Par Sarah Terzo (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Dans un article du Daily Mail, Hetty Blakey, une résidente du Royaume-Uni, décrit avoir été trompée par les médecins sur l’état de son enfant et avoir subi des pressions pour avorter.
Pendant sa grossesse, Mme Blakey s’était rendue à l’hôpital du comté de Lincoln pour un dépistage de la clarté nucale.
On lui a dit d’avorter sans même un diagnostic complet
Le site Web MD décrit ce test :
Le dépistage se fait en deux étapes. Une analyse de sang vérifie les niveaux de deux substances — la protéine plasmatique associée à la grossesse (PAPP-A) et la gonadotrophine chorionique humaine. Une échographie spéciale, appelée dépistage de la clarté nucale, mesure l’arrière du cou du bébé.
Le résultat combiné des analyses sanguines et de l’échographie vous donne une idée du risque que court votre bébé. Cependant, il ne s’agit pas d’un diagnostic. La plupart des femmes dont le dépistage au premier trimestre est anormal ont ensuite des bébés en bonne santé.
Le test a révélé que la mesure était élevée, indiquant une possible anomalie chromosomique.
L’hôpital n’a rien dit à Mme Blakey ni à son mari sur l’état du bébé, si ce n’est que l’enfant ne survivrait pas et qu’il fallait avorter. À ce stade, le diagnostic n’avait pas été confirmé et rien n’indiquait que leur enfant était atteint d’une maladie mortelle — la trisomie 21 n’est pas considérée comme une maladie fatale.
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