Les États-Unis disposent-ils d’une taupe au sein même du gouvernement français, en la personne d’Emmanuel Macron ?
La question peut en effet se poser lorsque l’on voit avec quel acharnement ce dernier défend leurs intérêts contre ceux même de la France.
N’oublions cependant pas que notre Foutriquet national est Young Leader tout comme Valérie Pécresse, Édouard Philippe ou Olivier Véran. Un réseau méconnu fait d’ambition, de piston, de compromissions, créé par deux fondations la French-American Foundation fondée en 1976 et la France China Foundation, instituée en 2012. Objectif officiel de ces programmes : faire émerger des élites et « favoriser les échanges futurs » entre la France et les deux super-puissances que sont la Chine et les USA. En fait, on peut surtout soupçonner les USA de se créer un réseau de « taupes » tout dévoué à leurs seuls intérêts et visiblement, si l’on en croit les apparences, ça marche !
Rappelons quelques évidences pour la forme…
Acte I – En tant que ministre de l’Économie en 2014, Emmanuel Macron a défendu la vente de la division Énergie du groupe Alstom à l’américain Général Electric. Une cession qui n’a jamais été « digérée » par nombre de Français qui voient là une façon inqualifiable de brader le patrimoine industriel de notre pays. Cette transaction, de près de 13 milliards d’euros, qualifiée par ses opposants de « scandale d’État » puisque l’opération revenait, entre autres, à confier à un groupe étranger la maintenance des turbines des 58 réacteurs nucléaires français.
Une technologie de pointe hautement « sensible ».
L’affaire faisant grand bruit, en 2022 le parquet national se saisit du dossier suite à la réflexion d’un député qui a émis des soupçons quant à un potentiel « pacte de corruption » impliquant Emmanuel Macron.
Quand on lit qu’Emmanuel Macron a pris une décision « privée » et non pas « sans amertume », peut-on y croire ? Macron, spécialiste du mensonge, n’est pas crédible.
Résultat, nous en sommes à racheter plus cher aujourd’hui ce que nous avons vendu presque « à perte » à l’époque.
Acte II – Le « contrat du siècle » avec l’Australie reste là encore en travers de la gorge des Français.
En 2019 l’Australie commande à la France 12 sous-marins conventionnels. Ces derniers devaient être construits à Cherbourg-en-Cotentin (Manche) aux chantiers Naval Group. Un contrat établi sur une durée de cinquante ans, soit environ 90 milliards de dollars australiens (56 milliards d’euros non confirmés). Naval Group devant fournir la conception de ces douze grands sous-marins diesel-électrique, incluant design, construction et maintenance. Et ce, grâce au programme des six sous-marins d’attaque Barracuda, développé pour la marine française. La production devant démarrer en 2023 serait livré en 2030 et la flotte constituée en 2050. En fin de compte, en septembre dernier, l’Australie rompt le contrat et opte pour une technologie à propulsion nucléaire de fabrication américaine. À l’époque, Jean-Yves Le Drian estime avec raison que l’Australie a « porté un coup d’épée dans le dos à la France ». Pourtant l’affaire ne semble pas émouvoir plus que ça Emmanuel Macron qui l’a balaye quasiment d’un revers de main. Et ce bien que la France voit un gigantesque contrat échapper à son industrie navale et à la ville de Cherbourg-en-Cotentin qui en auraient eu tous deux bien besoin pour relancer leur économie par un retour de croissance bienvenu.
Acte III – Emmanuel Macron se pose officiellement comme médiateur dans la crise opposant la Russie à l’Ukraine.
Se présentant comme émissaire de l’OTAN puisque la France dispose de la présidence de l’Europe pour six mois, et ce bien qu’il n’ait aucun leadership de l’OTAN, Foutriquet ne va pourtant pas arrêter de « mettre de l’huile sur le feu ». Passons sur ses « pseudo-interventions » entre le président russe Vladimir Poutine qu’il a soi-disant appelé 14 fois, et Volodymyr Zelensky, humoriste, producteur, acteur, qui se trimbale en dansant sur des talons aiguilles et Président par opportunisme (ça paye sans doute mieux) visiblement mis en place par les USA, que notre Foutriquet national a appelé 22 fois, pour constater qu’une fois encore, notre menteur professionnel, lui même sans doute en mal de « commedia dell’arte » joue un rôle fort mal interprété puisque l’on découvre du fait de la bêtise d’Alexis Corbières, député de la France Insoumise, qui viole le « secret défense » au passage que la France a livré « quelques missiles anti-char » à l’Ukraine.
Bénissons au passage la mansuétude de Vladimir Poutine qui aurait pu dans la foulée déclarer la guerre à la France pour moins que ça. Et notons au passage que la politique d’agression des États-Unis et de l’OTAN pour enlever l’Ukraine à la Russie a été définie dès 1997, il y a donc 25 ans, dans le célèbre livre “Le Grand Échiquier” de Zbigniew Brzezinski, conseiller de Sécurité auprès du Président Jimmy Carter. Brzezinski écrit noir sur blanc dans cet ouvrage fondamental : « L’Amérique doit absolument s’emparer de l’Ukraine, parce que l’Ukraine est le pivot de la puissance russe en Europe. Une fois l’Ukraine séparée de la Russie, la Russie n’est plus une menace ». Comme par hasard !
Quant au rôle de médiateur de Macron, il est tellement « vital » qu’il a été exclu des dernières négociations ! Beau résultat.
Acte IV – Un député français nous confie qu’Emmanuel Macron « attend les ordres ».
Dans une réunion réunissant quelques élus, un député français siégeant au Conseil de l’Europe nous a expliqué la chose suivante :
« Depuis cinq ans Emmanuel Macron n’a rien fait ! (ça ce n’est pas une nouvelle). Il ne fait rien, il attend. Il attend des ordres, des instructions, dont on ne sait pas d’où ils viennent. Lorsqu’il a reçu ces ordres il les applique à la lettre, sans états d’âme et sans aucune empathie pour le peuple qui subit une vraie maltraitance. »
Des ordres de qui ? Mystère ! De là à croire que notre Young leader Emmanuel Macron agirait comme une taupe pour les USA, il n’y a qu’un pas qu’il est bien tentant de franchir…
Valérie Bérenger
Source : ns2017
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