Selon certaines versions historiques, en 1346, les Mongols assiègent Caffa, comptoir génois en Crimée. Une épidémie ramené d’Asie centrale ravage les rangs mongols et ne tarda pas à s’annoncer dans la ville assiégée. D’après certains historiens, les Mongols userent d’une forme de guerre biologique en catapultant les morts de la peste à l’intérieur de la ville. D’autres arguent que la maladie a du être véhiculés par des rats ou d’autres rongeurs. Quoi qu’il en soit, la maladie se propagea très vite en Europe, en Afrique du Nord, au Moyen-Orient et décima en quelques années près du quart de l’humanité du monde connu et fit disparaître des royaumes et des dynasties entières. Certaines régions du monde ancien ne relèveront plus jamais de ce fléau.
La peste noire est un terme assez récent forgé par les historiens pour désigner ce terrible fléau causé par le yersinia pestis.
Des siècles après, d’obscurs laboratoires biologiques en Ukraine effectuaient des recherches avancées sur le yersinia pestis ou la peste ainsi que d’autres vecteurs pathogènes extrêmement contagieux. Une grande partie de ces laboratoires au financement opaque ont été ciblés en priorité par les forces russes lors du conflit en cours en Europe orientale, relancé le 24 février 2022 par le déclenchement d’opérations de guerre russes en Ukraine.
Les médias n’en parlent pas.
La Chine a affirmé que le Département US de la Défense contrôle 336 laboratoires biologiques à travers le monde. l’Ukraine abritait de tels laboratoires destinés à des recherches en matière de guerre biologique “ciblée”.
Le Ministère chinois des Affaires étrangères a appelé Washington à faire la lumière sur ces laboratoires de fin du monde du Pentagone en Ukraine le plus vite possible.
Le 07 mars 2022, le commandement militaire russe a accusé les autorités ukrainiennes de détruire des vecteurs pathogènes objet de recherches dans les laboratoires contrôlés par le Pentagone dans ce pays. Plus encore, Moscou affirme que les laboratoires biologiques ukrainiens coopèrent avec les forces armées US depuis trente ans.
Les États-Unis et l’Ukraine ont démenti ces affirmations et ont souligné que le programme conjoint de réduction des menaces biologiques vise à contrer la menace d’épidémies contagieuses et que tout le reste des allégations relève de la “désinformation” et des théories de complot.
L’obssession avec laquelle le Pentagone et les organismes affiliés directement ou indirectement au gouvernement US luttent contre la “désinformation” sur le COVID est totalement incompréhensible d’autant plus que la majorité des populations aux États-Unis n’ont jamais adhéré ou très peu à la version officielle imposée concernant l’apparition de ce vecteur. Cette obsession n’est toutefois pas la plus zélée puisqu’elle est devenue une sorte de culte totalitaire dans des pays comme l’Australie, Israël ou le Canada à titre d’exemples. Cette tendance peut s’expliquer par des motifs liés à la spéculation boursière et à l’exploitation d’une thématique à des fins économiques mais aussi le renforcement du contrôle social et politique. Cependant, c’est l’existence de laboratoires de recherche en vecteurs pathogènes dans des pays où la corruption atteint des proportions astronomiques et dans le fonctionnement le plus opaque qui semble poser un réel problème. Ce problème est loin de relever de la désinformation comme l’ont attesté l’apparition soudaine d’épidémies exotiques localisées en Afrique et en Asie depuis la seconde moitié des années 90.
La thématique COVID s’est épuisée et a été éclipsée par la reprise de la guerre en Europe orientale. C’était prévisible depuis deux ans. Il y a un chef d’orchestre unique qui mène les thématiques: guerre contre la drogue (1990) qui cachait à peine l’implication des services spéciaux des grandes puissances dans le trafic mondial des narcotiques; “terrorisme islamiste” puis “guerre sans fin contre la terreur” (1998-2015) qui camouflait l’utilisation par des grandes puissances d’un phénomène créé de toutes pièces, d’abord à des fins géostratégiques puis pour la fabrique de la peur interne et propagation de l’islamophobie ; “guerre froide 2.0” et ciblage de pays classés dans le nouvel axe du mal; opération COVID, la plus grande manipulation de masse au niveau mondial et enfin le chaos actuel en cours avec reprise en main de l’internet, l’instauration de facto d’un état d’urgence mondial et la menace d’un schisme universel avec deux écosystèmes adverses vivant en total isolement l’un vis à vis de l’autre avec en filigrane la menace d’un conflit nucléaire.
La plupart des thématiques ont été promues par les mêmes structures et selon un marketing de propagande assez éprouvé et dont l’impact a été facilité par plusieurs facteurs psychologiques. L’instinct grégaire et de conservation des populations, la croyance en certaines notions comme le nationalisme ou l’esprit tribal mais surtout l’abrutissement généralisé via des systèmes éducatifs adaptés pour favoriser la dissonance et le délitement cognitifs, des techniques de la publicité mensongère et les réseaux sociaux.
Durant les années 80, les Israéliens, en collaboration avec les Sud-africains ont tenté des expériences biologiques visant à créer des armes biologiques ciblant uniquement certaines ethnies de l’espèce humaine. Expériences qui avaient naturellement abouti à un échec complet et définitif puisque le génome humain est non seulement infiniment plus complexe qu’on le croit. Mais cette tentative a été exploitée à des fins commerciales avec la création de start-up spécialisés dans la généalogie ou la détermination de l’origine par la soumission d’un échantillon ADN par voie postale.
L’avenir immédiat du monde dans lequel on vit est celui de l’idiotie. Le système n’est ni darwiniste ni compétitif mais malthusien. Il ne vise le pouvoir que pour le pouvoir et que pour garder ce pouvoir pour un millénaire de plus…Mille ans! Il y a plus de quatre-vingts ans, un autre empire rêvait de durer mille ans. Il disparut en 1945.
Nous vivons actuellement une erreur dans la machine. Elle s’est enrayée et se comporte totalement de manière erratique. Ce déséquilibre du monde risque de durer.
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