Par John-Henry Westen — Traduit par Campagne Québec-Vie
4 février 2022 (LifeSiteNews) — Dans cet épisode du John-Henry Westen Show, je me suis entretenu avec Steven Mosher, président du Population Research Institute et expert au sujet de la Chine.
Tandis que le monde entier se branche pour regarder les Jeux olympiques d’hiver de 2022 à Pékin, Mosher est mon premier invité d’une série spéciale d’épisodes exposant les violations des droits de l’homme en Chine. Il a été un véritable pionnier à cet égard, en attirant l’attention sur de nombreux abus en Chine au fil des ans, notamment sur la politique de l’enfant unique.
Dans son dernier livre : Bully of Asia : Why ‘China’s Dream’ Is the Threat to the New World Order, Mosher affirme que la Chine de Xi Jinping veut remplacer l’ordre mondial actuel par un ordre mondial totalitaire sans compromis.
« Ils veulent renverser fondamentalement l’ordre mondial existant et le remplacer par quelque chose de très, très différent, de très sombre et de très hostile à la liberté, à la liberté de conscience, à la liberté d’association, à toutes les libertés qui nous sont chères », a-t-il déclaré.
Compte tenu de sa grande expérience et de sa connaissance du régime chinois, Mosher a été l’un des premiers à soupçonner — et finalement à être convaincu — que le virus à l’origine de la pandémie de COVID provenait de l’Institut de virologie de Wuhan.
« Si vous regardez la structure du virus lui-même, il présente des insertions inhabituelles que vous ne voyez jamais dans un coronavirus naturel », a-t-il expliqué. « Je ne le répéterai jamais assez. C’est le pistolet fumant. C’est la preuve intégrée dans le génome lui-même qui vous dit que cela ne pouvait pas venir de la nature, que cela a été créé artificiellement dans un laboratoire ».
Puis Mosher a évoqué l’origine de la politique de l’enfant unique et les horribles abus dont il a été personnellement témoin en 1980 dans la province du Guangdong qui borde Hong Kong.
« [Les autorités] ont fait le tour des maisons et… ont trouvé quelles femmes étaient enceintes de leur deuxième, troisième ou quatrième enfant. Et on a dit à toutes ces femmes qu’elles devaient avorter », a-t-il déclaré. « Elles ont été haranguées et menacées pendant des jours et des semaines… On leur a fait des injections létales dans l’utérus pour tuer leurs enfants à naître. Si leur grossesse était très avancée, elles subissaient des césariennes. On les ouvrait littéralement pour retirer leurs bébés morts ou mourants. »
Il y a beaucoup plus dans l’épisode d’aujourd’hui, pour l’écouter [vidéo en anglais] :
Source : Lire l'article complet par Campagne Québec-Vie
Source: Lire l'article complet de Campagne Québec-Vie