Ces derniers jours, on a pu lire dans les principaux médias comment des étudiants d’Afrique, d’Asie et du Proche-Orient ont témoigné de la discrimination raciale dont ils ont été victimes dans leur fuite, comment ils ont attendu en vain des heures avant d’être autorisés à passer en Pologne, comment certains ont même été refoulés à la frontière, comment on a parlé de réfugiés de seconde classe.
On cherche en vain dans les principaux médias allemands des articles sur les cas suivants : des hommes venus d’Afrique (la vidéo ci-dessous montre un incident), probablement des étudiants ou des travailleurs immigrés, tentent d’empêcher des femmes ukrainiennes de monter dans le train et même de les en faire sortir, couteau à la main. Apparemment ils ne comprennent pas (encore) le principe « les femmes et les enfants d’abord ». Pas une ligne non plus sur un homme parlant arabe qui sélectionne les voyageurs avec un objet bien connu en islam.
Où sont les femmes ? Tensions ethniques à la gare de Kiev, train au départ vers la Pologne :
Un homme parlant arabe sélectionne les voyageurs; il fait sa loi, couteau à la main :
Arrivé chez nous, il se plaindra et sera choyé par les associations :
C’est précisément de genre d’individus que Macron recherche personnellement pour en faire nos futurs « étudiants » :
Jamais sans couteau : le demandeur d’asile nord-africain classique, casquette Nike vissée sur la tête.
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Cerise sur le gâteau, combien de ces « demandeurs d’asile » font partie des étudiants africains que Macron se prépare à installer dans nos facs ?
Source : Résistance Républicaine
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