Qui a incendié Notre-Dame ? On attend encore les « résultats d’analyse » !
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L’incendie de Notre-Dame de Paris est reconstitué au cinéma par Jean-Jacques Annaud. Le film sorti ce 16 mars 2022 reconstitue-t-il fidèlement l’événement ? Coulisses de Notre-Dame brûle.
La bande-annonce :
C’est un pari un peu fou que s’est lancé Jean-Jacques Annaud : reconstituer fidèlement et cinématographiquement l’incendie de Notre-Dame de Paris, le 15 avril 2019. Notre-Dame brûle revient sur un événement qu’on a tous ou presque suivi en direct à la télévision et qui a résolument marqué les Français.
Le film est-il fidèle à l’événement ? En tout cas, Jean-Jacque Annaud et ses équipes ont mis en place un travail colossal pour raconter minutieusement l’incendie de la cathédrale. Au micro de France Bleu Auxerre, le cinéaste explique d’ailleurs que « ce film ressemble à un film de fiction puisque tout a été quasiment reconstitué, mais à partir d’éléments véridiques ». L’intérieur de la cathédrale à d’ailleurs été tourné à Bourges et Sens principalement, mais aussi à Amiens ou Saint-Denis.
« Au départ, j’ai cru que les témoins et les journalistes enjolivaient les choses puis j’ai dû me rendre à l’évidence. Tout cela est arrivé et même les athées peuvent admettre que cela tient du miracle qu’on ait eu fin aussi heureuse ! Les pompiers étaient prêts à voir la cathédrale s’effondrer et craignaient que l’île de la Cité parte en fumée. »
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Notre-Dame brûle, de Jean-Jacques Annaud :
le film événement et… pompier
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Hélas, le film n’échappe jamais aux pièges de la grandiloquence (accentués par les grandes orgues d’une musique assourdissante composée par Simon Franglen) et de l’artifice (alors que tout est censé être vrai, tout sonne faux).
Après un interminable prologue mettant en scène des touristes de tous les horizons géographiques visitant le monument – soit autant de représentants du public international ciblé par le film – Notre-Dame brûle, heure par heure, relate le combat des « soldats du feu » et l’agitation frénétique à tous les étages du bâtiment en souffrance.
Mêlant images d’archives et reconstitutions, le film contient quelques moments d’ores et déjà cultes, comme la scène où Anne Hidalgo, maire de Paris, incarne son propre rôle d’édile paniquée de voir la cathédrale en flammes depuis les fenêtres de « son » Hôtel de Ville. Cette brève apparition en tant qu’actrice ne dessine aucune possibilité crédible de reconversion pour Anne Hidalgo en cas d’échec à la prochaine élection présidentielle. Et elle ne convainc pas plus que le reste du « monument », globalement maladroit et… pompier.
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