Terme à la mode en ce mois de mars de l’an 2022: désinformation.
Définitions du terme:
“La désinformation est une manipulation de l’opinion publique, à des fins politiques, avec une information traitée par des moyens détournés.” Vladimir Volkoff
Quelles sont les plus grandes sources de désinformation dans le monde?
Les États
Les multinationales
Les médias sous contrôle de groupes d’intérêts, de lobbies d’influence et des politiques.
“On peut tromper tout le peuple un certain temps, ou certaines personnes tout le temps, mais on ne peut pas tromper tout le monde, tout le temps. ” (Citation attribuée à Abraham Lincoln)
” Plus un mensonge est proche de la vérité, plus il est efficace ; et la vérité elle-même, lorsque l’on peut en faire usage, est le meilleur des mensonges ” (Isaac Asimov)
Il a suffit qu’un Chef d’État dénonce l’empire du mensonge pour que l’ensemble de la machine devienne hystérique et cible tout ce qui n’émane pas de ses tentacules.
Des décennies bien avant 2022, des personnes éveillées ou dotées d’un extraordinaire esprit critique et d’une solide intuition avaient eu de sérieux doutes sur la version officielle et ridicule de l’assassinat lâche du président John Fitzgerald Kennedy, le programme Apollo (1961-1972), le fameux projet de la “guerre des étoiles” ou Initiative de Défense Stratégique (IDS), la fraude électorale ayant propulsé les Bush père et fils au pouvoir, les attentats sous faux drapeau du 11 septembre 2001, les motifs légers et inconsistants de la guerre d’Afghanistan (2001-2021), l’éviction scandaleuse de José Maurício de Figueiredo Bustani, premier Directeur général de l’Organisation sur l’Interdiction des Armes Chimiques, de la fiole pleine d’urine humaine présentée comme une arme de destruction massive (ADM) par Colin Powell au Conseil de Sécurité des Nations Unies, et qui a servi de prétexte pour l’invasion de l’Irak, les attentats sous faux drapeau attribués au terrorisme islamiste puis les vraies fausses organisations terroristes comme Al-Qaïda/Daech affiliées aux services spéciaux, la fiction Benladen, les fausses histoires du printemps dit arabe (appellation contrôlée), l’hystérie anti-libyenne puis anti-syrienne, l’hystérie anti-iraniene et la propagande anti-coréenne, la propagande anti-chinoises à quatre axes, la russophobie résiduelle de la Guerre froide 1.0, la grande farce du COVID-19 et la manipulation planétaire autour de cette thématique créée de toutes pièces et à laquelle tous les pays ont été forcés d’y participer de gré ou de force.
Le système de désinformation mondiale ne tolère aucune narration indépendante ou contraire à la version qu’il propage, car il ne survit que grâce au mensonge dans le mensonge et l’illusion. Le système survit tant que des milliards de personnes y croient et adhérent à la narration du réel imposé, camouflant une réalité sordide où l’asservissement est pire que toutes les formes d’esclavages que l’humanité a connu depuis les premiers groupes humains plus ou moins organisés.
L’arrogance des élites se cachant derrière un semblant d’empire n’a aucune limite autre que celle, infinie, de leur cupidité. Ils n’ont aucune forme de morale et détestent toute forme d’éthique. Ils vivent du clivage , de la division, du conflit et de la guerre et ne peuvent concevoir un monde autre que celui où ils sèment leur ravages.
En tant qu’individus, il est de notre devoir moral envers l’humanité de dénoncer le mal en tant que tel, nonobstant toute appartenance ou affiliation nationale, ethnique, religieuse, ideologique ou autre. Le mal à cru triompher plusieurs fois au cours de l’histoire mais n’a jamais pu perdurer. La vérité triomphera définitivement un jour.
Le chacal ricane, même mort.
Source: Lire l'article complet de Strategika 51