Mars attaque, premier mois de l’année du calendrier romain. Rien que le retour timide des beaux jours indiquait jadis le début, ou plutôt la reprise des temps de guerre. Martius sinon en latin, dieu de la guerre, identifié à l’Arès des Grecs. Temps symboliquement marqué par la Pyrrique, cette danse guerrière, particulièrement en honneur à Sparte et en Crète puis importée à Rome, exécutée le plus souvent au son de la flûte et sur un mode rapide par des hommes en armes simulant un combat. Tout… un art.
La Pyrrique est toujours dansée parmi les Grecs originaires du Pont Euxin vers Trapézonte… dont bon nombre, chassés de Turquie, vivent depuis 1922 en Grèce, mais également, dans la région de Marioupol et de la mer d’Azov. Ils se sont rajoutés aux communautés grecques des lieux, vieilles il faut dire de plus de 2.500 ans.
Ces Grecs, ou plus précisément les gréco-russes, étaient plus de 250.000 avant 2014, sauf que depuis les pogroms initiés par les troupes nazifiées de Kiev, leur nombre est tombé à 150.000, d’après les estimations du moment, à l’instar de celles de Sávvas Kalenderídis. Ils ont quitté leurs villages.
Les faits plus globaux de la région, même ceux relativement récents, sont suffisamment connus pour par exemple être assez justement résumés, entre autres par Thierry Messian. Faits connus… sauf pour les hystériques de la propagande antirusse qui coure tant les rues que les caniveaux en cet Occident, Grèce comprise, en chute libre, et ainsi plus crépusculaire que jamais.
Occident, au demeurant largement satanisé par les temps qui courent, si l’on observe certains symptômes létaux, à l’instar de la cérémonie largement sataniste, organisée à l’occasion de l’inauguration du Gothard ferroviaire en 2016… en présence de nombreux “responsables” européens.
Retour donc bref à la guerre du moment, d’après Thierry Messian. “En 2007, la CIA organisa à Ternopol en Ukraine, un congrès pour rassembler les néo-nazis européens et les jihadistes moyen-orientaux anti-Russes. En 2013, l’OTAN forma au combat de rue les hommes du même Dmitro Yarosh en Pologne. De la sorte, ils furent opérationnels lors du changement de régime diligenté par Victoria Nuland en Ukraine: la -révolution de la dignité- dite aussi -EuroMaïdan-. La plupart des journalistes sur place ont remarqué la présence inquiétante de ces nazis, mais les personnalités occidentales qui venaient participer à cette -révolution-, comme Bernard-Henri Lévy étaient aveugles”.
“Dans les mois qui suivirent, la présence de cinq ministres nazis dans le gouvernement de transition provoqua les référendums d’indépendance des oblasts de Donestz et Lougansk. Le président Petro Porochenko, sur les conseils des amis d’Hunter Biden, les organisa en unités militaires qu’il plaça à la frontière des nouvelles Républiques populaires de Donestz et de Lougansk”.
“Durant sept ans, les groupes nazis ont massacré des habitants du Donbass, au hasard. L’Allemagne et la France, garants des accords de Minsk, n’ont rien fait. Les Nations unies elles-mêmes ont fermé les yeux. Pendant sept ans, ces groupes se sont développés. Ils sont passés de centaines de soldats à des milliers”.
“A la demande de Victoria Nuland, le président Zelenskyy nomma Dmitro Yarosh conseiller spécial du chef des armées. Ce dernier réorganisa les néo-nazis en deux bataillons et en groupes urbains. Il lança une vaste attaque des oblasts séparatistes le week-end de la Conférence sur la sécurité de Munich, déclenchant ainsi la réponse russe. Tous ces faits sont indiscutables. On peut estimer que la réponse de la Russie est disproportionnée et inappropriée, mais pas qu’elle soit injustifiée”.
Victoria Nuland certes, et nous ajouterons, autant son ambassadeur d’alors en poste à Kiev, Pyatt ; depuis, il est nommé à Athènes, une nomination qui décidément a préparé les suites dans l’encerclement de la Russie, entre… Kiev et Athènes. Maintenant on le sait.
“Il faut garder à l’esprit que la Seconde Guerre Mondiale a été vécue différemment à l’Ouest et à l’Est. En Europe de l’Ouest, le nazisme était une dictature qui s’en est prise à des minorités, les Tsiganes et les Juifs, qu’elle a enlevé et exterminé par millions dans des camps. En Europe de l’Est, le projet était tout autre. Il s’agissait de libérer un espace vital en exterminant la population slave. Il n’y avait pas besoin de camp. Il fallait tuer tout le monde. La seule URSS a compté 27 millions de morts. La Russie moderne s’est construite sur le souvenir de cette Grande Guerre patriotique contre le nazisme. Pour les Russes, il est inacceptable de porter des croix gammées et de voter une loi raciale. Il faut agir sans attendre qu’elle soit appliquée”.
Rien ne s’oublie manifestement en cette terre des frictions dans la tectonique des cultures et de la géopolitique, allant même jusqu’aux cultures de guerre et du sang ; spécialement sur cette bande territoriale allant de l’Ukraine à la Grèce… en passant par les Balkans. Notons encore pour ce qui tient de la micro-histoire si bien actuelle, ce petit épisode grec.
Les marionnettes d’Athènes ont organisé un convoi composé de 21 voitures, quittant Marioupol à destination de la Roumanie pour atteindre finalement la Grèce, ceci durant la semaine du 1er mars. Inutile de dire que la presse du Régime à Athènes, a présenté l’opération comme étant synonyme… de l’Exode glorieux des Grecs devant l’avancée des Russes.
En réalité, et d’après le reportage, il s’agissait de 81 personnes, dont les journalistes dépêchés sur place ces dernières semaines, des membres du personnel du Consulat grec et de leurs familles, ainsi que des rares Grecs du coin… hostiles aux Russes et d’ailleurs plutôt pions de Pyatt.
Ainsi, quand la chaîne du Régime SKAI, a joint un Grec de Marioupol représentatif de sa communauté, ce dernier répondant à la question – “sortez-vous de votre domicile, comptez-vous quitter la ville ?”… n’a pas donné la réponse attendue par les journalistes chiens de garde de Mitsotákis et de Pyatt. “Nous ne pouvons pas sortir, car si nous sortons, les fascistes – les nazis du bataillon AZOV- vont nous tuer”. La vérité, rien que la vérité.
Petit détail plutôt… technique, avant de quitter le territoire de l’Ukraine, le convoi des Grecs, a trouvé refuge, protection et hospitalité… près du tombeau du rabbin Nahman de Breslev, fondateur de la dynastie hassidique de Bratslav. “C’est grâce à l’intervention du ministère des Affaires étrangères d’Israël que le convoi a pu séjourner en ce haut lieu du culte hébraïque”, écrit-elle en pavoisant la presse mainstream d’Athènes. Mitsotákis, Premier ministre, Déndias aux Affaires étrangères et les autres Khazars en poste à Athènes ne peuvent qu’être satisfaits. On les comprend.
Et bien en amont de la mer d’Azov, voilà qu’un des débarquements américains à destination de la traditionnelle zone… de l’encerclement de la Russie, s’opère depuis près de deux ans depuis Alexandroúpolis, grand port et ville située non loin de la frontière N-E de la Grèce avec la Turquie, dont la base américaine est une pure création sous… la régence de Pyatt. Car une guerre comme on sait, elle se prépare.
Comme la guerre devient désormais… ouverte, les Russes ont prévenu qu’Alexandroúpolis, puis la base américaine de Souda en Crète, et alors Athènes si besoin, figurent parmi leurs cibles en cas d’aggravation du conflit. Nous y arrivons peut-être dans pas longtemps.
Face à la réaction des Russes, les Etats-Unis ont ordonné la fermeture pour un mois de l’espace aérien grec en cette région grecque de Thrace, c’est chose faite et c’est une première, depuis que la Grèce a adhéré à l’OTAN en 1952.
Dans cette descente aux enfers… démoniaques de la Grèce, Mitsotákis, le politicien issu des rangs des amis déclarés des pédophiles, décide comme il le dit “bien seul”, d’envoyer du matériel militaire à l’Ukraine de son… cousin de Kiev, ce qui met les Grecs devant l’imminant danger des représailles attendues des Russes, étant donné toute… cette volonté de l’OTAN… d’en finir avec la Russie.
Et d’abord, cette même Grèce de Mitsotákis vient d’envoyer à Kiev via la Pologne, plusieurs milliers de fusils d’assaut Kalachnikov, dont l’essentiel provient d’une saisie d’il y a quelques années… d’un bateau affrété par les mafieux d’Ukraine, armes d’ailleurs destinées aux djihadistes du Moyen Orient. Retour… à l’expéditeur.
Et c’est encore pire car Mitsotákis et ses sbires auraient, d’après le reportage de la semaine, dégarni la défense anti-aérienne des îles grecques de la mer Égée et ce n’est pas tout, car ce Quisling d’Athènes et d’abord de l’OTAN, de Berlin et de l’U.E. cette Babel sataniste, vient de préciser “que les armes d’origine russe en Grèce seront neutralisées et retirées, car elles ne sont pas essentielles pour la défense nationale”, armes dont certaines, sont déjà en phase d’être livrées aux militaires de Kiev ou aux mercenaires engagés par l’OTAN.
Cette… neutralisation concerne tout de même les missiles S-300, les systèmes Tor-M1 qui constituent 100% de la force anti-aérienne de Crète et qui protègent le 115 Escadron de chasse, responsable de la défense aérienne du sud de la mer Égée et du Dodécanèse, mais aussi de Chypre. Il en est de même pour les batteries anti-aériennes en Thrace près de la frontière avec la Turquie, quand l’armée grecque y utilise essentiellement les systèmes de missiles automoteurs Tor-M1.
Ce n’est d’ailleurs pas par hasard si la Turquie revient en ce moment sur sa… volonté impérieuse, s’agissant de “reprendre les îles” grecques de la Mer Égée, celles que“la Grèce doit d’ailleurs démilitariser rapidement”. Sous le prétexté ukrainien, on dirait que c’est alors chose presque faite au sujet de leur désarmement dejà, car la famille des apatrides Mitsotákis a toujours travaillé pour les Anglo-Saxons, pour les Allemands et alors pour les Turcs.
Sans… lien peut-être avec cette actualité, les habituels passeurs Turcs, ont… dépêché en Grèce cette semaine via la frontière en Thrace, quatre Syriens et un Algérien. Une fois n’est pas coutume… ces envahisseurs ont été arrêtés par la Police grecque, et il s’est avéré que l’Algérien en question, avait dans son sac dix pistolets de 9mm de fabrication turque. La… guerre c’est aussi cela, et Mitsotákis en rajoute.
Les Grecs, ceux qui du moins n’ont pas la mémoire courte, font remarquer entre eux et sur Internet, que jamais Athènes n’a envoyé une telle aide militaire à Chypre, île majoritairement à population grecque à 80% jusqu’en 1974 et pays que la Turquie occupe en partie depuis juillet 1974… mais alors cette Grèce à l’envers, elle le fait pour Kiev. Car sans le dire, Athènes organise le transport même par la route, d’hélicoptères et de chars grecs, lesquels passent alors de nuit, la frontière entre la Grèce et la Bulgarie, ce que finalement la presse locale finit par découvrir.
Et l’on sait aussi qu’au sein de l’armée grecque, il y a du mécontentement, car d’ailleurs et déjà officiellement en tout cas, il n’est pas dit dans quelle mesure ces hélicoptères, chars ou peut-être bientôt avions, seront-ils ou pas, pilotés par des équipages grecs. Ce qui n’est pas populaire du tout il faut dire, surtout en Grèce du nord, en ses régions de Macédoine et de Thrace où les habitants sont encore davantage pro-Russes qu’au sud du pays.
Sur la chaîne télé d’Athènes SKAI… laquelle appartient aux Turcs et qui travaille pour Pyatt, les journalistes se déchaînent. “Il y a tout un courant anti-occidental et pro-Russe bien renforcé en ce moment et qui nous rend la tâche difficile”.
Car les Grecs, parmi ceux ayant encore les yeux ouverts, estiment qu’au mieux, la Grèce ne devait pas être impliquée dans ce conflit, et encore moins contre les Russes. C’est ce que fait la Hongrie mais également la Turquie.
Ankara à son habitude joue habilement sur les deux tableaux, elle n’a pas fermé son espace aérien aux avions russes, elle n’a pas diminué son commerce avec la Russie, pour se présenter enfin même comme étant une puissance médiatrice entre l’OTAN et Moscou. Tout le monde le comprend et de nombreux analystes non-inféodés au Régime d’Athènes n’ont guère d’illusions, autant sur la question de la fermeture des Dardanelles par Ankara.
“La Turquie a fermé les détroits en connivence avec les Russes, en tout cas pour le moment ; ainsi les navires de l’OTAN ne pourront pas non plus remonter depuis la Méditerranée pour atteindre la Mer Noire”. D’où déjà la présence de deux porte-avions, l’un français et l’autre américain en Mer Égée, leurs avions pourront par exemple opérer, comme on nous l’explique, en Roumanie.
Nos analystes qui ne se nourrissent pas tous à la seule soupe OTANesque, rappellent au passage que lors de l’embargo et des sanctions occidentales ayant frappé l’Iran, les banques et les entreprises turques de toute sorte, finance, transports, énergie, avaient servi d’intermédiaires entre l’Iran et les pays occidentaux… et c’est très exactement ce qui va se produire avec la Russie. Au passage, et comme il est de règle, une commission de 15% est prélevée pour chaque transaction, remise… en partie reversée à la famille et aux proches d’Erdogan.
Pendant ce temps, et après les 144.000 Pakistanais que le ministère des migrants et de Soros à Athènes veut installer en Grèce, voilà que le ministre du tourisme se dit prêt à accueillir 50.000 Ukrainiens, “lesquels travailleront dans le secteur du tourisme, ceci d’après les décisions de l’Union européenne”. Oui, la guerre actuelle est déjà globale, elle est également hybride et au besoin immigrationniste et elle n’épargne personne.
Toujours à Athènes, la ministre de la Culture Mendóni, l’amie du pédophile et violeur Lignádis qu’elle avait placé sous l’impulsion de Mitsotákis à la direction du Théâtre encore dit National, cette initiée de bas niveau vient d’interdire toute manifestation culturelle en rapport avec la Russie, dont la diffusion du “Lac des cygnes” de Piotr Ilitch Tchaïkovski. Ce que par exemple le régime des Colonels entre 1967 et 1974, n’avait jamais entrepris vis-à-vis de la Russie. Colonels pourtant, suffisamment nourris au lait caillé de la CIA et du NSA.
Temps incertains. Aux coins reculés du Péloponnèse par exemple, les Grecs, plus nombreux que d’habitude, se rendent alors aux messes de l’avant-Carême pour aussi prier, dont celle du samedi 26 février… dédiée aux âmes des trépassés… toute cause confondue. La suite fut donnée dans les cafés, et l’on constate en les écoutant que ceux qui constituent leurs stocks ne sont guère rares, sans oublier que sur Internet grec, certaines vidéos qui circulent conseillent aux Grecs… sur les gestes à avoir ou à éviter en cas d’attaque aux missiles dotés de têtes nucléaires. Nous voilà… prévenus.
Les Grecs se disent surtout que les Russes ne font pas du bluff, un peu à la manière des Turcs ou des Israéliens ; sachant que la marionnette Mitsotákis s’est engagée à fond aux côtés de ses maîtres Atlantistes. Le pays réel bien amer, se dit que désormais tout peut nous arriver.
Cela étant-dit, la propagande anti-Russe ne prend pas, surtout de la part de ceux qui assassinent aussi la Grèce depuis toujours et surtout depuis le temps de la Troïka et du 4ème Reich européiste, Covidisme et vaccinisme compris. Parmi eux, le maire d’Athènes Bakoyánnis, dernier bouffon propulsé sur la scène publique par sa famille des Mitsotákis ; il vient d’organiser une manifestation Ukrainiste place Sýntagma. Pour cela et pour arriver à mille participants, il en a fait une obligation pour ses agents municipaux. Soros est aussi passé par là, mais Sýntagma n’est pas Maïdan, pas pour l’instant en tout cas. D’ailleurs, EuroMaïdan est aux commandes à Athènes depuis bien longtemps.
Décidément, l’histoire ne se répète pas tout à fait à l’identique, en ce sens déjà qu’elle s’aigrit. Il y a un peu plus d’un siècle, en 1919, la Grèce sous l’agent des Anglais Venizélos aux commandes, avait dépêché sur place un corps expéditionnaire grec pour… épauler les Français et les Britanniques contre les Bolcheviques. Cette piètre affaire avait pris le nom d’Expédition en Russie Méridionale et les faits se sont très exactement déroulés du côté de la Crimée et surtout entre Odessa et Kherson.
Leur… mise à pied par les Bolcheviques fut brusque et rapide, ainsi, ces combattants dépêchés par les Mitsotákis de l’époque… ont été évacués en Roumanie via la Moldavie. Un peu à l’image du convoi des 21 voitures quittant Marioupol à destination de la Roumanie pour atteindre finalement la Grèce.
La triste suite est connue. Guerre gréco-turque en Asie mineure… sous une première impulsion britannique, aide française et soviétique à destination de Kemal, et quant à Lénine et à ses Russes certes soviétisés, ils n’avaient guère oublié l’expédition des Grecs en Russie Méridionale que l’on nomme d’ailleurs actuellement l’Ukraine. Et pour clore l’affaire, l’armée grecque vaincue a quitté en catastrophe l’Asie mineure en août – septembre 1922, suite autant au génocide des populations grecques de Turquie et sitôt du déracinement des rescapés ayant pu arriver en Grèce ; près d’un million sept cent mille personnes tout de même.
Les Grecs ne l’oublient pas… les Turcs non plus. “Nous devrions rester neutres, déjà car les Russes sont Orthodoxes comme nous, puis, parce que les Turcs vont en profiter comme en 1922. Mes parents me le disaient alors fréquemment quand j’étais petite et cela jusqu’au moment où ils ont fermé leurs yeux”. Paroles de Katína, paysanne en ce Péloponnèse rural, elle a 85 ans.
Mais alors son fils Yángos, croit savoir “que de toute manière, cette nouvelle guerre est pareillement montée de toutes pièces pour que le Reset de Schwab puisse alors s’accélérer. Nous irons ramasser des pissenlits et des escargots pour manger”. Katína en rajoute. “Quoi qu’il en soit, nous avons notre propre huile d’olive et notre pain sec. Puis, nos poissons. C’est grâce surtout à notre huile et aux olives que nous avons résisté à la famine, celle que les Allemands nous ont imposé en 1941. Car ces barbares… ils voulaient nous exterminer, nous et les Russes”.
Drôle de Printemps des… peuples, vraiment. L’Ambassade de la Fédération de Russie remercie les Grecs pour leurs messages de sympathie, quand Mitsotákis fait alors de son mieux… pour tuer les soldats Russes.
Depuis la région de Marioupol, on sait déjà que les villages des Grecs ont été bombardés par les nazis d’Azov et par les autres bandes assimilées, mais voilà que le soleil revient en Grèce et avec lui, les premiers touristes. Comme sur l’île de Póros par exemple, sur les terrasses des tavernes déjà ouvertes, et c’est souvent le moment des amis chroniques et sincères des Grecs, ils viennent chaque Printemps depuis l’Europe occidentale pour y rester durant plusieurs mois. Sauf que cette année, un siècle tout juste après le terrible 1922, la géopolitique n’est peut-être pas tout à fait de leur côté et encore moins du nôtre.
D’autres tavernes restent encore fermées et pour cause, mais dans les cafés dits traditionnels, on aime alors de plus en plus souvent, exhiber ces photos issues du temps du service militaire du patron… si possible accompli entre 1960 et 1970. Missiles et alors soldats grecs de jadis… à l’époque où leurs armes ne partaient pas… encore à destination du Régime de Kiev, depuis le même Régime des pantins à Athènes.
Mars attaque, temps comme on sait, jadis marqué par la Pyrrique, danse guerrière, particulièrement en honneur à Sparte et en Crète puis importée à Rome, et visiblement en Russie Méridionale comme ainsi bien au-delà.
Péloponnèse dit mythique, où suivant nos maigres moyens, nous stockons, vivres, carburant, médicaments et eau.
Nous regardant s’agiter, nos chats desposés comme adespotes ne saisissent alors point le sens des actions humaines. Mars attaque !
source : Greek Crisis
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