ils sont dominés par la peur, ils se retranchent dans cette sorte de mécanisme de survie, proche de ce que l’on appelle le syndrome de Stockholm, où les victimes d’enlèvements se mettent à aimer ceux qui les ont kidnappés et se convertissent à leur foi ou leur idéologie, devenant même des fanatiques.
Comment faire pour résister à de tels pouvoirs ? Vous avez souvent dit « La seule barrière qu’il y a entre des prédateurs comme Big Pharma et les enfants, c’est leur mère ».
Oui, tout à fait. Nos gouvernements avaient créé de nombreuses institutions, afin de protéger les membres les plus vulnérables de la société de toutes sortes de traitements abusifs et les enfants font partie de cette population vulnérable par définition. Mais comme ces agences sont passées sous le contrôle des industries qu’elles sont censées réguler, à l’heure actuelle les seules personnes encore capables de protéger les enfants sont leurs mères. Malheureusement, il y a un effort considérable pour attaquer ce dernier rempart, par le vote d’une série de lois visant à éliminer l’autorité parentale. Par exemple aux États-Unis, de nombreux États accordent à l’enfant la faculté de consentir seul à la vaccination, allant même jusqu’à interdire aux écoles et aux compagnies d’assurance d’en informer les parents.
Que faut-il faire, comment des organisations comme la nôtre, peuvent-elles apporter leur soutien à ces familles ?
Martin Luther King disait qu’il fallait déployer un arsenal d’actions : militer, aller en justice, changer les lois et éduquer et moi j’y ajouterai aussi innover. Nous sommes dans une forme de guerre asymétrique. D’un côté des petits groupes de parents et d’enfants, essentiellement sans pouvoir, face à l’ensemble des institutions, le gouvernement, les médias, les agences et les méga-corporations. Chacun doit avoir le courage d’un guerrier et mener les actions qui sont à sa portée, exploiter toutes les failles du système. C’est la somme de tous ces efforts individuels, ces ripostes sur tous les fronts, qui peut faire la différence. Il faut mener une sorte de guérilla. Ce n’est pas la première fois que la démocratie est sous attaque, on finit par la restaurer, souvent avec des changements positifs à la clé. Mais il est vrai qu’aujourd’hui, la puissance des technologies de surveillance et de contrôle est au-delà de tout ce que l’on a jamais pu connaître dans l’histoire et c’est un vrai défi. Il est essentiel que la résistance citoyenne se développe plus rapidement que la mise en place de ces instruments de contrôle totalitaire.
Vous avez parlé d’innovation. Il est évident que si l’on veut aider la population à sortir de la peur, il faut pouvoir apporter la vision de modèles alternatifs, pas seulement de revenir à ce que nous avons perdu. Par exemple, en ce qui concerne la santé publique, personnellement, j’estime qu’elle concerne surtout l’espace public et la qualité des produits et de l’environnement. Pour le reste, la santé serait plutôt une affaire privée, nul besoin de passer son temps à tester et imposer des traitements préventifs. Voyez-vous votre organisation évoluer dans cette direction, soutenir de nouveaux modèles ?
Je ne sais pas si c’est notre rôle. Je crois que la santé publique a sa place, mais l’essentiel est qu’elle puisse fonctionner de manière indépendante des lobbies. Il faut d’abord que l’industrie pharmaceutique paye pour ses crimes. Je pense par exemple à la crise des opioïdes, où tant de gosses sont morts d’overdose, parce que la firme Purdue a véritablement poussé à la consommation de ces médicaments dangereux (l’Oxycotin). Il faut voir la mini-série Dopesick qui revient sur toute cette horreur et c’est la même chose qui se passe avec les vaccins. On pousse à la consommation en cachant les effets secondaires. On ne peut pas faire confiance à ces entreprises. Mais il est clair que la santé publique devrait agir dans le sens que vous évoquez. Nous avons une grave épidémie d’autisme. Pourquoi sommes-nous passés d’un enfant sur 10 000 à 1 enfant sur 44 aux États-Unis ? Pourquoi y a-t-il une épidémie d’allergies alimentaires et d’eczéma, et une explosion du nombre de maladies chroniques, comme le diabète juvénile, le lupus, l’arthrite rhumatoïde, les maladies de Crohn, le syndrome de Guillain Barré ? Les gènes ne peuvent expliquer ces épidémies, cela ne peut être attribué qu’à une toxicité de l’environnement ou de certains produits. D’ailleurs c’est pour cela que nous sommes aussi très actifs sur des questions comme les dangers liés à la 5G, aux pesticides (Kennedy et le bureau d’avocats Michael Baum ont gagné le procès contre le Roundup et Monsanto en 2018, NDLR), la qualité des aliments pour bébé, enfin toutes sortes de pollutions. Donc oui, clairement, le rôle numéro un de la santé publique, c’est d’identifier tous ces facteurs et de les éliminer. Toute cette focalisation sur les maladies infectieuses, n’est qu’une manière de sortir de l’argent. Les maladies infectieuses ne sont pas une menace sur la population américaine ou européenne…à moins qu’ils n’inventent encore une maladie, un « superpathogène » conçu pour éliminer les gens. D’ailleurs, la preuve en est que dans les années 80, Ronald Reagan avait l’intention de fermer le CDC (Centres for Disease Control, le centre de contrôle des maladies infectieuses qui s’occupe des politiques de surveillance épidémiologique et des politiques de vaccination). À l’époque, il considérait que cette agence n’avait plus son utilité, car il n’y avait plus assez d’américains qui mouraient de maladies infectieuses. Et l’on savait que c’était grâce au progrès, à l’accès à une médecine de qualité et à l’hygiène, mais surtout à l’assainissement des eaux, une meilleure alimentation et même à l’arrivée des frigos, par exemple. Même le CDC l’avait finalement admis. En réalité, la disparition des maladies infectieuses fut plus l’œuvre des ingénieurs que des médecins ! Mais c’est à ce moment-là que les choses ont dérapé. Les agences comme le CDC et le NIAID (Institut National pour la lutte contre les Allergies et des Maladies Infectieuses, dirigé par Anthony Fauci) n’ayant plus de subsides, se sont mises en quête d’une nouvelle mission sous peine de disparaître. Et elles ont fini par tremper dans des affaires louches, en particulier les recherches en bioterrorisme ou tout le business sulfureux autour du SIDA. Ils ont obtenu des sommes colossales, notamment avec la création de USAID qui a été utilisé par la CIA pour toute une série d’opérations internationales sous couvert de programmes de santé.
Oui, vous en parlez beaucoup dans votre livre ! À propos du SIDA vous avez bien connu le professeur Luc Montagnier qui est resté très actif jusqu’à la fin. Il avait d’emblée mis en doute la version officielle de l’origine du coronavirus et avait sévèrement critiqué les mesures sanitaires, y compris le développement des vaccins Covid.
Luc Montagnier était quelqu’un d’assez extraordinaire. Beaucoup de gens lui reprochent d’avoir participé à la promotion de cet agenda du SIDA qui fait l’objet d’une grande controverse scientifique et a en tous cas donné lieu à de gigantesques détournements de fonds. J’ai tenté d’en exposer les principaux éléments dans mon livre, sans pour autant trancher la question. Mais je pense en tous cas que les gens qui ont une opinion négative à l’encontre de Montagnier devraient écouter le discours qu’il a tenu lorsqu’il a reçu le prix Nobel en 2008, car il a tout de même eu le courage de dire qu’il fallait étendre le champ des investigations à d’autres facteurs. D’ailleurs, c’est quelque chose qu’il n’a jamais cessé de faire, en véritable chercheur. Il était capable de remettre les choses en question, même si cela allait à l’encontre de ses travaux préalables, ou de la doxa scientifique. Il avait la passion de la démarche scientifique authentique. Il n’a pas hésité à questionner la sûreté des vaccins et s’opposait à cette obsession de tout expliquer par la seule présence des virus et de maladies infectieuses. Pour moi, c’était quelqu’un de courageux et d’intègre, un esprit brillant. Je suis heureux de l’amitié que nous avons eue. Il avait accepté de venir me rencontrer aux États-Unis, alors qu’il était déjà fort âgé et que sa santé était fragile. Par la suite, nous avons continué d’échanger de manière régulière. Il a d’ailleurs lu mon livre et a rédigé un éloge, dont je suis très fier. C’était quelqu’un de bien.
Y a-t-il un dernier message que vous souhaitez partager ?
Il faut vraiment que les gens comprennent que la pandémie est un acte de guerre mondiale, un coup d’État contre la démocratie. La réponse à la pandémie n’a jamais été médicale, elle a été d’ordre monétaire et militaire. Tout le monde doit prendre ses responsabilités et défendre la démocratie. Il faut lutter contre la propagande que l’on nous inflige, et pour cela il est essentiel de développer la pensée critique chez nos enfants. Quand j’étais enfant, mon père m’a pris à part et m’a dit : « Tu sais Bobby, les gens qui sont au pouvoir mentent ». Je ne l’ai jamais oublié.
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