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Place à la peur de la guerre
À l’heure où le narratif covidien s’effondre de manière spectaculaire de minutes en minutes, les tenants du Nouvel ordre Mondial via leur programme d’avancement par la peur, ont désormais choisi de mettre en avant les menaces d’une guerre internationale aux portes de l’Europe.
Bill Gates lui-même chantre de la vaccination de masse, a prévu qu’en 2022 la pandémie du coronavirus allait se terminer, car « malheureusement » le variant omicron a agi d’une meilleure manière que les vaccins pour atteindre une immunité naturelle.
D’ailleurs, il a sous-entendu dans un entretien plus ancien réalisé à la fin de l’année 2021, que le monde aurait certainement d’autres problèmes plus graves que le Covid, et que pour y faire face, les gouvernements devraient « museler » les réseaux sociaux.
Je vous « rassure » tout de suite, ce changement de discours officiel amorcé depuis janvier 2022 n’empêchera pas l’oligarchie financière transnationale de mettre en place un programme de vaccination obligatoire et annuelle dans les mois qui viennent. D’ailleurs ce cher Bill nous prévoit déjà une autre « pandémie ».
Les phases de relâchement de l’étreinte psychologique et de chocs autoritaires (12 juillet 2021 : annonce du passe sanitaire en plein été, ou les confinements, couvre-feux, menaces de guerre, etc.) sont des instruments de manipulation mentale et d’ingénierie sociale pleinement pratiqués sur les populations depuis près de deux ans.
En France, le passe vaccinal en tant que première marche du système de contrôle des masses, ayant été acté depuis le début de l’année 2022, la guerre et les tensions Ukraine vs Russie sont donc devenues les évènements principaux du récit médiatique de la peur, au cours de ces dernières semaines.
Jacques Attali (toujours lui) en « grand expert » de la géopolitique internationale, nous a délivré une prédiction, dont lui seul a le secret, à travers un savoureux tweet :
Dans les années vingt du siècle précédent, une grande pandémie succéda à une très grande guerre. Dans les années vingt de ce siècle, une très grande guerre peut succéder à une grande pandémie…
— Jacques Attali (@jattali) February 12, 2022
Le moins que l’on puisse dire c’est que le ton est donné !
Nous n’évoquerons pas ici les véritables enjeux du conflit OTAN-Ukraine-Russie, d’autres comme les sites d’informations Stratpol et Strategika s’en chargent et le font d’une manière remarquable.
Nous nous permettons seulement de souligner encore une fois que le président Macron s’est encore fait humilier sur la scène internationale et qu’il a agi comme à son habitude contre les intérêts de la patrie. Il a même démontré, avec son zèle légendaire, qu’il était bien une caricature de valet au service des intérêts anglo-saxons.
Conflit avec la Russie et les présidentielles à venir
En vérité, la question que nous souhaitons brièvement aborder dans cet article est celle de l’élection présidentielle.
En effet, le battage médiatique autour de cette élection du printemps 2022 vise à faire croire au peuple qu’il a encore le choix et que le destin de la France est à nouveau entre ses mains. Or il n’en est rien.
De la mania Zemmour, à la déliquescence Le Pen, en passant par la détresse Pécresse ou encore la fausse opposition sociale et le « wokisme » de Mélenchon, le pouvoir présidentiel n’a jamais été autant conforté avant une élection.
L’ensemble des candidats, et en particulier les grands qui auront tous leurs parrainages, sont contrôlés, par les mêmes forces et grands intérêts qui tiennent notre pays depuis plusieurs décennies.
Avec cette élection et les figures des différents candidats (avec son lot de suspens autour des 500 signatures pour Zemmour, Le Pen, Mélenchon), nous sommes au paroxysme de la société du spectacle proposée par nos démocraties dites libérales.
En réalité, la réaction de l’ensemble de la classe politique (y compris Zemmour, Le Pen) sur le conflit russo-ukrainien est d’ailleurs révélatrice de la nature profonde et de la qualité de notre personnel politique actuel.
Dans cette affaire, tous ont choisi de suivre sur le fond, la position du grand leader de l’Europe, Emmanuel Macron et aucun prétendant à la fonction suprême n’a osé évoquer les principes de droit international d’autodétermination et de droit des peuples à disposer d’eux même pour le Donbass.
Élections, piège à cons ?
Néanmoins, certains d’entre nous (au sein de la population) caressent l’espoir de chasser le Golem de la finance et sa « femme » Brigitte, après un quinquennat de pure folie mondialiste.
Pour encore une grande partie du peuple en souffrance (classes moyennes inférieures et certains milieux prolétaires de la France périphérique), le vote à l’élection présidentielle est encore une possibilité d’agir sur le système et de changer les choses.
Ces masses qui constatent l’effroyable déclassement français et la liquidation pure et simple de leur pays, par Macron et les ombres derrière lui, ne peuvent se résoudre à admettre l’impuissance politique totale dans laquelle se trouve le peuple français.
Le vote à l’élection présidentielle est encore, pour eux, la seule arme à leur disposition.
Mais malheureusement cette vision est un leurre. Comme le décrivaient bien Tocqueville : « Je ne crains pas le suffrage universel, les gens voteront comme on leur dira. » ou encore Staline : « Je considère qu’il n’y a aucune importance de qui votera, ni comment ; mais ce qui est extraordinairement important, c’est qui va compter les votes, et comment », le vote est pour la plupart du temps, une illusion démocratique et un paravent pour un système oligarchique.
Ainsi, par la justesse et l’acceptation de cet état de fait, on peut en réalité ne pas se voiler la face et comprendre que Macron a un boulevard devant lui, pour cette élection présidentielle.
Tout d’abord, ne serait-ce que parce que les sondages conditionnent les masses à l’acceptation de sa présence et sa victoire au 2ème tour, comme l’explique Tocqueville. Mais aussi parce que l’élection comme aux États-Unis avec le sacre du sénile Joe Biden, peut, aussi, déjà être réglée en haut lieu…
D’ailleurs, l’hypothèse d’une élection présidentielle truquée avait déjà été soulevée en 2017. De multiples articles, avec des arguments plus ou moins valables, expliquaient qu’en réalité Macron s’était fait éliminer dès le premier tour et que des centaines de milliers de voix lui avaient été attribuées (nuls, blancs, petits candidats…).
Mais c’est même certaines déclarations et comportements orgueilleux, qui poussent à s’interroger sur la validité de l’élection présidentielle qui vient.
Au regard de son action et de sa popularité, il est étrange de constater que le ministre de la Santé, Olivier Véran, ose parler de son action future concernant la 4ème dose de vaccin (il ne « tremblera pas ») ou encore de l’utilisation future du passe vaccinal, alors que dans le même temps, lui et les autres membres du gouvernement, ne peuvent faire un pas dans la rue sans se faire huer.
Autre élément suscitant des interrogations, les commandes de vaccins pour 2022 ont révélé un plan prenant en compte la période de l’élection présidentielle et la levée (évidemment temporaire) du passe qui devrait intervenir au mois de mars (juste avant l’élection).
Certains en coulisses, évoque déjà une révision constitutionnelle dans les prochains mois (après l’élection) pour permettre à l’ancien associé-gérant de la banque Rothschild de briguer un troisième mandat consécutif, alors que dans les faits Macron est le président le plus détesté de la Ve République.
Dans un autre registre, Macron pourrait aussi rester aux commandes, dans un contexte de crise exceptionnelle, notamment une guerre comme évoquée plus haut, avec pourquoi pas la mise en œuvre de l’article 16 de la constitution État de siège/d’urgence), ce qui lui permettrait de reporter l’élection présidentielle.
Son discours du 24 février 2022, avec ses intonations solennelles de petit père des peuples et sa posture peu crédible de protecteur de la patrie, vont dans ce sens et rappellent sa communication covidienne.
De plus, les multiples déclarations de proches du président (Brigitte face au journaliste Jacques Legros notamment, avec son « Si campagne il y a ») et de Emmanuel Macron lui-même, laissent planer le doute sur la tenue de l’élection en elle-même.
Macron, leur champion
Enfin pour conclure, au lendemain du 24 avril 2022 (2ème tour), il est très probable pour ne pas dire certain que le président de la République se nommera toujours Emmanuel Macron.
Malheureusement les soutiens et les puissances derrière lui, semblent être satisfaits du bilan du quinquennat de leur créature. Le « hedge » de David de Rothschild et le Young Global Leader 2016 de Davos semble avoir répondu aux principales attentes de ses maîtres.
Le Great Reset a été proclamé à la face du monde au début de l’année 2020, il n’est pas anodin de constater que partout dans le monde, les grands leaders appliquent les consignes et adoptent les objectifs fournis par le Forum Économique Mondial de Davos.
Les Trudeau, Morrison, Ardern, Biden, Mitsotakis, Draghi, Johnson, Sanchez, et donc Macron ne sont que les instruments d’une petite élite, qui souhaite désormais en finir avec les populations libres et les nations.
Quand on écoute le discours de Macron et cette déclaration…
La guerre est là, sur notre sol. Dans les temps tragiques que nous vivons, l’Europe n’a d’autre choix que de devenir une puissance. pic.twitter.com/EQllCneROo
— Emmanuel Macron (@EmmanuelMacron) February 25, 2022
…on peut se dire que la dissolution de la France, dans une Europe qui doit devenir « une puissance », est probablement programmée.
Mais alors que faire me direz-vous, après avoir réalisé ce simple constat ? Tomber dans le désespoir et rester passif ? Quelles marges de manœuvre restent-ils aux peuples ?
Une solution, l’insurrection ?
La première chose à entreprendre est bien sûr de s’organiser individuellement.
L’or et l’argent métal physique (je le répèterai encore et encore) avec les perspectives d’une guerre internationale de grande ampleur sont les principaux actifs tangibles qui pourront vous permettre de garantir des réserves de richesses nécessaires à votre survie ou à vous faire simplement gagner du temps. Les cours actuels étant toujours manipulés pour maintenir leurs prix au plus bas, c’est donc l’occasion pour chacun de passer à l’offensive.
Contrairement au Bitcoin et aux autres actifs dématérialisés, la finance nomade et apatride ne souhaite pas que les populations fuient vers ces actifs précieux et tangibles. D’ailleurs, la bulle des cryptomonnaies a suivi la tendance baissière des marchés à la suite du franchissement des frontières ukrainiennes par l’armée russe.
Ensuite politiquement et collectivement, les éveillés sont chaque jour plus nombreux, il est donc possible d’essayer d’instaurer un rapport de force avec le pouvoir central. Les Gilets jaunes en 2019, le mouvement anti-passe sanitaire et vaccinale en 2021 et les Convois de la Liberté en 2022, même s’ils se sont tous soldés par des échecs, nous ont néanmoins démontré qu’une partie de la population n’est pas encore prête à se laisser asservir complètement et qu’il est possible de ralentir le programme politique de la grande réinitialisation.
Et même si le « führer canadien » Justin Trudeau, sous la pression, a déjà esquissé les contours d’un élément concret du programme, à savoir la mise en place d’un contrôle financier total des revenus pour les individus des convois contestant ses mesures de mise en place de la tyrannie sanitaire, il est encore possible de combattre.
Les CBDC/Monnaies numériques de banques centrales et en particulier l’euro numérique, pour nous européens, ne sont pas encore mis en place. L’argent liquide et d’autres systèmes sont encore disponibles.
D’ailleurs avec les possibles sanctions déconnectant les banques russes du système Swift, il n’est pas impossible que les infrastructures supportant le système financier international s’effondrent partiellement en ayant minimisé (volontairement ou involontairement) les conséquences de cette décision dans un contexte international d’inflation galopante et de pénuries des matières premières, notamment énergétiques. Le chaos généré pourrait ne pas être dramatique si certains groupes sont préparés et si nos dirigeants font preuve de la même médiocrité démontrée lors des mesures anti-covid.
Notamment grâce la multitude d’informations dont nous disposons (encore en accès libre) aux possibilités de communiquer et d’agir en réseaux, il est possible de mener des actions concrètes et symboliques, comme par exemple assiéger les véritables lieux de pouvoir (ex : les sièges des banques Lazard, Rothschild, de BlackRock, The Vanguard Group, Mc Kinsey, Pfizer, etc…), ou encore commencer à mettre en place des plans de résistance au niveau local.
Imaginez deux minutes, si le 24 avril 2022 aux environs de 21h, suite à la proclamation par les grandes chaînes de télévision de la victoire d’Emmanuel Macron à l’élection présidentielle, des dizaines de milliers de gens investissaient la capitale pour se rendre, non pas sur les Champs-Élysées, devant l’Élysée/Matignon et les institutions officielles, mais devant les locaux de grandes firmes transnationales qui tiennent dans l’ombre les commandes de l’État pour dénoncer cette nouvelle escroquerie…
Imaginez encore un peu, si des milliers de personnes assiégeaient BlackRock France par exemple, et que l’abstention se situait à des niveaux records (millions), les médias pourraient-ils encore nous expliquer que nous sommes en démocratie ?
Ce scénario ne sera néanmoins possible, que si Macron et ceux qui sont derrière lui, ne font pas glisser notre nation vers une nouvelle hystérie, au profit de ce nouveau récit de grande guerre aux frontières de l’Europe.
Auquel cas, le Golem Macron n’aura même pas à s’embêter d’une pseudo réélection.
source : Géopolitique Profonde
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