Réinfo Covid Québec a décidé de publier chaque semaine une revue de presse de la COVID-19. Elle rapporte différentes nouvelles peu ou pas traitées par les médias et permet donc de se forger une opinion différente de la crise sanitaire et démocratique que nous vivons.
Passeport vaccinal international
L’OMS prépare le « passeport vaccinal » international« .
Lutte gouvernementale très prochaine contre la « désinformation »
- La ministre canadienne des affaires étrangères, Mélanie Joly, a dit, lors de la Conférence de Sécurité de Munich qui s’est tenue le 18 février 2022 (voir transcription des conversations ici) :
- Qu’elle était « fiers des Canadiens qui ont décidé de se faire vacciner et nous sommes maintenant à un niveau de 80% pour toute la population du Canada, les enfants de cinq ans et plus ».
- Cependant, elle est « très, très préoccupée … par la question de la désinformation. » Au sujet : « de la pandémie… il s’agit de notre démocratie… nous savons que l’hésitation à se faire vacciner est également liée au fait qu’il existe des campagnes sur les médias sociaux qui diffusent de fausses informations sur l’origine du virus, ses impacts, et aussi les impacts des vaccins. Nous voyons qu’à travers le monde, cela a un impact dans les démocraties et dans les pays qui ont eu des problèmes en termes de confiance dans leur système public. »
- En résumé : Au nom de la démocratie, il faut combattre la désinformation et donc favoriser la censure (surtout des médias sociaux) afin de rétablir la confiance en nos gouvernements qui affirme, par exemple, que les vaccins anti-covid sont « efficaces et sécuritaires ».
- Mélanie Joly poursuit sur Twitter : (26 fév. 2022) « Dans mon discours à la Conférence sur le désarmement, j’ai réitéré le rôle particulier de cet organe dans la promotion de la sécurité mondiale. Les menaces du nucléaire, de la chimie, de la biologie, de l’IA et de la désinformation sont plus complexes que jamais, et nous devons donc agir maintenant. »
- Questions : La chimie, la biologie, l’IA sont-elles des menaces? Effectivement, si l’on pense au glyphosate, aux OGM, aux PFAS (perfluoroalkyliques et polyfluoroalkyliques retrouvés dans le lait maternel) pour la santé humaine et au QR code et à la reconnaissance faciale nécessaires passeports vaccinaux, sanitaire ou climatique pour la liberté.
Pour contrer cette désinformation, dénoncée par Mélanie Joly, il faut des médecins influenceurs.
Les médecins influenceurs (ou KOL : key opinion leaders) sont « un argument marketing d’une efficacité redoutable » pour les laboratoires pharmaceutiques », selon le Dr Adriaan Barbaroux, généraliste installé à Nice :
- La visite médicale est en perte de vitesse, « ce qui marche le mieux en termes de publicité, c’est lorsque le produit est associé à une personne de confiance », juge le Dr Barbaroux, qui a consacré une partie de ses travaux à l’influence du monde pharmaceutique sur ses confrères.
- Avec 3 700 euros de cadeaux par an, les médecins « influenceurs » sont davantage gâtés par l’industrie que les autres.
- Question : Ces médecins influenceurs, est-ce ceux qui nous parlent dans les masses médias sans déclarer leurs conflits d’intérêt?
« Pourquoi tant de médecins allemands ont-ils rejoint tôt le parti nazi? ».
- Ces médecins, nous explique cet article scientifique publié en 2012, ont commencé par la « marginalisation…en passant par l’expérimentation… et la stérilisation forcées ». Plus de 70 ans plus tard, n’y a-t-il pas une marginalisation des non vaccinés, n’y a-t-il pas une expérimentation avec les injections des ARNm et une vaccination forcée?
- « Compte tenu du serment médical de « ne pas nuire », de nombreuses analyses éthiques d’après-guerre se sont efforcées de donner un sens à ces atrocités apparemment paradoxales. Pourquoi les médecins ont-ils agi de la sorte ? »
- Réponses des chercheurs : Les causes sont :
- Les vulnérabilités professionnelles chez les médecins en général (valorisation de la conformité et de l’obéissance à l’autorité (le gouvernement et l’Ordre des médecins!).
- La valorisation de la prévention de la contamination et de la lutte contre la mortalité (attention au SARS-CoV-2, il y a beaucoup de cas et il est mortel!)
- Les facteurs et les motifs économiques (liés à l’insécurité économique des médecins et aux incitations à l’avancement économique) (Risque de perdre le droit de pratique!?)
- Les rationalisations idéologiques… (croyances dans le darwinisme social … et l’organisme social comme étant sacré) (Il faut protéger le réseau de la santé!?)
- Les chercheurs concluent : « Il est très important de tenir compte des forces qui ont alimenté la « médecine nazie », car cela peut mettre en lumière les conditions et les motivations qui rendent les médecins susceptibles de faire de mauvaises applications de la médecine, et nous guider vers la prévention des abus futurs. » (Vous êtes malades? Restez chez vous, prenez du paracétamol).
« Vivre avec le virus »
- Le président du conseil scientifique français, le professeur Jean-François Delfraissy explique qu’il faut : « Vivre avec le virus, c’est peut-être aussi sortir de cette notion d’obligation (vaccinale), qui a été jusque-là nécessaire. Et arriver à ce que les citoyens gèrent eux-mêmes leur vie en fonction du niveau de l’épidémie. Ce sera aux citoyens de choisir».
- Il est dommage de s’en rendre compte 7 mois après avoir privé, avec son acolyte Olivier Véran (ministre français de la Santé), les non-vaccinés français de vie sociale et de salaires pour certains. Une erreur regrettable!
À noter : en France, toujours aucune date n’est annoncée pour la fin du passeport vaccinal.
Le matériel génétique des vaccins peut se transcrire dans l’ADN humaine
Une étude suédoise montre in vitro que le matériel génétique exogène (du vaccin à ARNm) codant pour la dangereuse protéine Spike peut se transcrire dans le génome humain (transcriptase inverse). Pour quelles conséquences?
Origine non naturelle du virus SARS-CoV-2 : un rapport du gouvernement britannique et une découverte américaine à l’appui.
- Selon un nouveau rapport du gouvernement britannique la fuite d’un laboratoire de Wuhan est très probable
- Dans nouvelle étude scientifique américaine publiée le 21 février 2022 dans Frontiers in Virology, des scientifiques découvrent que le virus contient un minuscule morceau d’ADN qui correspond à la séquence brevetée par Moderna TROIS ANS avant le début de la pandémie :
- Le virus partage une séquence de 19 lettres spécifiques avec une section génétique appartenant à Moderna. Douze des lettres partagées constituent la structure du site de clivage de la furine du Covid, le reste étant une correspondance avec des nucléotides sur une partie voisine du génome.
Figure expliquant l’origine du site de clivage pour la furine
- C’est le seul coronavirus de ce type à porter 12 lettres uniques qui permettent à sa protéine spike d’être activée par une enzyme commune appelée furine, ce qui lui permet de se propager facilement dans les cellules humaines.
- Moderna a déposé le brevet (voir ci-dessous) en février 2016 dans le cadre de sa division de recherche sur le cancer, selon les dossiers. La séquence brevetée fait partie d’un gène appelé MSH3 qui est connu pour affecter la façon dont les cellules endommagées se réparent dans le corps. Il a été approuvé le 7 mars de l’année suivante :
- L’absence de la séquence « CTCCTCGGCGGGCACGTAG « de tout génome eucaryote ou viral dans la base de données BLAST fait de la recombinaison chez un hôte intermédiaire une explication improbable de sa présence dans le CoV-2 du SRAS. Il y aurait 1 chance sur 3 milliards pour que le virus acquiert cette séquence naturellement. Pour rappel, le SARS- CoV-2 est constitué d’environ 30 000 ribonucléotides.
- Le SARS-CoV-2 à l’origine de la pandémie de COVID-19 a une identité d’acides aminés de 96,2 % comparativement au coronavirus de chauve-souris RaTG13. Bien qu’il existe de nombreuses différences de mutation ponctuelle entre le SARS-CoV-2 et le RaTG13, une seule insertion et une seule dissemblance dépassent 3 nucléotides (nt) : une insertion de 12 nucléotides codant pour quatre acides aminés (aa 681-684, PRRA) dans la protéine SARS-CoV-2 S a été découverte. Ce site de clivage pour la furine (SCF) polybasique différencie le SARS-CoV-2 des autres bêtacoronavirus de la lignée b ou de tout autre sarbécovirus. C’est l’ajout du SCF qui a amélioré l’infectiosité du Co-V-2 du SRAS en 2019.
- Pour sa défense, le PDG de Moderna, plutôt que de plaider le hasard (ce qui expliquerait que l’on retrouve dans le virus la partie brevetée par Moderna même si comme on l’a vu les chances que cela soit possible sont infimes), appuis sur l’hypothèse que le virus aurait pu s’échapper d’un laboratoire. C’était pourtant une théorie du complot il y a encore quelques semaines : https://www.facebook.com/chleray/videos/637507373983791
Pas de formes plus graves du Covid avec BA.2 qu’avec BA.1, selon l’OMS.
- Il y a quelques jours, une étude japonaise prépubliée menée sur des hamsters avait conclu à un plus haut risque de forme grave de Covid avec le sous-variant BA.2.
- Selon les données réelles sur la gravité clinique en Afrique du Sud, au Royaume-Uni et au Danemark, où l’immunité contre la vaccination ou les infections naturelles est élevée : dans ces données, aucune différence de gravité n’a été signalée entre BA.2 et BA.1.
Conférence sur les dommages collatéraux provoqués par notre gouvernement
Vidéo d’une conférence de représentants de sciences humaines et sociales organisée par Réinfo Covid Québec à propos des dommages collatéraux provoqués par notre gouvernement.
Échec du vaccin Pfizer au Royaume-Uni et aux États-Unis
- Au Royaume-Uni
- L’UKHSA est sorti avec son rapport de la semaine 8.
- D’après le tableau 13 de ce rapport, un Britannique qui a reçu la 3ème dose booster et qui a entre 40 et 49 ans est 3,26 FOIS plus susceptible de contracter le Covid qu’une personne non vaccinée du même âge.
- Si l’on compare ce rapport avec les rapports antérieurs on remarque que les vaccinés sont de plus en plus surreprésentés parmi les cas et les décès. Et cette tendance semble s’accélérer.
- La même chose se passe aux États-Unis
- Les cas de COVID-19 et les hospitalisations bondissent parmi les vaccinés : les données des CDC.
Vaccins anti-COVID
Santé Canada approuve le vaccin de la compagnie québécoise Medicago
- Le vaccin de Medicago (Covifenz) est efficace à 71 % contre l’infection symptomatique et à 100 % contre les formes graves de la COVID-19, une semaine après la deuxième dose. On donne la deuxième dose 21 jours après la première.
- Selon les données étudiées par Santé Canada, le vaccin est efficace contre les variants Delta et Gamma, il « semble » l’être contre les variants Alpha, Lambda et Mu et des données « préliminaires et exploratoires » indiquent qu’il produit des «anticorps neutralisants» contre le variant Omicron.
- Covifenz est le premier vaccin au monde qui utilise des plantes comme hôte pour la fabrication de particules « pseudo-virales ».
COMIRNATY (vaccin ARNm de Pfizer) : Changement de la composition de ce vaccin et différentes compositions désormais disponibles
L’ancienne version contenait 10 excipients, maintenant il existe 3 compositions disponibles :
- 2 compositions disponibles (avec soit 12 ou 8 excipients, 30 mg) pour les 12 ans et plus et
- une avec 8 excipients (10 mg) pour les 5 à 11 ans
Bill Gates constate qu’Omicron est « malheureusement » supérieur aux vaccins
Bill Gates à la conférence de Munich sur la sécurité dit :
- « Malheureusement, le virus lui-même en particulier la variante appelée Omicron est un type de vaccin qui crée à la fois une immunité pour les lymphocytes B et les lymphocytes T et cela a fait un meilleur travail pour atteindre la population mondiale qu’avec les vaccins. Enquête sérologique dans les pays africains, 80 % positif. Ainsi les risques de maladie grave ont considérablement diminué en raison de cette exposition à l’infection. Nous n’avons pas fait un excellent travail thérapeutique au Royaume-Uni. La prochaine fois, il nous faudra faire un vaccin à ARNm en 6 mois et cela est possible! »
- Il reconnait donc la supériorité de l’immunité naturelle.
- « Malheureusement » pour lui, il y a probablement une baisse de revenu.
- Il y aura une prochaine fois
- Pour lui, « il y a eu une énorme désinformation (hydroxychloroquine est efficace, que lui et le dr Fauci allaient tuer de millions de personnes pour faire de l’argent) qui a augmenté l’hésitation vaccinale, ce qui a provoqué des centaines de milliers de décès. Les vaccins sont bons et ont sauvé des vies ». On peut légitimement se poser la question de savoir : « Qui désinforme qui? »
Alerte à propos du nombre important d’effets indésirables suite aux vaccins COVID-19 (voir lettre ci-jointe)
- Le pdg Andreas Schöfbeck de la compagnie d’assurance-vie Allemande BKK ProVita sonne l’alarme, auprès de l’Institut Paul-Ehrlich, sur le nombre très important d’effets indésirables suite aux vaccins COVID. Les journaux allemand Die Welt et français France Soir en parlent et voici ce que A. Schöfbeck écrit (traduction française) :
- « Les données dont nous disposons (qui se basent sur les données de facturations des médecins), nous donnent des raisons de penser qu’il existe une sous-déclaration très importante des cas suspects d’effets secondaires suite aux vaccins COVID. »
- Pour un semestre et demi de 2021, sur 10 937 716 assurés, il dénombre 216 695 cas d’effets secondaires, soit environ 2 %
- « Si l’on extrapole ces chiffres à l’ensemble de l’année et à la population allemande, il est probable que 2,5 à 3 millions de personnes en Allemagne aient suivi un traitement médical pour des effets secondaires des vaccins COVID »
- « Extrapolé au nombre de personnes vaccinées en Allemagne, cela signifie qu’environ 4 à 5 % des personnes vaccinées ont suivi un traitement médical en raison d’effets secondaires liés à la vaccination »
- « Nous estimons qu’il existe une sous-déclaration importante des effets secondaires des vaccins. Les médecins nous ont rapporté que la déclaration d’un cas suspect de dommage dû à la vaccination prend environ une demi-heure. Cela signifie que 3 millions de cas de suspicion d’effets secondaires de vaccins nécessitent environ 1,5 million d’heures de travail de la part des médecins. Cela représente presque le travail annuel de 1 000 médecins. »
Atteinte à la liberté au Canada
Le Canada veut rendre permanente la Loi d’urgence sur les aspects financiers des urgences
Madame Freeland, vice-première-ministre, déclare : « À ce jour, toutes les plateformes de financement participatif et les fournisseurs de services de paiement qu’elles utilisent doivent s’inscrire auprès de CANAFE et déclarer des opérations importantes et suspectes à CANAFE (Centre d’analyse des opérations et déclarations financières du Canada). Cela aidera à atténuer le risque que ces plateformes reçoivent des fonds illicites, à augmenter la qualité et la quantité de renseignements reçus par CANAFE et à rendre plus d’informations disponibles pour soutenir les enquêtes menées par les organismes d’application de la loi sur ces blocages illégaux. Il s’agit de suivre l’argent. Il s’agit d’arrêter le financement de ces blocus illégaux. Nous signons aujourd’hui un avis : si votre camion est utilisé dans ces blocages illégaux, vos comptes d’entreprise seront gelés. »
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