Les missiles balistiques iraniens Fatah110 et les drones kamikazes qui se sont abattus avec une probabilité d’erreur circulaire de 10 mètres sur un centre des opérations régionales conjointes du Mossad et de la CIA à Erbil ont causé des pertes que la censure militaire nie l’existence.
Des témoins oculaires ont rapporté des scènes de panique dans au moins un centre d’entraînement des irréguliers kurdes du Mossad israéliens adjacent à la base militaire US d’Al-Harir ainsi que des rotations incessantes d’hélicoptères et d’aéronefs.
Selon des médias locaux, la puissance des explosions étaient telles qu’elles ont soufflé les vitres et les devantures des immeubles jusqu’à une distance de trois kilomètres. Une chaîne tv kurde a diffusé les images de ses studios endommagés par l’onde de choc des explosions. Ce media pro-OTAN estime que la coalition va certainement occulter un bilan humain et matériel certainement assez important.
La République islamique d’Iran a officiellement revendiqué l’attaque balistique sur des objectifs militaires US et israéliens dans le nord de l’Irak et a affirmé que cette attaque a été lancée en représailles à l’assassinat de deux conseillers militaires iraniens à Damas lors d’un raid sous couverture israélienne.
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