Par Geneviève De Vriendt (Campagne Québec-Vie) — Photo (modifiée) : Freepik
Une commission scolaire catholique en Ontario a émis un sondage pour tous ses élèves en 4e année jusqu’en 12e année. Sous la bannière de l’inclusivité, le sondage optionnel revêt ouvertement les folies de la théorie du genre.
Une des questions posées aux élèves porte sur les « adultes avec lesquels ils vivent », à laquelle ils peuvent répondre « deux mères » ou « deux pères ».
Selon LifeSiteNews, « Les enfants sont également invités à répondre à “comment décrivez-vous votre sexe ?” » Les choix de réponses indiquent « garçon », « fille », ou l’option de s’identifier d’« une autre manière ».
« De plus, les élèves sont informés qu’ils peuvent sélectionner “plus d’une case”, ce qui leur permet d’indiquer plusieurs combinaisons de genres, y compris garçon et fille simultanément. » « L’enquête fournit un champ dans lequel les étudiants peuvent élaborer une description personnalisée de leur identité de genre. »
Les écoles, et surtout les écoles catholiques, ne doivent-elles pas garantir une éducation saine et véritable pour les enfants qui les fréquentent ?
Si les personnes responsables de leur apprentissage de la réalité présentent aux étudiants le « choix » de nier cette réalité, et d’inventer leur propre sexe, comment peuvent-ils alors prétendre transmettre la vérité ?
L’erreur est ouvertement enseignée, et la vérité volontairement cachée.
LifeSiteNews rapporte aussi que, « Le conseil scolaire a déclaré que seul le personnel du département des services de recherche et de données du district “aura accès aux réponses anonymes de votre enfant à l’enquête”, qui autrement seront cachées aux parents, aux enseignants et aux directeurs. »
Le droit des parents est atténué pour laisser place à l’emprise d’un système de mensonges.
Source : Lire l'article complet par Campagne Québec-Vie
Source: Lire l'article complet de Campagne Québec-Vie