L’un des problèmes aigus occasionnés par la venue massive d’immigrants trop différents de nous les Occidentaux est le choc des mentalités divergentes, quand ce n’est pas tout à fait opposées. Le coût social en est beaucoup trop élevé. Et les conséquences beaucoup trop désastreuses.
Ces immigrés issus des pays les plus sous-développés de la planète sont généralement sous-développés sous tous les plans: économiquement, socialement, politiquement, professant des religions coercitives et inégalitaires, et tout particulièrement au niveau de la mentalité.
Voici un exemple récent d’une différence de mentalité qui n’est pas la bienvenue ici. Il suffira à lui seul pour faire comprendre l’abîme qui sépare deux mondes inconciliables.
L’autre jour à la télé, l’écrivaine vietnamienne Kim Thuy, qui en passant, semble plus disposée à parler sempiternellement des 10 ans qu’elle a vécus dans son pays natal que de sa nouvelle réalité depuis les 44 ans qu’elle a vécus ici (à quand l’intégration de ladite nouvelle réalité?), l’écrivaine vietnamienne Kim Thuy dis-je, révélait une chose qui lui semblait bonne et correcte à ses yeux, mais qui pour nous paraîtra tout simplement inadmissible.
Elle disait en substance que « dans sa culture » (prouvant ainsi qu’elle ne peut s’en libérer, ce qui est bien mauvais signe), les enfants doivent non seulement vouvoyer respectueusement leurs parents, mais qu’ils sont même forcés de les appeler Madame, Monsieur! Pourquoi pas commandant et général, tant qu’à faire!
On comprend que dans cette culture qui n’est heureusement pas la nôtre, on établit une distance hiérarchique énorme entre le parent et l’enfant, alors que chez nous par contraste on privilégie le rapprochement, l’expression constante de l’amour et de l’affection, l’intimité dans la joie, à travers l’échange fructueux, le jeu et le rire.
On sait que la mentalité asiatique innée est basée sur une forte hiérarchie de style termitière, où l’individu ne compte pas, n’est qu’un simple rouage facilement remplaçable, et doit se sacrifier au nom du groupe.
C’est l’inverse des valeurs du monde occidental, où chaque être humain est considéré comme un être unique à part entière, ayant son importance, sa propre personnalité et son individualité, capable d’initiative, capable d’écouter sa voix intérieure, pouvant se développer comme bon lui semble et possédant la capacité de donner l’orientation qu’il souhaite à sa vie.
Si vous avez vu les récentes cérémonies de fermeture des Jeux olympiques de Pékin, on y voyait d’innombrables d’enfants chinois apparemment clonés et tous plus indifférenciables les uns que les autres; ils faisaient tout pareil comme des automates, et ne semblaient posséder aucune personnalité propre. Chose dont les asiatiques semblent tirer une grande fierté, sans même se rendre compte qu’à nous cela fait horreur.
Cela explique pourquoi le régime politique communiste totalitaire remporte une si grande adhésion chez eux. Un pour tous, mais pas tous pour un. Cela convient parfaitement à leur type de mentalité. Ce n’est pas demain que l’orient sera démocratisé, si jamais il le devient.
Et c’est pourquoi un asiatique qui échoue à l’école ou dans son travail se fait hara-kiri, la pression à la réussite venant du groupe étant impitoyable. L’échec personnel est inacceptable et mérite châtiment. Chaque asiatique l’accepte et est prêt à s’infliger l’autopunition fatale.
Pour montrer comment cette différence de mentalité peut nuire à notre culture, Kim Thuy en a rajouté en avouant que c’est toujours comme ça qu’elle voyait les choses, et qu’elle se raidissait chaque fois qu’elle voyait un enfant s’adresser familièrement et gaiment à ses parents à tu et à toi, plutôt que de se montrer soumis, docile, intimidé ou terrorisé, comme l’exige l’attitude de crainte respectueuse qu’un asiatique doit à ses parents autoritaires, sévères, distants et punitifs. On n’est pas bien loin de la professeure de ballet russe sadique aux cheveux tirés vers l’arrière en toque et qui ne ménage ni les coups de cravache ni les humiliations.
L’écrivaine chouchou du public au sourire enfantin typiquement asiatique qui veut les faire paraître inoffensifs s’est trahie sans le vouloir en exposant aux yeux de tous à quel point elle reste prisonnière des façons de faire archaïques de son pays sous-civilisé, même si elle l’a quitté toute jeune. On aurait pu croire que depuis elle aurait réussi à s’émanciper de la dureté et de la sévérité de son éducation stricte particulière au monde asiatique disciplinaire. Faut croire que non, hélas. Cela démontre qu’elle est malgré elle restée esclave de son endoctrinement fautif. Et tous ceux qui ont été inculqués comme elle continuent de l’appliquer une fois rendus ici et de le répandre.
Qu’il soit dit qu’on n’en a que faire des « dans mon pays, on fait comme ceci », « dans ma culture, on fait comme cela », « mes parents m’ont appris à agir comme ceci », « mon grand-père dans sa tribu disait ceci ». On ne veut rien savoir de vos pays arriérés par rapport au nôtre. Vous n’avez rien à nous apprendre, rien de rien. C’est à vous qu’il incombe d’évoluer et de vous mettre à faire comme nous en prenant le pli du pays.
Si tous les pays du tiers-monde sont dans le trou, c’est précisément à cause de la façon de penser de ceux qui l’habitent. Ne leur accordons aucune chance de propager ces forces de recul ici.
Nous n’avons eu besoins d’analyser qu’un seul exemple -mais combien représentatif, pour comprendre l’effet nocif des différences de mentalité entre le monde civilisé et les cultures sous-développées qui cherchent à s’établir massivement au pays, avec pour résultat net la dégradation graduelle de notre niveau d’évolution avancée. Imaginez maintenant les centaines de différences de mentalité dont ils sont armés et qu’ils vont chercher à disséminer une fois établis ici, comme des champs de mines sur lesquelles tout Québécois ciblé risque de mettre le pied.
Ce choc nocif des mentalités antagonistes ne peut qu’entraîner d’insolubles conflits, frictions, oppositions, division de la société, clivage des idées, contestations judiciaires, polarisation des communautés.
Non, nous ne voulons rien de tout cela. Et avec raison.
Car il est clair que l’immigration issue du tiers-monde ne peut en bout de ligne que nous appauvrir, nous affaiblir, nous faire reculer, bref, elle ne peut que nous déciviliser.
Préservons-nous du retour en force de la barbarie.
Source: Lire l'article complet de Vigile.Québec