Ces forces de dissuasion comprennent notamment une composante nucléaire. C’est lors d’une réunion au Kremlin que Vladimir Poutine a fait cette annonce.
Comme le relate Le Parisien, entouré de ses chefs militaires, le président russe a estimé que les principales puissances de l’Otan avaient fait des « déclarations agressives » et que l’occident avait imposé des sanctions financières sévères à la Russie, le touchant même directement.
Dans la foulée, la Maison Blanche a dénoncé une escalade « inacceptable » par Moscou. Elle affirme que Poutine « fabrique des menaces ». L’Ukraine a également fustigé cette « pression » nucléaire.
Lors de ce discours, Vladimir Poutine a déclaré « J’ordonne au ministre de la Défense et au chef d’état-major de mettre les forces de dissuasion de l’armée russe en régime spécial d’alerte au combat ».
Selon le média parisien, la force de dissuasion peut aussi inclure des armes chimiques et des missiles furtifs plus rapides que le son. Ils sont quasiment impossible à intercepter, comme le Zircon russe. « Il s’agit de la forme la plus élevée de préparation au combat », écrit sur Twitter la journaliste russe, travaillant pour le Washington Post, Mary Ilyushina.
Au même moment, les Ukrainiens acceptaient le principe de négociations. Au cours d’un entretien russe avec le président Loukachenko, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a accepté une rencontre entre les deux délégations à la frontière de l’Ukraine et de la Biélorussie, près du fleuve Pripyat.
Source : Actu Pénitentiaire
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