Au cours de ces longs mois durant lesquels on s’est d’abord préoccupé de se couper du monde, des publications sont passées inaperçues faute de connaître une diffusion ordinaire. Il est encore temps de réparer des oublis[1]. Eugenio Corti, Le Cheval rouge, traduit de l’italien par Françoise Lantieri, préface et postface de François Livi, Les […]
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