Pécron, Macresse, Hidalcresse, Taubicron, Jacresse, à la poubelle !
Une mesure inespérée pour en finir avec le coronazisme.
samedi 6 février 2021, par Lionel Labosse
La transformation de la France en maison de « passe vaxinal » par le Chef de l’Étron et les trous du cul de son staff de gouverne-menteurs cornaqués par McQuinesait, m’avait causé quelque inquiétude ce lundi 24 janvier, date choisie par le parti national-covidiste pour priver de leurs droits les jui… pardon, les non vaxinés, ces sous-citoyens qui se privent de tout et parfois de leur emploi & de leurs revenus parce qu’ils sont égoïste & désespérément dépourvus de tout « altruisme ». Cet article de France-Soir « Passe vaccinal et certificat de rétablissement : le grand retour de l’immunité naturelle ? » m’avait un peu rassuré, mais il fallait que je vérifie par moi-même. J’ai mis plusieurs semaines à achever cet article, je vous prie de m’excuser.
Je suis donc sorti le 25 janvier, et j’ai pu vérifier que mon passe nazitaire fonctionnait toujours. Je me suis rendu à mon club libertin favori, dans le 2e arrondissement (ne cherchez pas, l’entrée est camouflée). Sur la route, bars & restaurants étaient bondés, un peu comme les boîtes de nuit lors des Première & Seconde Guerres mondiales. Comme d’habitude, j’ai présenté au loufiat mon passe assorti d’un modeste pourboire de 100 €, discrètement glissé dans la main, pour ne pas faire trop racho. Le black de service m’a laissé passer tout en se mettant d’un air entendu la main au paquet, façon discrète de me rappeler que grâce à McRond et Marlène Chia-Pas, la levrette est covido-compatible, quand la missionnaire est déconseillée, rapport à la distanciation physique brechtienne que le Chef de l’Étron expérimenta avec sa maîtresse d’école et de théâtre à l’âge de 14 ans (quel beau couple !). À l’intérieur tout était normal. Alexis du Réau de la Gaignionnière était dans le Chef de l’Étron, et c’était une réunion au sommet de l’Étron, car Jean-Brichèle y était aussi ! Un journaliste léchait bien le tout, très appliqué comme il se doigt.
Bref, je poserai sur cette scène intime le voile de la discrétion, de mise en pareilles circonstances, car je n’oublie pas que nous sommes en pleine pandémie dévastatrice et que les cadavres de covidés jonchent les rues ; les pompes funèbres n’osent même pas les ramasser. Je ne trahirai pas un secret en révélant que tout en se livrant à ces activités purement physiques, le Chef de l’Étron, qui est un esprit supérieur capable d’avoir deux casseroles au feu, peaufinait dans son glorieux esprit, le discours de paix qu’il s’apprêtait à diffuser à la nation unie.
Zapping Yoyo du 15 février 2022. © Yoyo / Twitter
Trêve de plaisanteries, revenons à nos mougeons. Cette loi coronazie (« passe vaxinal ») est un piège dans lequel les nationaux-covidistes se sont précipités eux-mêmes. En effet, avec le croisement entre le nouveau variant « Omicron » hypercontagieux et le nouveau véran « O’macron » hypercon, les citoyens non-vaxinés obligés par les lois anti-juives de se faire tester chaque jour, ont eu jusqu’à 35 % (record début février en France ; 45 % en Belgique !) de chances d’avoir un test positif, c’est-à-dire qu’en gros au bout d’une semaine ouvrée (5 tests), ils étaient quasiment assurés d’obtenir un passe valable jusqu’aux érections pestilentielles, et en prime l’assurance que si les mêmes coronazis (Pécron, Macresse, Hidalcresse, Taubicron, Jacresse, et même les trotskistes je crois mais je ne les écoute même pas) étaient réélus, le coronazisme refleurirait dès le lendemain de l’érection pestilentielle. Le 14 février, un étudiant m’a dit que son passe expirerait le lendemain. Il ignorait que veran-tan-plan s’apprêtait à annoncer des soldes supplémentaires sur le passe ! Je l’ai félicité et lui ai répondu que c’était une grande chance d’assister si jeune à la naissance d’une dictature.
Beaucoup de gens comme lui auront des raisons impérieuses de voter très bientôt ! Il me semble qu’il y a là un formidable levier contre le fléau de l’abstinence aux élections : si tu vas voter pour un candidat qui jure qu’il mettra fin au totalitarisme couillonaviral, tu peux y mettre fin. Juste en allant voter. Encore faut-il qu’un seul candidat porteur de cette proposition obtienne les fameux 500 parrainages de la mafia. Je crois que cela vaudrait le coup de lancer avec un financement citoyen une vaste campagne de pub sur ce sujet. Un(e) graphiste de talent lecteur de cet article pourrait-il proposer une affiche ? (Slogan du type : « Contre la plandémie, ton bulletin de vote est plus efficace que leur vaxin »).
Quant aux gousses d’ail de « l’odieuse comparaison », j’inclus ici deux tweets de René Chiche sur le passe nazitaire, que vous retrouverez dans l’article sur l’étoile jaune, où j’ai traité la question en long, en large et en travers. D’ailleurs je me fatigue pour rien, les lecteurs contaminés au « fact-shaking » ont déjà abandonné la lecture de ce billet pour retourner se torcher le cerveau avec les grands agitateurs de faits que sont les collabos-rateurs de Collibération ou de L’Immonde…
Tests – vaccins – pass : fabrique de la panique, braquage des comptes publics
par Décoder l’éco
Pierre Chaillot (Lécot sur France-Soir, allez savoir pourquoi) publie un de ses meilleurs articles : « Tests – vaccins – pass : fabrique de la panique et braquage des comptes publics ». Il démontre que les tests covidistes sont assimilables à un jet de dés !
Puisque j’en suis à ce chapitre et pour donner une raison supplémentaire aux abstentionnistes de s’abstenir de leur abstention cette fois-ci, eh bien qu’ils sachent qu’avec la répression des « convois de la Liberté », les (coro)nazis sont entrés dans Paris, comme le remarque avec sa malice bucolique habituelle Jean-Marc Morandini, images à l’appui. Les complotistes sont verbalisés pour crime d’arborer un drapeau tricolore. À moins que ce ne soit une façon pour les policiers, forcés par l’occupant, pardon, par le préfet Lallemand, à appliquer des directives infâmes, d’envoyer un message clair en pleine campagne électorale, pour réveiller enfin les mougeons qui n’ont pas encore compris que ce gouvernement est un OCCUPANT ? Paris est occupé par les nationaux-covidistes. C’est l’Occupation. Soit vous collaborez avec l’occupant McRond-McQuinesait et sa clique de clones (cf. la liste ci-dessus), soit vous résistez pour éradiquer cette vermine. Compris ?
Heureusement le port de la « perruque jaune » n’est pas encore interdit par la loi, même hors manifestation. Imaginez l’effet de milliers de personnes défilant en perruques ? Ou bien avec une jupe comme celle de l’huissier que Poutine a délégué à McRond lors de sa réception pour lui envoyer un message diplomatique clair et net : « Nous savons, collégien, et tu vas voir ta gueule si tu te portes candidat » ? La macronie a l’habitude de faire de faux reportages avec des figurants, mais s’il y a une campagne électorale, il faudra bien que le collégien se promène main dans la prostate avec son ancienne maîtresse d’école, et là attention perruques & quolibets ! BFMTV ne pourra pas tout maquiller !
Amusant : j’ai reçu récemment un sondage de la Cinémathèque pour savoir pourquoi diantre moi qui fus un fidèle abonné, je n’y vais plus. Ils ont inclus « passe sanitaire » parmi les raisons, ce qui m’étonne ; j’ai coché la case, et comme il y avait un espace de libre expression, je me suis lâché : « C’est effectivement à cause de l’attitude de kollabos du coronazisme adoptée par la direction de cette institution culturelle que j’ai cessé d’y aller. Vous devriez avoir honte et vous confondre en excuses, vous qui nous proposez des films qui dénoncent les dictatures. Vous vous êtes comportés en collabos d’une dictature. Je n’ai plus du tout envie. »
Cyrano de Gerberac en représentation impromptue devant la Comédie française. © Stéphanie de Gomorrha
À propos, voici le célèbre Cyrano de Gerberac, acteur de seconde zone aigri, qui se fend d’un discours complotiste d’extrême-drouâte limite antimite, devant la Comédie française, attentatoirement à la liberté d’exprimer son talent en travaillant entre gens nonnêtes. C’était je crois fin janvier- début février, en marge d’une manif des Patriotes. On en était à 500 000 tests positifs par jour, et les croyants du covidisme devaient se confiner, ce qui entraînait pour les spectacles avec plusieurs acteurs, une annulation quasi obligatoire. À noter que ce mécanisme s’auto-détruit, puisqu’au rythme de 500 000 par jour, cela nous fait 15 millions par mois, et ces 15 millions ne sont que les gens qui ont besoin d’un test pour travailler ou aller visiter leurs parents en EHPAD, ce qui exclut les parents en EHPAD en question. Or chaque jour qui passe, avec les 11 jours de délai, cela nous fait 500 000 personnes de plus qui bénéficiaient d’un « passe » non pas vaxinal mais de rétablissement, qui non seulement leur fait économiser le coût de 5 ou 6 tests par semaine, mais leur donne une raison vitale de concourir à l’éradication définitive de la sale race des coronazis aux élections à venir. La cascade des tests positifs est en train de se tarir, d’autant que si le « delta » ne vous empêche pas de vous retaper l’omicron, l’omicron A vous empêche d’avoir l’omicron B. C’était d’ailleurs un bon plan, et j’ai plusieurs amis soignants qui se sont recontaminés les doigts dans le nez (au sens « propre » !) pour éviter d’être « suspendus », de même qu’ils s’étaient contaminés au Delta au mois de septembre, ce qui était quand même un peu risqué.
Comme je ne fréquente plus les lieux culturels qui pourvoyaient avant la plandémie la majorité de mes divertissements, c’est en fréquentant la piscine, grâce à mon certificat provisoire de non-judéité, que je peux constater au quotidien qu’il fonctionne toujours à chaque date mensuelle. (Car le pourliche de 100 € évoqué ci-dessus me laissait un doute sur la validité vraie de mon passe !) Avec le chienchien veran-tan-plan, on ne sait jamais ce qui peut arriver du jour au lendemain si jamais il n’a pas eu sa dose et qu’il lui vient à l’esprit l’envie non pas de nous « emmerder » comme son maître mais de nous « désactiver » selon la novlangue coronazie entrée dans le vocabulaire courant, au bout de 3, 4, 5 mois, ou de « deux infections, trois injections ». Bidonnons-nous avec ce quasi sketch que ce dégénéré toxico VRP de McQuinesait nous a prodigué (zapping de Yoyo du 6 février).
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