Il ne vous aura pas échappé que sous la pression du pouvoir profond, qui a sorti les tambours de guerre, même les défenseurs les plus délicats de la position russe ont fini par retourner casaque, et devenir d’ardents défenseurs du piètre Zelinsky, et mécaniquement de toute la smala mondialiste qui se cache derrière : Kolomoisky, Soros, Leyen, Schwab, Attali, Macron, Trudeau, Biden et mauvaise compagnie.
C’est le cas de Zemmour et de Mélenchon, populistes mais pas trop. On va donc commencer par Méluche. Qui s’en prend plein la gueule depuis que le CRIF a sonné l’assaut contre LFI.
Nous, on ne participe pas au Méluche-bashing, on relaie les trucs du moment, car il est de notre devoir d’informer nos lecteurs. Mais par une solidarité naturelle des victimes du CRIF, on ne jette pas la pierre à l’ex-socialiste qui a rompu le consensus à gauche lors du référendum sur la constitution européenne de 2005.
De toute façon, les hommes po, qui morflent quand même pas mal, ne doivent pas être les seuls à prendre cher. Il y a aussi les dessinateurs. On va juste en choisir deux, parce qu’il y a foule chez les graphistes lyncheurs.
Ici, il faut comprendre que le méchant, comme dans les films hollywoodiens, c’est le Russe (ça doit faire du bien aux musulmans, en passant, de ne plus être les vilains de théâtre).
Cependant, tous les dessinateurs ne sont pas aussi alignés sur le pouvoir central mondialiste. Il reste des lucides !
Passons maintenant aux personnalités de second plan, voire de troisième. La fracture ukrainienne donne l’occasion de rebattre les cartes politiques : on doit se positionner, à moins de faire acte de neutralité. Dans le genre positionné, nous avons Conversano et Lapierre, qui affichent leur équipe favorite.
Ces courageuses prises de position, dans des temps à la fois troublés et tranchés, peuvent donner lieu à pas mal de détournements et de mèmes.
C’est peut-être l’explication de la fatigue existentielle de notre jeune président. Emmanuel souffre car il incarne la France, et la France est désunie. Cela provoque une espèce de déchirement intérieur en lui.
En souhaitant que cette guerre ne dure pas trop, laissons l’Anne de Paris s’amuser encore un peu avec l’interrupteur. C’est son jouet préféré, le seul truc où elle excelle !
Et quand on n’a ni tour Eiffel ni interrupteur ? Eh bien on joue avec le fronton de la mairie.
C’est l’occasion d’en mettre une petite couche sur Wauquiez, l’homme (?) qui savonne la planche de Pécresse dans la coulisse…
Après l’invasion de l’Ukraine par la Russie, nous avons décidé en @auvergnerhalpes de suspendre toute coopération et tout partenariat régional avec la Russie.
— Laurent Wauquiez (@laurentwauquiez) February 28, 2022
En parlant de Pécresse, celle qui illumine de sa présence et de son phrasé surréalistes cette morne campagne, qui ne servira à rien, au final…
Bonus 1 : les prémonitions du mage Doudou
Bonus 2 : les souffrances des acheteurs de bébés
Elles ont déboursé entre 40 000 et 60 000 euros pour se payer une #GPA et acheter le corps d’une femme pauvre en #Ukraine. Elles vont repartir avec « leurs bébés » et laisser la mère porteuse sous les bombes russes. Voici la triste réalité de ce business malsain.
— Vincent Lautard (@VLautard) February 27, 2022
Bonus 3 : la provocation d’un soldat russe
qui se croit en vacances en Ukraine !
On va terminer ce florilège sur une note intelligente, histoire de ne pas désespérer Billancourt.
Ah mince, ce Villepin 2022, c’est plus le Villepin 2003, c’est 50 % Chirac, 50 % BHL. Il coupe la poire en deux, le bougre. Cependant, il laisse Poutine manger sa part d’Ukraine et appelle à négocier une fois que l’ogre russe sera repu…
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