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Dénatalité, l’argument écologiste tente une percée
« Alors que l’INSEE vient de publier les chiffres de la natalité en France en annonçant un léger rebond, des femmes et des hommes font le choix de ne pas faire d’enfants par conviction écologique. »
Par conviction écologique… Laissez-moi rire.
Il y a fort à parier que ces mêmes gens consomment essentiellement des produits de consommation à obsolescence programmée (slips, chaussettes, électroménager, etc.) ayant traversé plusieurs océans dans des porte-conteneurs qui consomment bien plus que n’importe quelle utilisation régulière de moteur de voiture, même les plus gourmands (un très gros porte-conteneurs en brûle entre 140 et 300 tonnes de pétrole par jour).
Alors un enfant…
Et ces chaussettes, avant même d’être enfilées à un quelconque va-nu-pieds, auront déjà été vendues, et achetées plusieurs fois à des intermédiaires.
Pour ensuite être tissées dans des ateliers du tiers-monde où les droits de l’enfance et le commerce équitable labellisé Max Havelaar ne sont pas le mot d’ordre, et cela ne semble pas contrarier nos amis « child free ».
Bref, que nous dit encore France Inter :
« Mardi dernier l’INSEE a publié les chiffres de la démographie en France en 2021, on assiste à un léger rebond (1,83 enfant par femme) après une chute continue depuis 2010.
Ça c’est à l’échelle nationale, sur le plan international par contre la courbe monte : nous étions 5,3 milliards en 1990, nous sommes aujourd’hui à 7,8 milliards d’humains sur Terre. »
Certes, nos ressources fossiles sont limitées et la population mondiale croît, donc mathématiquement cela semble être logique de se dire « il faut être moins sur la planète ».
Sauf que la population ne croît pas de manière homogène sur l’ensemble de la planète à en croire ce graphique :
Les convictions écologiques, la conscience de la santé de la planète, et la banquise qui fond ne semblent concerner que les pays du « Nord économique ».
Dénatalité occidentale, vague migratoire exploitée et reproductible ou la question de l’intérêt économique
La jeunesse des pays du « Sud » migrant vers l’occident, quant à elle continue de pondre à tombeau ouvert la future main d’œuvre « ultra bon marché » du grand patronat qui se frotte les mains pour deux raisons :
- Raison n°1 : Cette masse laborieuse n’a pas de conscience sociale (ni écologique, avec leur taux de fécondité), mais au moins c’est pratique, ainsi pas de manifestations pour des revendications futiles, ce sont toujours des munitions de flash-ball mises de côté. Force est de constater que parmi les gilets jaunes, les travailleurs immigrés étaient plutôt absents, alors que sur les chantiers du BTP où ils sont exploités à 10,5€ l’heure brut pour Manpower, ils sont présents.
- Raison n°2 : Cette masse est très facilement interchangeable, la preuve en est :
Revenons à France Inter qui nous expose le « choix de vie » de Jean-Michel fin de lignée :
« Dans ce contexte des femmes et des hommes font de la non-parentalité un choix de vie, pour certains il ne faut pas rajouter de pression démographique, pour d’autres impossibles de mettre au monde un enfant sur une planète dans cet état. On les appelle les « child free » ou encore les « ginks » (« green inclinations, no kids »). »
Un choix de vie, je ne pense pas non. Pourquoi ? Car l’influence des grands groupes de médias est plus forte que le libre arbitre de monsieur et surtout MADAME tout le monde, car elles sont plus facilement influençables (ce n’est pas de la misogynie gratuite, l’expérience de conformité de Hasch nous le démontre).
Et comme ce sont dans leurs reins que se noie la matrice de l’Univers, la natalité dépend donc beaucoup plus d’Elles que d’Eux.
Une autre preuve de la conformité ?
Macron invite au vaccin, dans le quart d’heure qui suit les serveurs informatiques de Doctolib sont sous perfusion.
Donc l’argument, du « mon choix » lorsque ce dernier a été hurlé dans tous les médias, nous avons du mal à y croire.
Cette mouvance est, « semble-t-il », une volonté de soumission des peuples à se suicider avec le sourire, et accessoirement être remplacés par une jeunesse venue d’ailleurs qui elle, est beaucoup plus libidineuse (ainsi le « resetage » en sera facilité).
Les facteurs multiples de la pensée dénataliste
De plus, je pense que plusieurs variables sont occultées dans cette équation :
L’adulescence
Aujourd’hui, la plupart de ceux qui sont dans la force de l’âge préfèrent jouir que de s’investir dans de quelconques projets (professionnelles, familiaux, etc.) et se livrent dans une fuite en avant dans les jeux vidéos, s’anesthésient avec la malbouffe, etc.
C’est générationnel, car comme la plupart des métiers sont très souvent des « bullshit jobs » cela coupe l’énergie vitale, ça « zombifie », alors faire des gosses ça donne : « Non merci mec… j’suis fatigué… »
La stabilité financière
Qui enfante le plus ? Les extrêmes : les plus riches et les plus pauvres.
Grossièrement, les « cassos » et les bourgeois.
Les premiers bénéficient des subsides sociaux, et les seconds ont l’argent et la logistique à disposition.
Comme la classe moyenne tend à disparaître…Cela n’est pas prêt de changer.
Cependant, en filigrane, dans les milieux ruraux la tendance est à la fertilité.
En campagne, les couples se forment plus tôt, papillonnent moins jusqu’à 30 ans passée, travaillent et s’assument plus rapidement, etc.
Le logement
Il est logique que l’on ne puisse pas élever des enfants dans un studio de 35m² sous les combles en centre-ville avec la salle d’eau sur le palier, et c’est pourquoi il y a plus de « familles » dans les campagnes tout bonnement parce que le mètre carré est moins cher.
Sélection naturelle
Monsieur tout le monde travaille dans des métiers de services et cela rend servile, donc moins sexué, et une femme a moins envie de mélanger ses gènes avec ceux d’un esclave.
Sélection naturelle. C’est une tendance, bien entendu, il n’y a rien d’absolu dans ces écrits.
Si vous avez travaillé dans un établissement qui reçoit du public : parc d’attractions, restauration, la petite-enfance, etc., et que vous avez vu beaucoup de couples (hétéro), force est de constater que les pères de famille ont beaucoup de ces points communs susnommés.
Revenons-en à France Inter :
« Une association s’engage sur ce sujet Démographie responsable, « une association écologiste et décroissante qui milite pour la stabilisation puis la lente diminution de la population humaine ». Vous trouvez sur leur site un compteur de la population mondiale… qui monte seconde par seconde… l’objectif : nous interpeller sur la croissance et donc la pression démographique.
C’est d’ailleurs un sujet à évoquer pour Hélène, 33 ans, journaliste : elle ne fera pas d’enfant par choix, et pour elle il faut oser parler démographie pour sauver la planète des humains. »
Hélène semble « adorable » à vouloir sauver la planète des humains, mais la planète a survécu avant nous et survivra bien après nous.
Il me semblerait bien plus précis de dire « sauver les humains d’eux-mêmes ».
C’est une vision anthropocentrée que de croire l’Homme au cœur de tous les processus de la nature. Si l’Homme disparaît, la vie, sur Terre, continuera.
La pollution tue les humains, pas la planète.
Deus Ex Machina version planète, ou l’argument rhétorique écologiste
Progressons dans la lecture progressiste de France Inter :
« Faire des enfants c’est mauvais pour la planète ?
Je ne sais pas si vous vous souvenez d’une infographie de l’AFP en 2017 qui avait été largement commentée : « Réduire son empreinte carbone »… avec des gestes. Changer ses ampoules, le plus petit, et le plus important : « avoir un enfant en moins »… Forcément ça fait réagir et l’agence avait précisé avoir relayé une étude parue dans la revue Environmental Research Letters dont un des auteurs avait d’ailleurs justifié ce choix : il s’agit surtout de ne pas faire un enfant dans cette société de surconsommation… »
Un bébé ne consomme à peu près « rien », ce sont les parents qui désirent consommer massivement pour leur progéniture.
Les calories (en wattheure) allouées à l’éducation d’un enfant sont aussi élevées que pour celle d’un chat.
Surtout en France avec l’instruction gratuite, les aides sociales pour le matériel, etc.
Généralement, une famille de quatre personnes consomme moins de joules que ces quatre personnes isolées. Pourquoi ?
Le partage des ressources :
- Une ou deux voitures pour la famille (comparée à une par personne pour les célibataires).
- Généralement, une famille cuisine plus que des individus célibataires (moins de Uber Eat).
- Chauffer pour une ou quatre personnes revient au même pour une surface équivalente.
Enfin bref, il y a pléthore d’exemples pour prouver qu’il est moins énergivore de vivre en famille sous le même toit, qu’individuellement.
Je pense tout simplement que cela arrange bien nos Élites que nous restions de grands enfants à ne pas en vouloir.
Pourquoi ?
- Pas de responsabilité (donc pas de révolte possible ou alors contrôlée comme les manifestations).
- Nous sommes les meilleurs consommateurs, comme des éternels adolescents, car si votre priorité n’est pas vos enfants alors vous consommez autant que possible.
- Moins de jeunesse, donc moins d’énergie vitale, donc moins de rébellions possibles (la baston passé un certain âge, ça devient compliqué…).
- L’éducation ne sera plus filiale, mais bien centralisée par le pouvoir donc le contrôle du peuple sera d’autant facilité.
Argument bonus : c’est le simple choix des femmes et des hommes. Mais surtout des femmes…
« Pour certains c’est ça le sujet, pour d’autres c’est surtout de ne pas faire un enfant dans ce monde-là… C’est le cas de Fanny, 34 ans.
Je précise au passage pourquoi Fanny et Hélène dans cette chronique et pas Victor et Mathieu, les suites d’un appel à témoignages sur les réseaux sociaux et des réponses presque exclusivement féminines… Pour autant il ne faut pas caricaturer c’est aussi le choix de certains hommes. »
Encore des réalités occultées, pour nous vendre un monde meilleur.
Je pense que les femmes qui ne souhaitent pas d’enfants assument un choix, car ce dernier leur était forcément offert à un moment donné.
Tandis que pour les hommes, l’opportunité ne leur était tout simplement pas donnée, car aucune femme ne s’est abandonnée à eux.
Après, il y a d’autres cas…
Nombreux sont ces malheureux, ces hommes qui auraient aimé être père et… qui n’ont n’y le statut physique, ou alors symbolique et/ou financier pour concrétiser cela.
Si Victor et Mathieu sont absents dans le sondage, et remplacés par des avis féminins, c’est pour la même raison que de nombreux hommes se refusent de porter plainte après une agression.
La honte d’avoir perdu.
Si vous êtes un homme, que vous souhaitez ardemment un enfant et que cela n’est jamais arrivé soit vous êtes stérile, soit ingrat physiquement, soit pauvre.
Bref, la lie de la masculinité, un rebut, un perdant en somme, et le scander sur les réseaux sociaux est tout simplement au-dessus de leurs forces, il leur reste une once d’orgueil.
Enfin, je l’espère pour eux…
Donc non, « les suites d’un appel à témoignages sur les réseaux sociaux et des réponses presque exclusivement féminines… Pour autant il ne faut pas caricaturer c’est aussi le choix de certains hommes. »
Ce n’est pas leur choix, c’est leur fatalité.
Finir sur une note positive pour ne pas se faire repérer trop facilement
Toujours selon France Inter (notre référence ultime) :
« À contrepied de ce choix, dans certains cas, faire un bébé est aussi mobilisateur. Clairement, et si la décision de ne pas en faire relève de l’intime et peut se comprendre, le fait de faire un enfant peut aussi être un énorme levier de mobilisation et de prise de conscience : une transition à la parentalité qui va soutenir une transition écologique : que va manger, respirer, toucher ce bébé et quel va-t-être son avenir ? On se met en mouvement. »
On termine sur une note d’optimisme, comme quoi « le besoin crée l’organe », c’est beau.
Mais attention, pensons toujours à la prochaine pilule post-Covid à avaler de gré ou de force quand même dans un futur proche :
La transition écologique.
Après la mise au banc des « non-vax » dans notre société, les prochains seront sans doute ceux qui respirent trop fort.
Il suffira de surveiller les consignes de Schwab, Gates, et toute leur bande de joyeux drilles.
source : Géopolitique Profonde
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