Valérie Pécresse.
Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo : Jacques Paquier/Flickr
On dit que l’ADN d’une personne ne peut pas changer au cours d’une vie, mais apparemment celle de Valérie Pécresse y fait exception.
La candidate à l’élection présidentielle en France a fait part au magazine LGBT+ Têtu de ses promesses. « Si elle est élue en 2022, elle assure aussi vouloir ouvrir davantage les établissements scolaires aux associations qui luttent contre les LGBTphobies. Plus encore, elle promet que la libre détermination du genre fait partie de son ADN. »
Pourtant, elle n’a pas toujours adopté cette position à l’égard de l’idéologie LGBT. Selon son profil Wikipédia, « Opposée au projet de loi sur le mariage entre personnes de même sexe en France, elle participe aux différentes manifestations d’opposition au mariage homosexuel et à l’homoparentalité entre 2012 et 2013, notamment menée par La Manif pour tous. » En 2015 elle avait affirmé lors d’une entrevue, « on ne subventionnera pas la théorie du genre. »
Et maintenant la même théorie du genre ferait « partie de son ADN » ?
Cette « libre détermination » proclamée par Valérie Pécresse n’est pas valide tout simplement parce que le genre ne se détermine pas. On ne peut pas prétendre posséder un droit qui n’existe pas. De même, l’avortement n’est pas un droit parce que la morale objective affirme que tuer un être humain est mal et faire le mal ne peut pas être un droit.
D’ailleurs, selon son programme présenté par Le Monde, « Valérie Pécresse se dit favorable, sur France Inter, à l’inscription du droit à l’avortement dans la charte des droits fondamentaux de l’Union européenne. »
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